Ce professeur de l’école Yavné, avait affirmé ce 18 novembre dans le 13e arrondissement que trois individus l’avaient tailladé à l’aide de deux couteaux au niveau des bras et des jambes et du ventre.

La « victime » Tzion S., avait ajouté que les malfaiteurs avaient exhibé un T-shirt à l’effigie de « Daech » mais aussi des photos de Mohamed Merah.

Cet événement a tout de suite alerté la classe politique, jusqu’au Président Hollande qui avait apporté son soutien à l’homme. 

Faute de preuves, les enquêteurs de la sûreté départementale se sont chargés d’abord de trouver ce trio maléfique et antisémite, et les doutes ont commencé :

« D’abord les blessures font un peu rigoler si l’on peut dire, et ensuite les constatations médico-légales qui ont été effectuées ne collent pas à ce qu’il raconte, tout comme d’autres examens qui ont été réalisés au cours de ces semaines d’investigations »,selon un proche de cette affaire.

Du coups, Tzion S. qui a été interrogé maintes fois dans le passé a été convoqué ce matin à l’Évêché et, selon laprovence.com, il serait placé en garde à vue depuis une heure pour « dénonciation mensongère ».

L’enquête se poursuit à l’heure actuelle et on ne sait pas si la cause de cette « garde à vue » citée par le site Provence.com est une incapacité des inspecteurs à trouver les « agresseurs » ou la cause évoquée de « dénonciation mensongère »

Attendons donc la fin de cette affaire avant des conclusions hâtives.