Quelques semaines après sa libération du joug du Hamas, Yarden Bibas s’accroche à l’espoir : sa femme Shiri et ses deux fils, Ariel et Kfir, sont toujours en vie. Malgré les affirmations du groupe terroriste, il refuse d’y croire sans preuve tangible et s’engage à lutter pour leur retour en Israël.

Sa famille partage son combat. Son retour a ravivé une lueur d’espoir, insufflant un nouveau souffle à leur mobilisation pour retrouver Shiri et les enfants. Un cousin de Shiri a témoigné du profond traumatisme qu’il endure : Yarden, marqué dans son corps et dans son esprit, se reconstruit lentement, tout comme d’autres survivants de l’enfer des tunnels de Gaza.

Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile  :

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Dans un élan de solidarité, Emily Damari, libérée au début des négociations actuelles, s’est rendue au Mur des Lamentations pour prier en faveur des otages encore détenus, notamment les jumeaux Gali et Ziv Berman. Dans un message émouvant posté sur Instagram, elle écrit : « Au lieu le plus sacré pour notre peuple, j’ai prié pour leur retour ainsi que celui de tous les otages. »

De son côté, Agam Berger, une jeune observatrice militaire également libérée, s’est exprimée pour la première fois depuis son retour. Elle a tenu à remercier les soldats de Tsahal et le peuple israélien pour leur soutien indéfectible. « Le Hamas se réjouit de nos divisions », a-t-elle averti. « Restons unis, c’est notre force. Chaque acte positif, chaque prière, chaque geste de solidarité rapproche le retour des otages. »

Alors que les tensions et l’incertitude persistent, ces voix rappellent l’importance de l’unité et de la détermination pour ramener tous les otages chez eux.