Lettre de feu à Khamenei : Yoav Gallant dévoile les dessous de l’opération contre l’Iran et prévient Téhéran — “Nous savions tout sur vous, plus que vous sur vous-mêmes”

Dans une lettre ouverte rarissime, l’ancien ministre israélien de la Défense, le général Yoav Gallant, s’adresse directement au Guide suprême iranien, Ali Khamenei, pour dresser le bilan dévastateur de la guerre éclair israélo-américaine contre l’axe iranien, survenue en juin 2025. Dans ce message cinglant, Gallant dévoile le niveau d’infiltration israélienne au sein de l’appareil iranien, assume la destruction de l’architecture militaire de la République islamique, et met en garde : « Ce que vous bâtissez dans l’ombre, nous l’éclairons. Et nous le frappons. »

Une lettre directe, glaciale, implacable

“Ali Khamenei, nous ne nous sommes jamais rencontrés, mais je vous étudie depuis près de 30 ans.”

Dès les premières lignes, le ton est donné : Gallant ne s’adresse pas à un dirigeant quelconque, mais à l’homme qui, selon lui, est personnellement responsable de la stratégie de confrontation régionale contre Israël. Le général israélien détaille l’échec de l’Iran à établir son “cercle de feu” régional via le Hamas, le Hezbollah, les Houthis, la Syrie et l’Irak, un projet de harcèlement stratégique visant à étouffer Israël dans une guerre d’usure.

“Ce que vous avez mis 40 ans à construire, nous l’avons effondré en 12 jours.”

Une opération militaire devenue démonstration stratégique

Gallant révèle que la guerre de juin 2025, menée par Israël et les États-Unis, n’était pas une simple riposte, mais une opération coordonnée et planifiée sur des années :

  • Démantèlement de la DCA iranienne, y compris les systèmes S-300 ;
  • Élimination de hauts responsables militaires et de scientifiques nucléaires ;
  • Destruction des arsenaux du Hamas et du Hezbollah ;
  • Survols au-dessus de Téhéran, comme “au-dessus de Tel-Aviv”.

Il affirme que l’infrastructure nucléaire iranienne a été reculée de plusieurs années et que les capacités conventionnelles de Téhéran sont désormais réduites à néant.

“Vous pensiez que vos secrets étaient à l’abri. Mais nous savions vos plannings, vos conversations, vos remplaçants. Nous étions déjà là.”

Le message à Khamenei : “Vous n’avez plus de cachettes, ni de marges de manœuvre”

La lettre va bien au-delà de la stratégie : elle touche l’intimité du pouvoir iranien. Gallant rappelle l’échec du Hamas lors du 7 octobre 2023 et souligne que la barbarie de l’attaque a légitimé aux yeux du monde la réponse d’Israël.

“Le public israélien n’a pas fléchi. Nous avons riposté, sans relâche, sans peur. Ce qui a suivi n’était pas un coup ponctuel. C’était une série.”

L’Iran : “Plus seule que jamais”

Gallant dresse un tableau géopolitique ravageur pour Téhéran :

  • Le Hezbollah ? Brisé.
  • Le Hamas ? Neutralisé.
  • Assad ? Remplacé.
  • Les pays du Golfe ? Contre vous.
  • L’Irak ? Résiste à votre emprise.

“Vous êtes un État de 90 millions d’habitants, avec un territoire 60 fois plus grand qu’Israël. Et pourtant, aujourd’hui, vous êtes plus vulnérable que jamais.”

Le verdict : “Vous n’avez plus de secrets – seulement des cibles”

Gallant conclut par une série de choix que le régime iranien devra bientôt affronter :

  • Accélérer son programme nucléaire ? Il sera vu. Et détruit.
  • Reconstruire l’axe régional ? Israël le sabordera encore.
  • Négocier ? Mais le régime iranien est-il capable d’abandonner l’idéologie au profit du réalisme ?

“L’espoir n’est pas une stratégie. La foi aveugle en votre invincibilité vous a déjà trahis.”

“Regardez autour de vous. Qui, dans cette pièce, est encore vraiment loyal ?”

Avec cette question glaçante, Gallant met le doigt sur la fragilité interne du régime iranien. Des rapports récents font état de luttes intestines à Téhéran, de disputes sur la succession de Khamenei, et même d’un affaiblissement de son autorité au sein de l’appareil militaire.

Un message stratégique… mais aussi psychologique

La lettre de Gallant n’est pas qu’un avertissement : elle est un acte de guerre psychologique. Israël ne se contente plus de frapper militairement – il expose l’humiliation stratégique de ses ennemis.

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