Encore un exemple frappant de la manière dont certains médias occidentaux, et pas des moindres, préfèrent fabriquer une accusation contre Israël plutôt que de relater les faits. Le BBC a insinué qu’une jeune femme de Gaza, transférée en Italie pour y recevoir un traitement médical, serait morte de malnutrition – laissant entendre que l’État hébreu l’aurait « affamée ». La vérité ? Elle souffrait d’une leucémie foudroyante.
Un mensonge construit sur une tragédie réelle
La victime, Marah Abu Zohari, 20 ans, avait été transférée par l’intermédiaire d’Israël vers un hôpital italien, précisément pour tenter de la sauver. Mais au lieu de mettre en lumière cet effort humanitaire, le BBC a choisi de semer le doute et de suggérer que la maladie n’était pas en cause. Une manipulation de l’information qui rappelle tristement un schéma trop fréquent : quel que soit le drame, Israël est toujours placé dans le box des accusés.
Melanie Phillips démonte la mise en scène
La journaliste britannique juive Melanie Phillips n’a pas mâché ses mots :
« Israël aide à évacuer une malade du cancer de Gaza vers l’Italie. Elle meurt là-bas de leucémie. Le BBC sous-entend qu’Israël l’a laissée mourir de faim. Pour eux, même le cancer est la faute d’Israël. »
Un constat glaçant, mais malheureusement révélateur de la ligne éditoriale d’une partie de la presse britannique.
Huckabee, l’ironie qui tue
C’est alors que Mike Huckabee, ambassadeur des États-Unis en Israël et ancien gouverneur, a ajouté sa touche cinglante :
« Le BBC va-t-il s’excuser ? Bien sûr. Le jour où Baskin-Robbins ouvrira une succursale en enfer. »
Une formule percutante, qui a fait sourire bien des Israéliens. Parce qu’au fond, tout le monde sait que l’attente d’excuses sincères de la part du BBC tient du fantasme.
Le Hamas, l’angle mort permanent
Ce qui est frappant, c’est que les mêmes médias oublient systématiquement de rappeler le rôle du Hamas dans ces tragédies. C’est ce mouvement terroriste qui détourne l’aide humanitaire, empêche parfois les évacuations médicales, instrumentalise les malades et les enfants à des fins de propagande. Israël, malgré les roquettes et la haine, autorise régulièrement des transferts de malades vers des hôpitaux étrangers. Mais cette réalité ne cadre pas avec le récit manichéen des chaînes comme le BBC.
Le rôle vital d’Israël dans les transferts médicaux
Le bureau du COGAT (Coordination des activités gouvernementales dans les territoires) a d’ailleurs rappelé que ce transfert avait été demandé par l’Italie, et accepté par Israël. Mieux encore : plusieurs dates plus précoces avaient été proposées pour l’évacuation de la patiente. Israël ne s’est donc pas contenté d’autoriser, il a même accéléré le processus.
Une bataille de récits
Ce cas illustre parfaitement la guerre médiatique qui accompagne le conflit. Là où Israël agit de façon pragmatique et humanitaire, ses adversaires tentent d’écrire une fiction où l’État hébreu est systématiquement coupable. Les accusations du BBC ne sont pas seulement injustes : elles sont dangereuses, car elles alimentent un climat de haine contre Israël et les Juifs du monde entier.
Conclusion : une glace au goût amer pour le BBC
La pique de Huckabee restera sans doute dans les annales comme l’un de ces moments où l’humour dit la vérité plus fort que les analyses. Non, Israël n’affame pas les malades. Oui, Israël facilite même leur transfert, pendant que le Hamas exploite leur souffrance. Quant au BBC, il ferait bien de se souvenir que le journalisme, ce n’est pas une arme de propagande.
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