Ce 22 mai 2012, le  vol US Airway 787  qui avait décollé de l’aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle et se dirigeait vers Charlotte, en Caroline du Nord, a été forcé à se poser « par mesure d’extrême précaution ».

Une passagère  française née au Cameroun avait « fait passer un mot à un membre de l’équipage qui disait qu’elle portait un engin implanté de manière chirurgicale », selon Peter King de la Sécurité intérieure.

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Nous avons récemment sur Alyaexpres-News publié [intlink id= »6733″ type= »post »] un article[/intlink] sur ces nouveaux kamikazes qui avaient la possibilité de porter des explosives invisibles et[intlink id= »6699″ type= »post »] indétectables dans les aéroports. [/intlink]

Cette française suspecte et de plus  sans bagage sur le vol 787, se rendait aux États-Unis.

« Des médecins l’ont examinée à bord et n’ont vu aucun signe de cicatrices récentes. On a déjà eu des renseignements faisant état de bombes implantées de manière chirurgicale constituant une menace pour le trafic aérien », a observé la sénatrice du Maine Susan Collins.

« La TSA a récemment émis des directives de sécurité pour les aéroports, les compagnies aériennes, le contrôle aérien et les gouvernements étrangers les appelant à prendre des mesures supplémentaires et à être sur leurs gardes pour tous les indices d’explosifs implantés de manière chirurgicale », a ajouté dans un communiqué Mme Collins, chef des républicains à la commission sénatoriale de la Sécurité intérieure

Par prudence, deux chasseurs F-15 ont décollé en raison de l’incident sans donner plus de précisions afin d’ escorter l’appareil en provenance de Paris.

La passagère ainsi que les autres personnes à bord ont été entendus en cabine par des agents du FBI et d’une cellule antiterroriste.

 

 

 

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