Une nouvelle fois, Philippe Lazzarini, le chef de l’UNRWA, se permet de pointer du doigt Israël. Dans un message publié sur X, il accuse l’État hébreu d’« avoir créé une famine à Gaza » et exhorte « ceux qui ont de l’influence à agir ». Le ton est solennel, dramatique, et calibré pour les médias occidentaux.
Mais derrière ces mots se cache une réalité bien différente. Car ce n’est pas Israël qui prive les habitants de Gaza de nourriture : c’est le Hamas, qui détourne l’aide humanitaire à des fins militaires. Depuis le début de la guerre, des centaines de camions remplis de vivres et de médicaments ont été autorisés à entrer par Israël. À plusieurs reprises, des cargaisons entières ont été saisies par les milices islamistes, revendues au marché noir ou réservées aux combattants et à leurs familles.
Le narratif de la « famine »
La rhétorique de Lazzarini n’est pas nouvelle. Depuis des mois, il martèle que Gaza est « au bord de la famine ». Pourtant, aucun organisme indépendant ne parle d’une famine généralisée. Ce qu’on observe, ce sont des pénuries locales et organisées, amplifiées par le Hamas pour fabriquer des images-choc.
Comme l’a révélé récemment Infos-Israel.News, chaque enfant mis en avant dans les médias occidentaux comme « victime de la faim » souffrait en réalité de maladies chroniques : syndromes génétiques, pathologies digestives ou immunitaires. Mais pour les communicants du Hamas et leurs relais de l’ONU, peu importe les diagnostics, l’essentiel est de produire un récit victimaire.
UNRWA : juge et partie
Rappelons que l’UNRWA elle-même est dans la tourmente. Plusieurs de ses employés ont été identifiés comme agents actifs du Hamas et du Jihad islamique. Certains ont même participé directement au massacre du 7 octobre. L’organisation est aujourd’hui accusée d’être devenue le bras humanitaire d’une organisation terroriste, mais cela n’empêche pas son commissaire général de distribuer les leçons de morale à Israël.
La vérité : Israël continue d’acheminer l’aide
Pendant que Lazzarini tweete, Israël continue d’ouvrir des points de passage pour faire entrer eau, farine, riz, médicaments. Des couloirs humanitaires sont organisés, et Tsahal coordonne même avec des ONG étrangères pour sécuriser les livraisons. Des hôpitaux de campagne ont été installés avec l’aide des Émirats et de pays européens.
Mais là encore, ce n’est jamais suffisant pour l’UNRWA, qui préfère répéter la propagande du Hamas : Israël affame, Israël bloque, Israël tue. Une accusation aussi simple qu’efficace, reprise en boucle par The Guardian et Le Monde.
Quand l’ONU se trompe d’ennemi
En réalité, la famine que dénonce Lazzarini n’existe pas comme phénomène généralisé. Ce qui existe, c’est une instrumentalisation de la misère. Chaque sac de riz détourné par le Hamas devient une arme politique. Chaque photo d’enfant malade devient une balle tirée contre Israël dans les médias.
La véritable famine est celle de la vérité, et c’est là que l’ONU a choisi son camp.
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