Le terroriste tué en Samarie avait écrit une lettre à ses parents : « Pardon pour ma dette de quelques shekalim ».

 

Avant de commettre, hier, l’attentat contre des civils et des soldats au Marsom Salafit non loin de la ville de Ariel, en Israël, ce terroriste a laissé une lettre à ses parents, où il demande pardon à son père et sa mère car il a voulu devenir un « martyr », une façon de spiritualiser le terrorisme palestinien.

Il leur a demandé avant de perpétrer l’attentat qui n’a fait aucune victime, si ce n’est lui même, de ne pas rappeler ses  » bonnes actions, mais seulement ses mauvaises », ainsi ils pourront prier afin de lui pardonner.


Il leur demande pardon de la dette de quelques shekalims qu’il avait contractée et a rappelé que son oncle lui devait 32 shekels.

La bêtise humaine dans toute sa médiocrité.

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