Un tribunal tunisien a interdit deux vols touristiques au départ d’Amman en Jordanie, où les voyageurs avaient prévu de se rendre à Jérusalem, Bethléem et Jéricho.
L’avocat Nadia Alorga, responsable d’un groupe appelé « Association tunisienne de la résistance arabe à l’impérialisme et au sionisme » est connu sous le nom « Résister ».
Il a intenté un procès pour stopper les voyages, disant qu’ils étaient une forme de « normalisation » avec Israël. La Constitution tunisienne du gouvernement sous le nouveau «printemps arabe» ne criminalise pas la «normalisation» avec Israël, mais l’avocat Alorga s’est basé sur son droit légal et sur l’idée que la constitution prévoit le soutien des causes justes dans le monde dont la cause palestinienne.
C’est une décision assez ironique, parce que la direction de l’AP qui est sur le dossier et a encourager de telles visites à partir de pays musulmans. C’est la première fois que le système judiciaire tunisien est intervenu dans la controverse politique depuis le règne de l’ancien président Zine El Abidine Ben Ali. Certains militants politiques tunisiens ont affirmé que l’activité sioniste a pénétré la Tunisie à l’aide des fonds américains par le biais «d’associations privées « opérant dans le cadre de la« société civile »