A la veille du triste anniversaire de l’attaque du Hamas, Israël compte ses pertes. La Caisse d’Assurance Nationale a publié aujourd’hui des données sur les citoyens tués et blessés pendant la guerre. Au cours de l’année, 885 civils ont été tués en Israël. Sept d’entre eux ont été ajoutés à la liste la semaine dernière à la suite de l’attaque terroriste de Jaffa.

77 décès au cours de l’année étaient des citoyens de pays étrangers.

Sur les 878 morts (les autres données n’incluent pas les victimes de l’attaque terroriste de Jaffa), 578 étaient des hommes et 300 des femmes. 53 enfants, garçons et filles de moins de 18 ans sont morts. Parmi eux, quatre enfants ont moins de 3 ans, deux ont moins de 5 ans, trois ont moins de 8 ans, 9 ont moins de 12 ans, 8 ont moins de 14 ans et 28 ont moins de 18 ans.

803 décès provenaient du sud du pays, 29 du nord et 26 du centre. Trois Israéliens ont été tués dans des attentats terroristes à l’étranger : notamment à Alexandrie en Égypte.

Depuis le début de la guerre, 921 Israéliens ont perdu leurs parents, dont 291 enfants de moins de 18 ans. 1 078 parents ont perdu un fils ou une fille, dont 119 ont perdu leur enfant unique.

217 civils ont été kidnappés à Gaza. 143 personnes ont été renvoyées de captivité, dont 116 vivantes (92 Israéliens et 24 étrangers). Les corps de 27 otages tués ont été restitués à Israël. 74 civils restent en captivité, dont 22 sont considérés comme morts.

Bituach Leumi fait état d’un nombre énorme de personnes touchées par les hostilités : plus de 70 000 personnes. Parmi eux, 647 sont des étrangers qui ont souffert le 7 octobre.