Une nouvelle ligne rouge se dessine à Jérusalem et à Washington : face à l’impasse persistante des négociations et au refus catégorique du Hamas de progresser, Israël et les États-Unis convergent désormais vers une exigence claire : la libération de tous les otages, sans concessions à moitié.
C’est un haut responsable politique israélien qui l’affirme ce jeudi soir :
« Il n’y aura plus de transactions incomplètes. L’idée d’un accord partiel a échoué. La direction israélienne ne décrétera pas unilatéralement la fin de la guerre. »
Cette déclaration intervient alors que les discussions de ces derniers jours avec le Hamas sont officiellement au point mort. Le groupe terroriste aurait « claqué la porte », selon les mots d’un autre haut fonctionnaire israélien.
🧱 Vers une stratégie militaire renforcée ?
En coulisses, l’orientation change : alors que la division 98 vient de terminer son déploiement dans Gaza, l’option d’une expansion des opérations militaires reprend de la vigueur, avec le soutien discret mais ferme de l’administration Trump.
Lors de sa rencontre de plus de deux heures avec le Premier ministre Netanyahou, l’envoyé spécial américain Steve Witkoff a transmis une position claire :
plus d’arrangements fragmentés, mais un accord global exigeant le désarmement du Hamas, son éviction du pouvoir et la libération complète des otages.
🤝 Israël–États-Unis : une compréhension partagée
Le même haut responsable israélien précise :
« Une entente se forme : face au rejet total du Hamas, nous devons passer d’un cadre de libération partielle à une stratégie de libération totale, accompagnée du démantèlement militaire du Hamas et de la démilitarisation complète de la bande de Gaza. »
Une aide humanitaire accrue est envisagée – mais elle serait conditionnée à des avancées significatives sur le plan sécuritaire et stratégique.
Pendant ce temps, le président Donald Trump, sur sa plateforme Truth Social, n’a pas mâché ses mots :
« La façon la plus rapide de mettre fin à la crise humanitaire à Gaza est que le Hamas libère les otages et capitule. »
🗣️ Le Hamas reste campé sur ses armes
Comme attendu, le Hamas a rejeté l’ensemble des nouvelles conditions. Dans une réponse officielle, l’organisation a déclaré :
« Nous ne déposerons jamais les armes tant que l’occupation continue. Le désarmement n’est envisageable que lorsque notre peuple aura récupéré l’intégralité de ses droits et obtenu son État souverain. »
Autrement dit : aucune négociation sérieuse n’est actuellement possible.
Ce rejet ferme alimente encore davantage la frustration des familles d’otages, dont la déclaration commune ce soir a été cinglante :
« Cela fait plus d’un an que nous disons ce que le gouvernement comprend seulement maintenant : les accords partiels sont une erreur stratégique et morale. Chaque jour de ce calcul cynique met les otages en danger, retarde leur retour et insulte leur mémoire. »
Le quartier général des familles des otages salue ouvertement la position du président Trump et de son émissaire :
« Vous pouvez faire l’histoire à nouveau – mettez fin à cette guerre et ramenez tous nos otages. Le temps est compté. »
📉 Et maintenant ?
Israël semble désormais prêt à durcir le ton et l’action.
Le consensus politique est clair : le Hamas ne peut plus être un interlocuteur crédible.
Les prochaines étapes pourraient inclure :
- un renforcement militaire ciblé dans le sud et le centre de Gaza
- un encerclement des axes stratégiques
- la pression régionale pour une force internationale de transition
- et une relance coordonnée d’une initiative diplomatique via les alliés arabes modérés
🔥 Le message est clair : plus de demi-mesures, plus de compromis à sens unique
Israël et les États-Unis refusent désormais le jeu du Hamas, qui cherche à diviser, gagner du temps et instrumentaliser la compassion humanitaire. Le nouveau mot d’ordre est simple :
Libérez tous les otages ou subissez les conséquences.
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