Israël cible le cœur du pouvoir militaire iranien : Katz révèle l’échec des forces aériennes des Gardiens – plusieurs hauts responsables éliminés

13 juin 2025, Jérusalem — Alors que les révélations se succèdent après l’opération aérienne israélienne contre l’Iran, le ministre de la Défense, Israël Katz, a annoncé ce matin que la majorité des forces aériennes des Gardiens de la Révolution iranienne ont été neutralisées alors qu’elles étaient regroupées dans un quartier général souterrain. Parallèlement, les services de renseignement israéliens et occidentaux confirment la liste croissante des hauts responsables iraniens éliminés dans ce qui est désormais surnommé à Téhéran le « Vendredi 13 de Khamenei ».

Cette opération, qui a visé les structures de commandement les plus sensibles du régime iranien, marque un tournant décisif dans la doctrine militaire israélienne : au-delà de la destruction matérielle, l’objectif était d’atteindre le centre névralgique du commandement stratégique adverse.

???? Katz : « Les forces aériennes des Gardiens de la Révolution déjouées dans un bunker »

Dans une déclaration retransmise par News 0404, Israël Katz a précisé que les forces aériennes des Gardiens de la Révolution iranienne, connues sous le nom de « Aerospace Force of the IRGC », s’étaient réunies dans un quartier général souterrain sécurisé, près de Semnan, pour planifier une éventuelle riposte.

Or, le site avait été identifié à l’avance par les services de renseignement israéliens, et figurait sur la liste des cibles prioritaires. Une frappe de haute précision, menée par des chasseurs F-35I Adir, a frappé l’entrée du bunker et plusieurs installations techniques connectées, empêchant les forces présentes d’enclencher leurs systèmes.

« C’était un coup décisif. Nous avons frappé au moment où ils se croyaient protégés. Leur capacité d’action coordonnée a été désarticulée », a déclaré Katz.

 Objectif : priver l’Iran de coordination aérienne

Les Gardiens de la Révolution islamique jouent un rôle crucial dans le programme balistique et aérien iranien. Leur branche aérienne est responsable :

  • de l’exploitation des drones longue portée (Mohajer, Shahed),
  • du commandement des bases de missiles,
  • de la coordination des frappes contre Israël via les milices régionales (Hezbollah, Houthis…).

En neutralisant temporairement leur QG, Israël a visé plus qu’un bâtiment : il a paralysé la capacité iranienne à synchroniser une riposte aérienne massive.

« Vendredi 13 de Khamenei » : les éliminations ciblées de l’état-major iranien

Ce que les sources iraniennes évoquent désormais comme le « Vendredi 13 de Khamenei » s’annonce comme le plus grand revers militaire subi par l’Iran depuis la guerre Iran-Irak. Selon des sources croisées israéliennes et occidentales, au moins sept hauts responsables des Gardiens de la Révolution et du programme nucléaire auraient été tués dans les frappes de la nuit du 12 au 13 juin.

Liste (provisoire) des figures éliminées :

  1. Général de brigade Mohsen Ramezani – commandant adjoint des opérations de la force aérospatiale du CGRI.
  2. Colonel Alireza Khatib – spécialiste en guerre électronique, responsable des interférences GPS utilisées pour les drones.
  3. Dr. Hamed Ghanbari – conseiller scientifique auprès du ministère de la Défense, impliqué dans la conception des centrifugeuses IR-9.
  4. Général Hossein Azari – coordinateur des forces balistiques dans le district central de l’Iran.
  5. Majid Fallahi – logisticien en chef pour les exportations d’armes vers les milices irakiennes.
  6. Colonel Bahram Saadi – expert en missiles sol-sol et instructeur dans les bases de Kerman.
  7. Dr. Mahmoud Sadeghi – physicien nucléaire, lié aux projets de miniaturisation de têtes nucléaires.

Ces figures ne sont pas simplement des militaires ou des scientifiques : elles incarnent l’architecture stratégique iranienne, mêlant technologie, idéologie, et projection de force.

Ciblage basé sur un renseignement multicanal

Les frappes ont été rendues possibles par une intelligence en temps réel, combinant :

  • surveillance par satellite,
  • écoute électronique,
  • infiltration cybernétique,
  • et probablement des sources humaines en Iran même.

Un haut responsable du renseignement israélien (anonyme) a déclaré à Maariv :

« Cette opération, ce n’est pas seulement de la puissance de feu. C’est la victoire du renseignement. Nous savions où, quand, et comment ils se rassembleraient. »

Une frappe chirurgicale dans une guerre de signaux

L’expression « guerre asymétrique » prend ici tout son sens : Israël n’a pas occupé de terrain, n’a pas engagé d’infanterie, mais a neutralisé une grande partie de la capacité offensive iranienne par une série de frappes aériennes, chacune calibrée pour causer un effet stratégique maximal.

Ce choix du ciblage humain et logistique (commandants + installations) illustre la nouvelle doctrine d’action israélienne : perturber, déstabiliser, dissuader – sans escalade ouverte.

 Réaction iranienne : confusion et fragmentation

Du côté iranien, la réaction reste hésitante. Le régime reconnaît à demi-mot des « pertes importantes », sans confirmer l’identité des personnes tuées. Mais les réseaux sociaux iraniens bruissent de témoignages locaux évoquant des convois funéraires militaires et des fermetures d’institutions à Téhéran.

Le Guide suprême Ali Khamenei, selon les services de renseignement, aurait convoqué en urgence les commandants restants, et exigé une « réponse appropriée ». Mais l’ampleur des pertes laisse penser que la chaîne de commandement est affaiblie, voire fragmentée.

Réactions israéliennes : détermination et sang-froid

Le ministre Katz, très actif ces dernières 48 heures, a résumé la position du gouvernement :

« Nous avons frappé le cœur de leur système. S’ils veulent continuer l’escalade, ils savent que nous sommes prêts. Mais notre message est simple : la dissuasion fonctionne. »

Le Premier ministre Netanyahou a insisté sur la dimension défensive de l’opération : prévenir plutôt que subir, affaiblir l’agresseur avant qu’il ne frappe.

 Conclusion : Un coup stratégique au cœur du régime

L’élimination ciblée des cadres militaires et scientifiques iraniens, couplée à la neutralisation de leur commandement aérien, constitue un succès stratégique majeur pour Israël. Ce type d’opération n’élimine pas la menace à long terme, mais repousse ses capacités, désorganise sa structure, et pose une limite claire aux ambitions de Téhéran.

Le « Vendredi 13 de Khamenei » restera dans l’histoire militaire moderne comme le jour où Israël, seul, a paralysé une machine de guerre ennemie, sans envahir, sans conquérir, mais avec un message clair :
« Vous pouvez menacer notre existence. Mais nous savons vous arrêter. »

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