C’est une bonne nouvelle pour ceux qui cherchent du travail après avoir fait leur Aliya. Une étude de l’OCDE montre que les immigrants israéliens ont un taux de chômage plus faible que les Israéliens de souche.
Cette situation est l’inverse dans les pays à forte immigration similaires tels que l’Australie, la Nouvelle-Zélande et le Canada. Le succès relatif d’Israël dans l’intégration des immigrants se traduit par une nouvelle étude menée par l’Organisation de coopération et de développement économiques et l’Union européenne, en particulier dans la réussite des immigrants dans le marché de l’emploi.
Contrairement à la norme dans les pays étudiés, les immigrés en Israël ont un taux de chômage plus faible que les Israéliens nés dans le pays même si quelques-uns se sentent discriminés sur la base de leur origine, selon l’étude.
Depuis qu’Israël a été fondée autour de l’ethos de rassemblement des exilés et l’immigration des Juifs à travers le monde, 67,1% de la population sont soit des immigrants ou ont soit un parent qui l’était. L’étude a été basée sur la base de données de la période entre 2011 et 2014 (selon les pays).