Pendant que les civils de Gaza survivent sous les ruines, sans pain, sans eau et sans espoir, une nouvelle publication de Tsahal révèle une vérité révoltante : les terroristes du Hamas, eux, festinent dans leurs bunkers souterrains, bien à l’abri, autour de tables chargées de mets variés.
Le porte-parole de Tsahal en arabe, le lieutenant-colonel Avichay Adraee, a publié hier soir sur son compte Twitter officiel de nouvelles images captées dans les tunnels du Hamas à Gaza. On y voit des membres de l’organisation terroriste en train de dîner sous terre avec du poulet mijoté, des fruits frais, des desserts sucrés, et surtout… le sourire aux lèvres.
➡️ Un luxe qui tranche de façon obscène avec la famine orchestrée par ces mêmes terroristes, à laquelle ils soumettent leur propre population.
➡️ Un message visuel qui fait tomber le masque des lamentations humanitaires relayées sans filtre dans la presse occidentale.
Dans son message, Adraee ironise amèrement :
« Voici les tunnels du Hamas ces derniers mois : profondément enfouis sous terre, loin du bruit des camions humanitaires qu’ils pillent, et des cris des enfants affamés. Le seul bruit dans les tunnels : des rires et des estomacs bien remplis. »
Il conclut avec une pique acérée à destination des « porte-voix du Hamas dans les médias arabes et occidentaux », qui persistent à présenter l’organisation comme une résistance populaire héroïque, alors qu’il s’agit d’un gang mafieux terroriste qui utilise son peuple comme bouclier et sa faim comme levier diplomatique.
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La stratégie de la dissimulation
Ces photos auraient été prises il y a plusieurs mois, mais elles n’ont jamais été publiées avant, pour des raisons de sécurité opérationnelle. Elles montrent une réalité brutale : pendant que les civils dorment à la belle étoile dans des ruines froides, les cadres du Hamas vivent dans des tunnels ventilés, sécurisés, approvisionnés.
C’est la logique du Hamas : vivre sous terre, gouverner par la terreur, et nourrir ses combattants pendant que le peuple jeûne.
Le message est aussi clair qu’effrayant : la population n’est qu’un outil sacrificiel dans leur stratégie cynique de victimisation.
Le hashtag qui révèle l’hypocrisie : #מה_בתפריט_של_חמאס_היום
Sous ce slogan lancé par Adraee – littéralement “Que mange le Hamas aujourd’hui ?” – se cache une stratégie de communication qui démasque l’hypocrisie profonde des campagnes médiatiques pro-Hamas. Le contraste entre la misère réelle à Gaza et la vie souterraine luxueuse des cadres terroristes révèle une guerre à deux vitesses :
- une guerre humanitaire pour les caméras,
- une guerre stratégique dans les tunnels, invisible et bien protégée.
Ce n’est pas un hasard si le Hamas a refusé les propositions de cessez-le-feu, bloqué les convois humanitaires destinés aux hôpitaux, et forcé des civils à rester dans les zones de combat. Plus il y a de morts civils, plus les cris médiatiques deviennent utiles à leur guerre psychologique.
L’Occident complice ?
Chaque fois qu’un média publie un chiffre non vérifié du Hamas ou relaie ses déclarations sans mentionner sa nature terroriste, il participe indirectement à cette mascarade.
Pendant que les capitales européennes débattent de l’opportunité d’un embargo sur les armes à Israël — comme l’a récemment annoncé la Slovénie — elles ferment les yeux sur les tunnels de la honte.
Le monde exige d’Israël un standard moral irréaliste, tout en laissant les criminels de guerre du Hamas dicter le rythme des émotions. Mais à Gaza, les images parlent plus fort que les slogans : il y a ceux qui meurent… et ceux qui dînent.
Israël, qui continue de livrer chaque jour des tonnes d’aide humanitaire dans des conditions absurdes — parfois sous le feu des roquettes — doit maintenant faire face à une guerre d’images, où la vérité ne suffit plus.
Une réalité insoutenable
La famine à Gaza n’est pas une conséquence du blocus israélien. Elle est orchestrée par ceux qui détournent l’aide, pillent les camions, taxent la nourriture et mangent dans des tunnels comme des princes de la terreur.
Israël tente de nourrir un peuple que son propre régime martyrise.
Comme l’écrit l’analyste Eytan Gilboa :
.“Le Hamas a remplacé les bombes par la famine comme arme psychologique. Mais dans les souterrains de Gaza, on entend les couverts.”