Obama a officiellement accepté l’arme atomique pour l’Iran et il a trahit son principal allié qui est Israël. En effet, il soutient le programme nucléaire de l’Iran en échange d’engagements. Dans une étape ultérieure entre Washington et Téhéran, le président Barack Obama à accepter un programme nucléaire civil dans le pays perse si le chef suprême, l’ayatollah Ali Khamenei, donne une preuve suffisante et une déclaration publique dans laquelle l’Iran affirme que Téhéran « ne tentera jamais d’avoir des armes nucléaires. »
Le message d’Obama a été diffusé par le Premier ministre turc Erdogan, qui a visité la semaine dernière Khamenei. Lors de cette réunion, les deux dirigeants ont discuté des propositions concrètes sur le différend nucléaire en tenant compte de la situation en Syrie. La Turquie est le plus grand allié des opposants du régime à Damas, qui est traditionnellement soutenue par Téhéran.
Selon le Washington Post, M. Obama a déclaré à M. Erdogan qu’un règlement pacifique est possible et que le régime persan a la possibilité de négocier…
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :
Le 22 Février, l’ayatollah a déclaré que l’Iran n’a jamais fabriqué des armes nucléaires et n’essayera jamais. Se référant à l’islam qui selon le chef suprême interdirait une telle sorte cet arsenal. Mais la variante chiite de cette religion, qui est la majorité en Iran possède des caractéristiques qui simule la Takiya (ou mensonge si cela est nécessaire) pour défendre la religion. Ainsi la vérité est tout autre et les laboratoires nucléaires iraniennes sont multiples.
« Il ne fait aucun doute que les dirigeants des pays opposés à l’Iran sont bien conscients que nous ne cherchons pas à obtenir des armes nucléaires, car la République islamique considère que la possession d’armes nucléaires est un péché grave et estime que la prolifération de ces armes n’a aucun sens et est destructrice et dangereuse « , a t’il déclaré.
C’est la preuve que M. Erdogan a joué un rôle d’intermédiaire pour le président Obama mais aussi le chef des services de renseignement de la Turquie, Hakan Fidan.
Fidan entretient des liens étroits avec le secrétaire général de la Force Qods de l’Iran, Qassem Suleimani, l’un des conseillers les plus proches de sécurité à Khamenei. Il y a aussi le ministre des Affaires étrangères Ahmet Davutoglu, qui a déclaré jeudi qu’il n’y avait aucune chance que les déclarations de l’Iran soient en contradiction avec Khamenei concernant les armes nucléaires.
Pendant ce temps, Davutoglu a annoncé que la Turquie soutient le droit de l’Iran à poursuivre son programme nucléaire à condition qu’il soit seulement à des fins pacifiques et appelle à des pourparlers entre Téhéran et le groupe 5 formé par la Russie, les USA, Chine, France, Royaume-Uni et en Allemagne.
Hum hum …
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