L’information, jusqu’ici classée top secret, vient d’être révélée par le Washington Post : l’opération israélienne « Im Kalbia » — survenue il y a plus d’un mois — n’a pas seulement visé les infrastructures nucléaires classiques de l’Iran. Elle a anéanti deux des projets les plus dangereux que le régime des mollahs tentait de dissimuler : le développement d’une bombe à hydrogène et la conception d’un dispositif électromagnétique de type EMP (ElectroMagnetic Pulse).
Ces révélations changent la donne : l’Iran ne travaillait pas seulement à une bombe nucléaire basée sur l’uranium, mais tentait de franchir le seuil thermonucléaire, ce qui aurait placé le régime islamique à un niveau de menace équivalent aux grandes puissances atomiques. La bombe H, nettement plus puissante qu’une bombe A, repose sur le processus de fusion et peut annihiler des villes entières en une fraction de seconde.
Mais ce n’est pas tout. Le deuxième projet ciblé par Tsahal aurait consisté à concevoir une bombe EMP, destinée à générer un impulsion électromagnétique capable de paralyser toute une nation — ses communications, son réseau électrique, ses systèmes de défense. Une attaque de ce type n’aurait pas besoin d’exploser au sol : une simple détonation en haute atmosphère aurait suffi à ramener Israël ou tout autre pays cible à l’âge de pierre numérique.
Selon les sources américaines citées dans le Washington Post, la frappe israélienne initiale a décimé l’ensemble des physiciens et ingénieurs de premier et second rang impliqués dans ces programmes, et même la majorité du « troisième cercle » de chercheurs. Résultat : la chaîne de savoir a été rompue, et l’effondrement des capacités humaines devrait freiner tout projet de relance de plusieurs années, si tant est qu’il en reste une.
Le journal américain mentionne également l’opération parallèle baptisée « Narnia », dirigée spécifiquement contre les cerveaux scientifiques du programme nucléaire. Là aussi, les résultats sont clairs : la stratégie israélienne ne se limite plus aux infrastructures mais vise désormais les personnes, avec un message implicite mais brutal : participer au programme nucléaire iranien, c’est signer son arrêt de mort.
L’Iran a reconnu indirectement l’impact de l’opération. Le président iranien, lors d’un discours inhabituellement lucide, a reconnu que « la République islamique a reçu une frappe puissante », sans toutefois en détailler la nature. Mais selon des fuites rapportées dans la presse américaine, même le site de Fordo aurait été frappé, et un dépôt de plus de 400 kilos d’uranium enrichi à haut niveau aurait été enseveli.
Cette attaque, qui s’inscrit dans la continuité de la doctrine israélienne de prévention totale du nucléaire iranien, marque une étape inédite dans la guerre de l’ombre entre Jérusalem et Téhéran. Ce n’est plus une question d’empêcher une bombe — mais d’empêcher la prolifération de technologies stratégiques capables de déstabiliser tout le Moyen-Orient.
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Ce que le monde commence à comprendre, c’est qu’Israël n’a pas seulement agi pour sa sécurité immédiate. Il a, peut-être, sauvé l’équilibre technologique d’un monde déjà trop fragile.
Par Infos-Israel.News
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