Les images ont circulé samedi depuis Gaza : des réservoirs d’explosifs liquides, habituellement utilisés par Tsahal pour faire sauter des bâtiments et détruire des infrastructures terroristes, ont été photographiés dans le secteur de Jabaliya. Les Palestiniens, avides de propagande, ont cru révéler un “secret militaire”. En réalité, ils n’ont fait que confirmer ce que tout le monde sait déjà : l’armée israélienne se prépare à frapper au cœur du Hamas avec une précision et une puissance inédites.
Ces contenants, semblables à des bidons industriels, sont remplis d’un explosif liquide extrêmement puissant. Leur fonction n’est pas d’attaquer des civils, contrairement à la propagande ennemie, mais de neutraliser les tunnels, les caches d’armes et les centres de commandement du Hamas. Autrement dit, ces images ne sont pas la preuve d’une prétendue “barbarie” israélienne, mais bien l’aveu indirect que l’organisation terroriste est traquée jusque dans ses entrailles.
Selon les informations publiées par Infos-Israel.News, Tsahal resserre déjà son calendrier : alors que l’on estimait initialement à deux mois le temps nécessaire pour encercler totalement la ville de Gaza, l’armée vise désormais une échéance de quelques semaines seulement. L’objectif est clair : achever le siège et se préparer à une entrée méthodique dans la ville dès le mois prochain, sauf miracle diplomatique concernant les otages.
Le plan opérationnel comprend un volet humanitaire qui démontre, encore une fois, la différence fondamentale entre Israël et ses ennemis. D’ici une semaine, un processus de poursuite d’évacuation graduelle de près de 800 000 habitants de la ville de Gaza devrait commencer. En parallèle, Israël intensifiera l’acheminement de l’aide humanitaire. Ce contraste est frappant : d’un côté, Tsahal fait tout pour réduire au maximum le danger pour les civils ; de l’autre, le Hamas continue d’utiliser ces mêmes civils comme boucliers humains.
Par ailleurs, Tsahal prévoit un retrait temporaire de certaines unités, pour permettre repos et entraînement avant la grande phase d’assaut. L’offensive, validée par le commandement sud sous les ordres du général Yaniv Asor et devant être confirmée par le chef d’état-major Eyal Zamir, sera calibrée pour limiter au maximum les risques pour les otages encore retenus à Gaza. La question du nombre de réservistes à mobiliser reste ouverte, mais l’armée souhaite s’appuyer surtout sur ses forces régulières afin d’éviter une surcharge inutile.
Les réservoirs d’explosifs liquides filmés à Jabaliya, loin d’affaiblir l’image d’Israël, confirment la détermination du pays à éradiquer les infrastructures terroristes. Ironie du sort, c’est la propagande palestinienne elle-même qui dévoile au monde entier que les tunnels du Hamas ne sont plus un sanctuaire intouchable.
À ceux qui, à Paris, Bruxelles ou New York, accusent Israël d’“occupation” ou de “disproportion”, ces images devraient rappeler une vérité simple : Tsahal combat une armée terroriste enracinée sous terre, protégée par des civils retenus contre leur gré. Les réservoirs d’explosifs ne sont pas des armes aveugles, mais des outils chirurgicaux destinés à transformer les labyrinthes de terreur du Hamas en poussière.
Le message est limpide : l’heure tourne pour le Hamas. Les familles d’otages exigent des résultats, l’armée affine ses plans, et Israël n’attendra pas éternellement que le monde découvre soudain la cruauté du mouvement islamiste. Gaza se prépare à une nouvelle étape de la guerre, et cette fois, le temps de l’ultimatum est compté.
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