Quand les supporters nord-irlandais défient les militants pro-palestiniens : une scène qui en dit long sur l’Occident

La vidéo a rapidement circulé : des supporters de l’équipe nationale de football d’Irlande du Nord, croisant des militants pro-palestiniens avant leur match, ont choisi de répondre en chantant à tue-tête leur soutien à Israël. Une séquence à la fois surprenante et révélatrice. Car elle montre que le monde n’est pas uniformément « contre Israël », contrairement à ce que prétend la propagande. Les opposants les plus virulents sont, pour l’essentiel, issus de cercles bien identifiés : immigrés islamistes radicaux, groupuscules « woke » en quête de chaos idéologique, et gouvernements fragilisés, incapables d’imposer une ligne ferme.

Une scène de rue, mais un symbole plus large

Quelques heures avant le match de leur équipe nationale, des supporters nord-irlandais ont croisé une manifestation pro-palestinienne. Loin de se laisser intimider, ils ont entonné des chants pro-israéliens, déclenchant la colère des militants. Les images montrent un contraste frappant : d’un côté, des slogans haineux contre Israël, de l’autre, une foule populaire qui refuse de se laisser dicter ses émotions par des minorités agissantes.

Cet épisode, anecdotique en apparence, résonne fortement dans le climat actuel. Depuis le 7 octobre 2023, la rue occidentale est envahie par des cortèges hostiles à Israël, souvent marqués par la violence verbale et parfois physique. Mais cet incident rappelle une vérité essentielle : l’opinion publique n’est pas monolithique.

Immigration radicale et mouvances « woke » : un front commun

« Sans les immigrés extrémistes, 90 % de ce que nous voyons aujourd’hui en Occident n’existerait pas », résume un commentaire largement partagé sur les réseaux sociaux israéliens. La phrase est brutale, mais elle reflète une réalité démographique et sociologique. En Europe, une grande partie des manifestations pro-palestiniennes est organisée ou amplifiée par des groupes issus de l’immigration musulmane radicalisée.

À cette base militante s’ajoutent des groupes « woke » occidentaux. Issus des campus et des mouvements de gauche radicale, ils ont fait du combat anti-israélien un symbole, au même titre que les luttes anticoloniales ou identitaires. Pour eux, Israël incarne un « oppresseur blanc et occidental » à abattre. Cette convergence entre islamisme militant et idéologie « woke » crée une alliance paradoxale, mais redoutablement efficace.

Le rôle des gouvernements faibles

Le troisième élément de cette équation est politique. Face à cette alliance idéologique, les gouvernements occidentaux apparaissent souvent paralysés. Craignant les émeutes urbaines, les accusations de racisme ou les pertes électorales, nombre de dirigeants préfèrent céder du terrain plutôt que d’imposer une fermeté claire.

En France, en Grande-Bretagne, en Allemagne, les autorités autorisent des manifestations où l’on scande « mort aux Juifs », sous couvert de liberté d’expression. Aux États-Unis, certains élus progressistes n’hésitent pas à reprendre des éléments de langage issus de la propagande islamiste. Cette faiblesse institutionnelle nourrit la dynamique : les extrémistes gagnent en assurance, les communautés juives se sentent isolées, et les opinions modérées hésitent à s’exprimer.

Un soutien populaire qui existe mais reste invisible

C’est pourquoi la scène de Belfast a tant marqué. Elle prouve que, loin des cercles militants, des segments entiers de la population occidentale ne se reconnaissent pas dans la haine anti-israélienne. Ces citoyens refusent d’être assimilés à des cortèges où brûlent des drapeaux israéliens et où l’on glorifie le Hamas.

Le soutien exprimé par ces supporters nord-irlandais rappelle que le combat pour Israël est aussi un combat pour l’Occident. Défendre l’État juif, c’est défendre les valeurs démocratiques, la liberté et la stabilité face à des idéologies qui veulent les détruire.

Une bataille culturelle

Cet épisode illustre enfin que la guerre autour d’Israël n’est pas seulement militaire ou diplomatique. Elle est aussi culturelle et symbolique. Les extrémistes cherchent à imposer un récit : Israël serait un État colonial, oppresseur et illégitime. Chaque chant, chaque slogan, chaque manifestation devient une bataille narrative.

En chantant en faveur d’Israël face à des militants pro-palestiniens, les supporters nord-irlandais ont renversé ce rapport de force. Ils ont rappelé qu’il existe une résistance populaire à la propagande, une capacité de dire « non » à l’alliance du marxisme, du nazisme et de l’islamisme que dénonçait déjà Amir Tsarfati.

Conclusion : Israël n’est pas seul

L’incident de Belfast n’est pas anodin. Il révèle une fracture majeure dans les sociétés occidentales : d’un côté, une minorité militante, bruyante, extrémiste, appuyée par des gouvernements hésitants ; de l’autre, une majorité silencieuse, qui ne partage pas cette haine et qui, parfois, trouve le courage de l’exprimer publiquement.

Israël, dans ce contexte, n’est pas isolé. Les ennemis du peuple juif ne sont pas « le monde entier », mais des groupes bien identifiés qui instrumentalisent les faiblesses de l’Occident. La bataille n’est pas perdue : elle dépend de la capacité des citoyens à refuser la haine, à défendre la vérité, et à chanter, comme à Belfast, que l’avenir du monde libre ne se construira pas sur l’antisémitisme mais sur la solidarité.

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