Le premier projet de loi déposé par le chef de Yisrael Beiteinu, Avigdor Lieberman, en tant que membre de l’opposition impose à l’État de priver le financement des partis politiques, dont les membres servent à soutenir les sanctions internationales contre les villages israéliens de Judée Samarie et pour le boycott de leurs produits ou l’étiquetage obligatoire.
Suite à la décision du leader du Meretz, Zahava Galon qui a demandé de signaler les produits venant de Judée Samarie afin de les boycotter ainsi que les députés de la «Liste arabe unie », Lieberman a décidé de contre-attaquer.
Lieberman a logiquement développé une «tendance» ces derniers temps du «shekels de punition » : L’idée que les «activités anti-étatiques ne devraient pas être financées au détriment du public ».
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