Quand The Guardian ressuscite les terroristes : la farce des “83 % de civils” à Gaza

Le journal britannique The Guardian, fidèle à sa réputation de relais complaisant de la propagande pro-palestinienne, a publié un « scoop » : selon lui, 83 % des victimes recensées à Gaza seraient des civils, d’après des données de l’armée israélienne elle-même. Une révélation qui a fait les gros titres, enflammé Twitter (pardon, « X ») et réjoui tous ceux qui rêvent de faire passer Israël pour un État criminel.

Mais derrière l’effet d’annonce, il y a une réalité beaucoup moins glamour : un mensonge statistique grossier, une manipulation méthodique, et surtout une profonde incompréhension — volontaire ou non — de la manière dont Israël identifie ses ennemis sur le champ de bataille.

L’astuce comptable : 17 % identifiés, 83 % « civils » par défaut

Le mécanisme est simple, et c’est là que le ridicule commence. Lors des combats, Tsahal identifie formellement les terroristes du Hamas grâce à plusieurs méthodes :

  • bases de données biométriques,
  • empreintes digitales,
  • reconnaissance faciale,
  • papiers d’identité retrouvés,
  • informations fournies par le Shin Bet et les unités de renseignement.

Résultat : seuls 17 % des morts sont immédiatement confirmés comme membres du Hamas, car ces derniers portaient des pièces d’identité ou étaient connus des services de renseignement.

Et les 83 % restants ? Dans le rapport brut, ils apparaissent simplement comme « non identifiés ». Mais pour The Guardian et ses experts autoproclamés, cela signifie automatiquement… « civils ».

C’est là qu’intervient ton analogie parfaite, devenue virale sur les réseaux :
🚍 Un bus tombe d’une falaise avec 100 passagers. Seuls 17 ont une carte d’identité. Donc, logiquement, les 83 autres sont considérés comme vivants. Voilà le niveau d’analyse du Guardian.

Quand l’ennemi jette sa carte d’identité avant de mourir

Rappelons que les combattants du Hamas ne sont pas stupides. Beaucoup entrent en guerre sans papiers, précisément pour rendre leur identification difficile. Certains empruntent même les papiers d’enfants ou de femmes pour être enregistrés comme « civils » en cas de décès.

Cette technique est vieille comme le monde : dans chaque conflit, les organisations terroristes utilisent les populations comme boucliers humains et manipulent les bilans pour maximiser la victimisation. Mais à Gaza, c’est devenu une véritable industrie.

Le Hamas, via son « ministère de la santé », annonce des bilans quotidiens dans lesquels les combattants morts sont enregistrés comme “enfants” ou “femmes”. Des enquêtes indépendantes, dont certaines reprises même par Wikipedia, ont montré que plus de 40 % des supposés « mineurs tués » avaient en réalité plus de 18 ans et appartenaient à des unités militaires.

L’obsession occidentale : trouver des “victimes” à Gaza

Pourquoi The Guardian tombe-t-il dans le piège, encore et encore ? Parce qu’il cherche désespérément un récit victimaire. Israël, malgré ses avertissements, ses tracts, ses SMS et ses couloirs humanitaires, est systématiquement accusé de « tuer des civils ».

La question que le Guardian ne pose jamais :
➡️ Pourquoi le Hamas continue-t-il à stocker ses armes dans les hôpitaux et les écoles ?
➡️ Pourquoi ses chefs se terrent-ils sous les quartiers résidentiels, tout en envoyant des roquettes sur Tel-Aviv ?
➡️ Pourquoi chaque maison familiale devient-elle une casemate remplie d’explosifs ?

Réponse : parce que cette stratégie fonctionne sur les naïfs occidentaux. Le Hamas compte sur la presse européenne pour transformer ses combattants en “civils martyrisés”. Et The Guardian, en bon soldat de la désinformation, répond présent.

Israël, seule armée au monde qui prévient avant de tirer

Un fait que The Guardian oublie systématiquement : aucune autre armée au monde n’agit avec autant de précaution que Tsahal. Avant chaque opération :

  • des tracts sont largués,
  • des SMS sont envoyés aux habitants,
  • des appels téléphoniques ciblés préviennent maison par maison,
  • des frappes de semonce (« knock on the roof ») sont effectuées pour forcer les occupants à sortir.

Résultat : des centaines de milliers de civils évacués vers le sud, loin des combats. Une prouesse logistique que même les Américains en Irak n’ont jamais réalisée à cette échelle.

Mais là encore, The Guardian choisit d’ignorer la réalité. Quand Tsahal évacue un million de Gazaouis pour neutraliser le Hamas à Gaza-ville, le journal titre sur une « catastrophe humanitaire ». Quand Israël ne le fait pas, il crie au « massacre ». Bref : Israël coupable quoi qu’il arrive.

Le mensonge utile pour les ennemis d’Israël

La conséquence de ces articles n’est pas seulement médiatique. Ils alimentent directement :

  • les campagnes BDS en Europe,
  • les manifestations pro-Hamas qui dégénèrent en violences antisémites,
  • la pression diplomatique contre Israël dans les instances internationales.

Autrement dit, en publiant un chiffre manipulé, The Guardian ne fait pas seulement du mauvais journalisme. Il donne des armes politiques à ceux qui veulent la destruction d’Israël.

L’ironie cruelle : ce sont les Israéliens qui protègent les civils

Le plus ironique dans cette affaire ? Israël est la seule démocratie du Moyen-Orient qui se soucie réellement des vies civiles — y compris de ses ennemis. Pendant ce temps, le Hamas :

  • tire ses roquettes depuis les cours d’école,
  • stocke ses missiles dans les mosquées,
  • kidnappe ses propres civils pour empêcher leur fuite vers le sud,
  • et exécute ceux qui osent désobéir.

Mais ça, The Guardian préfère l’oublier. Plus simple de compter 83 % de « civils » sans jamais vérifier qui étaient réellement ces morts.

Conclusion : quand un chiffre tue la vérité

Les 83 % du Guardian ne sont pas une donnée, mais une arme de propagande. Elle sert à inverser les rôles : le Hamas, bourreau de son peuple, devient victime ; Israël, défenseur de sa population et seule armée au monde à prévenir avant de frapper, devient bourreau.

Alors rappelons-le haut et fort :
👉 Quand un terroriste du Hamas meurt sans carte d’identité, The Guardian le ressuscite en civil innocent.

À chacun de juger si c’est du journalisme… ou du militantisme déguisé.


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