La chanteuse Lina Makhoul, gagnante de la saison 2 de The Voice en Israël, ne manque jamais une occasion de susciter la polémique par ses prises de position ouvertement hostiles à l’État d’Israël. Cette fois, elle a choisi de rendre hommage… à un terroriste du Hamas.
Sur Instagram, Makhoul, qui se présente comme « 100 % palestinienne », a publié un message après l’élimination d’Anas Jamal al-Sharif – membre du Hamas et chef de cellule terroriste – par Tsahal dans la ville de Gaza. Officiellement, il se faisait passer pour « journaliste » à la chaîne qatarie Al Jazeera, mais l’armée israélienne a confirmé qu’il utilisait ce statut comme couverture pour organiser et diriger des tirs de roquettes contre les civils israéliens et les soldats de Tsahal.
🔗 Infos-Israel.News – catégorie Israël
🔗 Infos-Israel.News – Alerte Info 24/24
Un “journaliste” au service du terrorisme
Dans un communiqué, le porte-parole de Tsahal a précisé :
« Tsahal a frappé Anas al-Sharif dans la région de la ville de Gaza. Ce terroriste, opérant sous couverture de journaliste, dirigeait une cellule du Hamas impliquée dans la planification et l’exécution de tirs de roquettes contre des civils israéliens et nos forces. »
Pourtant, Makhoul n’a pas hésité à écrire sur ses réseaux :
« Je n’ai pas de mots… Les journalistes indépendants représentent la plus grande menace contre une invasion militaire soutenue par des milliards de dollars et les armes les plus avancées au monde. Que Dieu ait pitié de toi. »
Une provocation assumée
Ce n’est pas la première fois que la chanteuse s’illustre par ses déclarations controversées. En avril dernier, en annonçant une tournée, elle avait déjà désigné Haïfa – ville israélienne où elle a grandi – comme faisant partie de la « Palestine ».
Le double jeu médiatique du Hamas
Le cas d’Anas al-Sharif illustre la stratégie bien connue du Hamas : utiliser des civils ou des « journalistes » comme façade pour ses activités terroristes, espérant ainsi protéger ses agents et détourner la critique internationale. Israël rappelle que la neutralisation de ces agents n’est pas une atteinte à la liberté de la presse, mais une action nécessaire pour protéger ses citoyens.
🔗 Rak BeIsrael
🔗 Alyaexpress-News
🔗 Wikipedia – Hamas
🔗 Wikipedia – Tsahal
Conclusion : quand la “culture” se met au service de la haine
En rendant hommage à un membre du Hamas impliqué dans des attaques meurtrières, Lina Makhoul démontre qu’elle préfère la propagande à la vérité, et la complaisance envers le terrorisme à la solidarité avec les victimes israéliennes. Un choix qui en dit long sur ses priorités… et qui laisse planer un doute sur le rôle que jouent certaines voix publiques dans l’alimentation de la haine.