Le ministère des Communications a mis en garde la société « Golan Telecom » en affirmant le risque de stopper la fréquence de l’opérateur s’il effectue la transaction pour la vente « Golan » vers la Société « Cellcom ».
Selon le journal « Globes », cette affaire qui a été gérée par le français Michael Boukobza et elle se déplace inévitablement sur le plan politique, même si le ministère de la Communication, dirigé par Benjamin Netanyahu, ne soulève pas d’objections contre la fusion des deux opérateurs.
Le Directeur général du Ministère a parlé clairement en faveur de la réduction des acteurs du marché, citant le fait que la baisse des prix a gelé le développement technologique des communications mobiles. Il ne fait aucun de l’intérêt de la disparition de « Golan Télécom » au sein des communications cellulaires comme «Cellcom« Partner »et« Pelephone « – lobbying pour un accord au sein du ministère des Communications.
Au cours de sa dernière visite aux États-Unis, M. Netanyahu a dit qu’il allait traiter de la question après son retour, et il a parlé en faveur du maintien de la concurrence dans l’industrie, mais depuis lors, il n’a pas communiqué ses mesures concrètes ou déclarations dans ce sens.
Dans une situation où le Premier Ministre est aussi le ministre des Communications, mais aussi le ministre de la Commission de l’économie après le départ de David Gilo, suite au conflit gazier, la question reste dans les mains de Netanyahu.
Selon le ministère des Finances, la fréquence de 2 100 MHz a été attribuée à Golan, tout en s’engageant de créer son propre réseau 3G, et 1800 MHz pour la 4G, qui était censé créer sur la base de la consolidation avec un opérateur existant. « Golan » a convenu avec «Cellcom» l’utilisation de son infrastructure, mais le ministère des Communications (quand il a été dirigé par Gilad Erdan ) n’avait pas approuvé l’accord entre les deux sociétés.
Puis Michael Golan a décidé de vendre l’entreprise.