Un haut responsable de Tsahal a affirmé lors d’une conversation avec les correspondants militaires que les organisations terroristes dans le secteur nord peuvent déclencher des explosifs ou tirer des missiles antichars contre Israël. Selon des sources de Tsahal, en cas d’incident isolé de la part du Hezbollah, une guerre pourrait se déclencher à ​​la frontière nord et enflammer toute la région.

La source de haut rang a estimé que dans la prochaine confrontation avec le Hezbollah, des avions israéliens seront abattus, et de nombreux soldats capturés, l’aéroport Ben Gourion sera fermé et la guerre va prendre un certain temps. Telle est la réalité dont l’armée israélienne veut faire face à un ennemi dont la menace est puissante et prévue.

L’officier a indiqué que près de 7000 membres du Hezbollah en Syrie et plus de 1300 militants ont été tués depuis le début des combats – le double de la seconde guerre du Liban. Le Hezbollah a un écart de 10% dans le budget d’un milliard de dollars et l’organisation a du mal à payer les salaires de ses terroristes.

Dans le sud, le Hamas ne veut pas aggraver sa situation avec une guerre contre Israël, mais il continue à construire sa force à travers le développement et la fabrication de roquettes et de tunnels.

Le niveau militaire, celui de la bande de Gaza, s’est renforcé grâce à un nouvel allié de l’Iran. Ils ont des budgets, à la fois dans l’équipement, les armes et une formation militaire. En revanche, la direction politique (Khaled Meshal en particulier) voit réellement l’Arabie saoudite comme l’ennemi de l’Iran.

Israël sait aujourd’hui et plus que jamais que l’Arabie saoudite est une opportunité pour nous et surtout, depuis l’accord nucléaire américain avec l’Iran.

En Judée-Samarie, il y a eu un déclin dans les émeutes, mais l’armée israélienne estime que les attaques dans les villes israéliennes s’intensifient comme Otniel et Beit Horon. L’armée craint de plus en plus d’attaques contre des villages et des villes et essaient de les éviter. Le fait que les terroristes sont non-institutionnalisés, pas organisés ou financés, il est plus difficile pour le renseignement israélien d’agir et d’anticiper leurs activités.