La « Flottille de la Liberté», qui doit faire son chemin vers la bande de Gaza, accompagné de 5 bateaux sur lesquels 70 « militants » participent, a dû reporter la date d’arrivée estimée à Gaza prévue le 29 Juin au 1er Juillet.
Selon les médias arabes, les organisateurs de la flottille ont décidé de retarder de quelques jours leur départ vers la bande de Gaza en raison de ce qu’ils ont appelé la puissance « du vent et des vagues hautes ».
La flotte doit transporter des dizaines de parlementaires de différentes nationalités, des militants et des journalistes, ainsi que l’ancien président tunisien Moncef Marzouki, pour selon eux « briser le siège imposé par Israël » dans la bande de Gaza depuis huit ans.
Le navire suédois qui a navigué vendredi de l’île de Sicile en Italie avec quatre navires transportant environ 70 pro-palestiniens a annoncé qu’un autre groupe français devrait les joindre.
Les participants à ce convoi : l’ancien président tunisien Moncef Marzouki et la députée espagnole au Parlement européen, Anna Maria Perez Miranda, et le membre arabe de la Knesset Basil Ghattas.
Selon le correspondant d’Al-Jazeera en Grèce, les préparatifs sont en plein essor, ainsi que les préparatifs politiques et logistiques.
Il a ajouté que la flotte se compose de cinq navires et ils seront financés en tant « qu’aide humanitaire » symbolique pour les habitants de la bande de Gaza.
La deuxième chaîne israélienne avait rapporté que l’armée et les forces de sécurité israéliennes sont à la chasse d’un convoi en partance pour Gaza, et la Marine a pris toutes les mesures pour les empêcher d’approcher le secteur.
Depuis l’intervention de la marine israélienne sur le navire « Mavi Marmara », « plusieurs navires dirigés par des militants pro-palestiniens ont tenté d’atteindre les rives de Gaza, mais la marine israélienne les en a empêchés. Les nouveaux venus au sein de la flottille de la « Liberté 3 », toujours déterminés à aller à Gaza, soulignent que la pression internationale sur Israël après la guerre menée l’été dernier dans la bande de Gaza, en plus du tumulte causé par l’attaque sur le navire « Mavi Marmara » en 2010, qu’il est peu probable qu’Israël ait recourt à l’usage de la force », selon Al Jazeera.
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