Les Iraniens, bien sûr, ne vont pas se contenter de missiles alors que le Ministre des Affaires étrangères, Mohammad Javad Zarif s’est rendu à Moscou, il a déjà été annoncé son intention de faire des achats supplémentaires.

Un peu plus d’un mois a passé depuis la signature à Vienne (14 juillet) sur l’accord  nucléaire et la République islamique d’Iran. Cet accord va garantir une  bombe dans l’avenir et plus de 150 milliards de $ dans les caisses de l’Etat Islamique.

 L’Iran a gagné des accords économiques et alléchants. L’Iran a annoncé hier que la semaine prochaine devrait être signé un accord pour des missiles anti-aériens, des missiles S-300 de pointe, vraisemblablement destinés à empêcher une attaque en Iran.
 
Franchement, pourquoi être surpris? Après que nous ayons découvert que l’une des clauses d’un accord des puissances nucléaires engage à maintenir et sécuriser le programme nucléaire iranien, pourquoi Téhéran ne parviendrait pas à se fournir de missiles S-300 ?
Par ailleurs, il a été signé en avril que le président russe Vladimir Poutine avait donné l’ordre aux Russes de vendre les missiles aux Iraniens.
Les Iraniens, bien sûr, ne vont pas se contenter de missiles, alors que lors de sa visite en Russie, le Ministre des Affaires étrangères, Mohammad Javad Zarif à Moscou, a déjà annoncé l’intention de l’Iran de faire des achats supplémentaires. La liste des courses est longue et correspond aux aspirations de l’Iran. Au-delà même de la carte nucléaire, l’Iran peut également « mettre à niveau » de façon significative la capacité conventionnelle de l’armée.
La Russie et l’Iran sont de plus en plus proches. Pendant les négociations nucléaires, les Russes ont toujours eu une oreille attentive à la position iranienne. L’Iran a l’objectif de maximiser les profits et a également réalisé un excellent accord pour eux grâce au  gouvernement américain, avec l’approche des Russes.
Ils n’ont pas de problème à envoyer à Moscou le chef des Gardiens de la Révolution, le général Qasem Soleimani. Le fait que la Russie l’a accueilli « à bras ouverts » prouve que nous vivons dans une nouvelle réalité mondiale.
Lors de la visite, les responsables iraniens se vantaient de l’accueil de Moscou, c’est la nouvelle réalité politiques dans la région. La Russie y a beaucoup contribué.
Obama et l’Iran . Quelqu’un peut-il nous expliquer quel est l’intérêt américain dans cet accord ? Si c’est le cas, il y a alors des clauses secrètes et cachées de l’accord nucléaire.
Pendant ce temps, le président syrien Bachar Assad à Damas a du mal à comprendre pourquoi tant de faveurs venant de l’Iran et la Russie. En Août 2013, nous pensions qu’ Obama allait attaquer Assad pour ses armes chimiques. …
Alors que sur la colline du Capitole à Washington, il a été annoncé que Bob Corker, président de la commission des affaires étrangères du Sénat, était opposé à l’accord au-delà du fait qu’il ne garantit pas que l’Iran devienne une puissance nucléaire, il constitue même une partie essentielle de la stratégie du gouvernement.
Ce jour-là, un autre sénateur démocrate , Bob Menendez, rallie cette opinion et ne fait confiance ni aux Iraniens, ni à l’accord émergent.
Bien qu’actuellement «seulement» 56 sénateurs ont déjà dit qu’ils sont opposés à l’accord, 67 personnes à Washington sont nécessaires. Non seulement en raison de l’accord terrible, mais aussi parce qu’il y a de nouvelles réalités politiques dans la région et que les Iraniens s’en vantent.
Poutine plonge dans la Crimée, hier.