À la veille du nouvel an de l’année civile, la population d’Israël est estimée à neuf millions, selon le Bureau central des statistiques (CBS), avec 6 668 000 habitants, dont 74,3 % de la population totale sont juifs, 1 878 000 dont 20,9 % sont arabes et 4,8 % sont définis comme autres, y compris les chrétiens non arabes et les personnes non classées par religion dans le registre de la population.
En 2018, la population du pays a augmenté de 174 000 personnes, soit une augmentation de 2 %, soit un taux similaire à celui de la croissance annuelle de la dernière décennie. La majeure partie de la croissance, 81 %, provient de l’accroissement naturel et le reste de l’Alya. En termes d’accroissement naturel, la population juive a augmenté de 89 %, les Arabes de 94 % et les autres de 16 %. Environ 45 000 habitants sont morts et ont été exclus du registre de la population, en plus des quelques 7 000 Israéliens qui sont restés à l’étranger pendant plus d’un an.
185 000 bébés sont nés cette année en Israël dont 74,4 % sont Juifs, 22,8 % sont Arabes et 2,8 % d’autres. Environ 28 000 personnes ont immigré en Israël et environ 12 000 autres immigrants ont été inscrits sur le registre de la population, notamment des citoyens immigrants en vertu de la loi sur l’entrée en Israël. Les principaux pays d’immigration sont la Russie (31,5 %), l’Ukraine (19,6 %), la France (8 %) et les États-Unis (7,9 %). La plupart des immigrants, environ 21 000, sont venus d’Europe (76,6 %), 4 600 d’Amérique et d’Océanie (16,8 %), 1 300 d’Asie (4,9 %) et 500 d’Afrique (1,6 %).
