Ce ne sont pas les tanks qui nous ont fait traverser l’histoire. Le sang, nous le savons, ne se lave pas avec le sang. Mais, s’agissant d’agression, le recours à la force demeure une nécessité vitale. Au nom du sang versé par nos ancêtres, au nom de nos enfants, de ceux qui sont morts, de ceux qui sont parmi nous et de ceux qui arriverons par la volonté d’HM, nous avons l’obligation, le devoir de nous défendre, de faire de notre terre le sanctuaire de la vie, la matrice adéquate à l’arrivée du temps messianique. La providence veut que nous vivions actuellement en démocratie, l’ultime étape avant la « MALHOUT » .

De ce point de vue, nos services de défense sont d’une indéfectible légitimité. Nous pourchassons et anéantissons des terroristes par le biais de notre armée. Laissons à ces hordes de sauvages la légitimité de croire en leur crasse loi du talion. Nous avons avec nous le MIDA KENEGUEN MIDA. J’essaie de me mettre à la place des familles dans leur quotidien, je tremble pour mon peuple…

La presse française ne voile même plus sa putride partialité. Pourquoi le ferait-elle? les nuances n’existent presque plus chez ses lecteurs dont l’humanité est préoccupante. La communauté juive de France fut isolée durant le deuil de nos trois enfants… La compassion est inhibée au nom de l’antisionisme « de salon » à la française.

Puisse « bordure de protection » être le point de départ qui mettra un terme à ces terribles violences. Puissions-nous demain dire à nos enfants qu’Israël est devenu ce qu’il n’aurait jamais dû cesser d’être : une terre où coule le lait et le miel.

Par Crisstov Koisha pour Alyaexpress-News