L’image est forte et symbolique : les bulldozers blindés D-9, véritables monstres d’acier de Tsahal, font désormais leur apparition dans la bande de Gaza. Ces engins redoutables, capables de raser, déminer et neutraliser des zones entières, sont le signe annonciateur de la phase décisive de la guerre contre le Hamas. Leur déploiement massif, rendu possible grâce au soutien direct du président américain Donald Trump, souligne la détermination israélienne à ne laisser aucun obstacle sur son chemin vers la victoire.
Un feu vert américain pour une arme psychologique et militaire
Selon des sources militaires, c’est Donald Trump qui a levé personnellement les restrictions d’exportation, accélérant la livraison de ces engins lourds à Israël. Le D-9 n’est pas un simple bulldozer : blindé, renforcé et doté de systèmes de protection modernes, il est conçu pour progresser dans les environnements les plus hostiles. Il est capable d’écraser des positions fortifiées, d’ouvrir des passages à travers des quartiers minés et de détruire des infrastructures terroristes en quelques minutes.
La décision américaine de transférer ces engins témoigne du lien stratégique indéfectible entre Jérusalem et Washington. Pour Trump, c’est aussi un moyen de rappeler au monde que, sans son intervention, Israël n’aurait pas pu obtenir si rapidement ces équipements vitaux.
Une arme de terreur pour le Hamas
Dans l’imaginaire collectif palestinien, le D-9 est synonyme de cauchemar. Déjà utilisé lors de précédentes campagnes, il a marqué les esprits par sa capacité à faire reculer des combattants retranchés, à neutraliser des maisons piégées et à réduire à néant des infrastructures souterraines. Son bruit, sa puissance et sa silhouette imposante constituent une arme psychologique à part entière.
Des responsables israéliens confient que le Hamas, qui a amassé des milliers de combattants dans Gaza City en vue d’une bataille qu’il présente comme « apocalyptique », redoute plus que tout ces engins. Là où un soldat peut hésiter à avancer face à un tunnel ou une maison piégée, le D-9 avance sans crainte et écrase tout sur son passage.
L’assaut sur Gaza City se précise
L’arrivée des D-9 coïncide avec l’intensification du siège de Gaza City. Tsahal, appuyée par la Division 98, a déjà éliminé des dizaines de terroristes et frappé plus d’une centaine de cibles stratégiques ces derniers jours. L’objectif est clair : neutraliser la capacité de gouvernance du Hamas et démanteler ses infrastructures, qu’elles soient visibles en surface ou enfouies dans les entrailles de la ville.
Le Premier ministre Benjamin Netanyahou a comparé cette étape à la chute de Jérusalem face aux Romains : une victoire symbolique et stratégique qui marquerait le début de la fin pour l’organisation terroriste. Si des poches de résistance subsisteront ailleurs, la perte de Gaza City représenterait un coup fatal pour le Hamas.
Un contexte régional sous tension
L’entrée des bulldozers D-9 s’inscrit dans un contexte diplomatique et militaire extrêmement sensible. Alors que l’Égypte et les Émirats arabes unis hésitent à s’impliquer dans une architecture post-Hamas, les États-Unis poussent à la mise en place d’un plan régional qui inclurait plusieurs capitales arabes modérées.
La Maison Blanche a d’ailleurs rappelé qu’elle soutenait pleinement le droit d’Israël à se défendre et a assuré que, sous la présidence de Trump, il n’y aurait pas de rupture avec Jérusalem. Les relations étroites entre Washington et Israël constituent aujourd’hui la barrière la plus solide contre toute tentative d’imposer des sanctions internationales.
Une guerre psychologique et symbolique
Pour Israël, le déploiement des D-9 envoie un double message : au Hamas, que son temps est compté ; au peuple israélien, que Tsahal dispose des moyens et de la volonté d’aller jusqu’au bout. Ces engins, surnommés parfois « monstres d’acier » ou « bulldozers de l’apocalypse », incarnent la détermination d’une armée qui ne se laissera plus dicter son agenda par la terreur.
Leur présence dans les rues de Gaza annonce un combat dur, mais elle représente aussi l’assurance qu’aucune tranchée, aucun tunnel, aucun obstacle ne pourra freiner la marche de Tsahal. Pour les Israéliens, c’est une promesse : l’État juif ne reculera pas et poursuivra sa mission jusqu’à ce que la menace soit éliminée.
FAQ : Comprendre le D-9 et son rôle à Gaza
Qu’est-ce qu’un bulldozer D-9 ?
Le D-9 est un bulldozer Caterpillar spécialement modifié et blindé pour les besoins militaires de Tsahal. Il pèse plus de 60 tonnes et peut résister aux tirs d’armes légères, aux explosifs et aux roquettes antichars.
Pourquoi est-il redouté par le Hamas ?
Parce qu’il neutralise efficacement les pièges, rase les infrastructures terroristes et détruit les entrées de tunnels. Sa progression inexorable rend difficile toute embuscade.
Quels sont ses rôles principaux dans Gaza ?
- Ouvrir des voies sûres pour les forces d’infanterie.
- Déminer et neutraliser les engins explosifs improvisés.
- Détruire des bâtiments servant de caches ou de centres de commandement terroristes.
Quelle est la dimension psychologique de son utilisation ?
Le simple bruit du D-9, combiné à son invincibilité apparente, a souvent suffi à faire fuir des combattants ennemis. Il incarne la supériorité technologique et opérationnelle israélienne.
👉 L’arrivée massive des D-9 dans Gaza marque un tournant. Pour Israël, il s’agit d’un symbole : aucune barrière ne tiendra devant la volonté de vaincre le Hamas et de rendre aux Israéliens une sécurité durable.
Rédaction francophone Infos Israel News pour l’actualité israélienne
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