Accusation de viol d’une enfant juive de 7 ans : selon la police, le contexte est criminel, pas terroriste !

lLe grave acte d’accusation déposé contre un résident palestinien de Deir Qadis pour enlèvement, viol et agression d’une jeune fille de 7 ans dans la région de Binyamin raconte des actes très graves, auxquels deux amis de l’accusé ont participé, et n’ont pas encore été arrêtés. La police qualifie l’affaire d’incident criminel et l’acte d’accusation n’attribue aucun aspect de caractère terroriste à l’accusé ni à la nature de l’incident.

Selon une source policière de haut rang, l’histoire des deux suspects est apparue dans le témoignage de la jeune fille, mais pour le moment, il n’y a pas de fil conducteur. Jusqu’à présent, l’enquête de police n’a pas permis de révéler l’identité des autres partenaires.

Selon l’acte d’accusation, le défendeur aurait été employé, entre février et avril, comme agent de nettoyage et d’entretien dans une école de la région de Binyamin où la jeune fille étudiait. Dans le cadre de son travail à l’école, l’accusé parlait à la fille et lui donnait parfois des bonbons.

Un jour, le défendeur a demandé à la jeune fille de l’accompagner dans l’immeuble situé près de l’école, mais elle a refusé. L’accusé l’a traînée avec force vers la maison et l’a même jetée au sol. En conséquence, l’enfant a commencé à pleurer.

Deux travailleurs palestiniens attendaient dans le bâtiment adjacent, selon la description de la fille que l’accusé connaissait. Le défendeur a ensuite frappé la fille, l’a déshabillée et ses amis se sont moqués d’elle. Plus tard, l’accusé et ses amis ont saisi l’enfant avec ses mains et ses pieds, l’ont soulevée et lui ont même pincé le corps.

« Lorsque la victime était allongée et que les amis de l’accusée l’ont saisie de part et d’autre pour l’empêcher de bouger, ses yeux ont été masqués. L’accusé a déclaré à la victime qu’il lui faisait quelque chose d’amusant. » L’acte d’accusation contenait des explications sur le fait que la jeune fille avait pleuré et s’était plainte à l’accusé de vouloir rentrer chez elle, L’acte d’accusation s’est poursuivi, y compris des descriptions sexuelles dures des actions imputées à l’accusé, que nous avons décidé de ne pas publier pour le respect de la famille et l’enfant.

« Ils ont dit à la petite fille « tu le mérites' »

Une source impliquée dans l’affaire grave a déclaré à Online News dimanche que la décision de l’accusation d’inculper le suspect palestinien pour viol dans des circonstances aggravantes résultait de la présence d’autres personnes sur le lieu de la présumée exécution des actes graves. La détention provisoire du défendeur a été prolongée de sept jours hier.

« Ils lui ont dit » tu le mérites « , et que si elle voulait sortir de là, elle ne nous le dirait pas », lui ont dit les parents, ajoutant que, outre les déclarations, les autres suspects avaient également aidé à empêcher la fillette de s’échapper.

Un peu plus tôt, la police avait annoncé qu’au terme d’une longue enquête et de la collecte des conclusions concernant l’accusé, un Palestinien résidant à Deir Qadis, un grave acte d’accusation avait été déposé à son encontre. Selon la police, le défendeur a amené l’enfant dans un bâtiment voisin en construction et où il a commis les actes graves. Une audience aura lieu la semaine prochaine pour prolonger son renvoi jusqu’à la fin de la procédure.

L’acte d’accusation fait état d’un incident grave survenu peu de temps après, mais les parents de la fillette ont déclaré à la source : « Il y avait eu une relation unilatérale au fil du temps qui comprenait le fait de se toucher et ce n’était probablement pas le seul incident terrible. »

L’enquête s’est déroulée sur une période de trois mois et a rencontré des difficultés considérables car jusqu’à récemment, il s’agissait d’un « mot contre mot » et le défendeur a nié les allégations.

« La famille de la jeune fille est une famille courageuse qui s’est tournée vers la police », a déclaré Haim Bleicher, avocat de l’organisation. « Notre exigence la plus importante est que des efforts soient déployés pour identifier et arrêter les autres suspects. Ce sont des bombes à retardement qu’il faut tout mettre en oeuvre pour neutraliser le plus rapidement possible. « 

Le chef du parti Zehout, Moshe Feiglin, a évoqué lundi le viol de terroriste et a déclaré que « dans son village, le violeur arabe n’aurait pas osé commettre un viol aussi horrible ». Feiglin, a souligné que « lorsqu’un arabe viole une femme Juive, il revêt également une dimension nationaliste. Quand un arabe viole un juif, ce n’est pas seulement sexuel, mais c’est un viol nationaliste. « 

Rédaction francophone Infos Israel News pour l’actualité israélienne
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