Un ex-employé d’ONG accusait l’armée israélienne d’avoir abattu un enfant venu chercher de l’aide. La réalité vient d’être révélée : l’enfant était caché vivant avec sa mère, de peur du Hamas. Une manipulation de plus qui démontre comment la propagande anti-israélienne instrumentalise l’humanitaire.
Pendant des mois, les médias hostiles à Israël ont répété la même histoire : un petit garçon de Gaza, présenté comme innocent et affamé, aurait été tué par l’armée israélienne alors qu’il se rendait vers une organisation humanitaire internationale. L’accusation provenait d’un ancien employé de la fondation GHF (Global Humanitarian Fund), qui a multiplié les interviews dans la presse internationale. Les mots étaient choisis pour frapper les consciences : « Tsahal a abattu un enfant venu demander de l’aide. »
Une vérité bien différente
La vérité, pourtant, vient de faire surface. L’enfant en question n’était pas mort. Il vivait caché, avec sa mère, par crainte d’être exécuté par le Hamas. Les terroristes, furieux que la famille ait été en contact avec une ONG internationale, auraient menacé de les éliminer pour « collaboration ». Par mesure de sécurité, l’enfant a été exfiltré récemment de la bande de Gaza, sain et sauf.
Ce renversement spectaculaire met en lumière une manipulation éhontée. L’image de l’enfant mort était devenue une arme de propagande, reprise dans des campagnes internationales contre Israël. Désormais, il est clair que cette version n’était qu’un mensonge destiné à salir l’armée israélienne.
Le rôle des ONG dans la désinformation
Ce scandale relance un débat récurrent : le rôle trouble de certaines ONG opérant à Gaza. Officiellement neutres, elles servent parfois de relais involontaires – voire volontaires – de la propagande du Hamas. « Les accusations contre Tsahal sont reprises immédiatement, sans enquête sérieuse, parce qu’elles s’inscrivent dans une narration déjà écrite : Israël est toujours coupable », explique un analyste cité par Infos-Israel.News.
Le Hamas a compris depuis longtemps la puissance médiatique de ce type d’accusation. Une photo d’enfant, une rumeur, et le narratif est lancé. Peu importe que la vérité soit plus complexe.
Une stratégie connue : « l’enfant martyr »
Depuis la Seconde Intifada, le Hamas et ses alliés utilisent régulièrement l’image de l’« enfant martyr » pour diaboliser Israël. Les cas de Mohammed al-Dura en 2000, ou plus récemment les accusations non vérifiées diffusées après chaque opération militaire, montrent une constante : exploiter la sensibilité de l’opinion publique internationale pour transformer Israël en bourreau et les Palestiniens en victimes.
Cette stratégie, bien documentée par des chercheurs et des journalistes indépendants, repose sur un principe simple : la première version d’un récit est celle qui marque les esprits, même si elle est fausse.
Tsahal face à la guerre de l’information
Pour l’armée israélienne, cette affaire est un rappel brutal que la guerre ne se joue pas seulement sur le terrain, mais aussi dans les médias. Chaque mensonge diffusé affaiblit son image internationale et alimente les campagnes hostiles dans les forums internationaux comme l’ONU.
« Nous combattons le Hamas sur deux fronts : sur le champ de bataille et dans la sphère de l’opinion publique mondiale », souligne un porte-parole militaire. « Dans les deux cas, la vérité finit par triompher, mais il faut parfois du temps. »
Le Hamas, bourreau de son propre peuple
La révélation du cas de cet enfant ne doit pas faire oublier l’essentiel : si la mère a dû cacher son fils, c’est par peur du Hamas, et non de Tsahal. L’organisation islamiste impose sa terreur à la population gazaouie, punissant toute collaboration réelle ou supposée.
Comme le rappelle RakBeIsrael.buzz, « le Hamas ne se contente pas d’utiliser les civils comme boucliers humains ; il transforme les enfants en outils de propagande et menace leurs familles pour imposer le silence ».
Les implications internationales
Cette affaire fragilise les accusations portées par certaines chancelleries et ONG occidentales contre Israël. Elle révèle à quel point l’information venant de Gaza doit être prise avec précaution. Elle renforce aussi la position de ceux qui, aux États-Unis et en Europe, plaident pour un soutien ferme à Israël face à la désinformation organisée par l’Iran et ses supplétifs.
Dans le cadre des Accords d’Abraham (Wikipédia), plusieurs pays arabes modérés ont eux aussi pris conscience de l’importance de contrer la propagande islamiste. Le mensonge de « l’enfant mort » est un exemple parfait de ce poison médiatique que beaucoup souhaitent neutraliser.
Conclusion : la vérité comme arme stratégique
La découverte que cet enfant est vivant, loin d’être un simple détail, est une victoire pour Israël dans la guerre de l’information. Elle démontre que la propagande du Hamas n’est pas invincible et qu’avec de la patience et des preuves, la vérité peut éclater.
Mais c’est aussi un avertissement : chaque accusation doit être vérifiée, chaque témoignage recoupé. Car derrière chaque mensonge se cache une stratégie visant à isoler Israël et à délégitimer son droit à se défendre.
L’affaire de « l’enfant de Gaza » restera comme une illustration brutale de ce combat : une bataille où l’arme la plus puissante n’est pas toujours la roquette ou le drone, mais le récit médiatique. Et dans ce combat, Israël ne peut pas se permettre de perdre.
Rédaction francophone Infos Israel News pour l’actualité israélienne
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