MISE A JOUR : Une enquête préliminaire indique que ce sont des matière fécales qui contiennent des produits chimiques et ont été apparemment déversé des eaux usées, qui se sont accumulée dans une fosse de 30 mètres. Les équipes sur place ont réussi à se laver et recueillir le produit chimique déversé.
Après un suivi rigoureux de l’ ensemble de la région avec des détecteurs et d’autres moyens, ainsi que l’ évaluation des risques effectuée dans le domaine, il a été décidé de mettre fin à la zone de confinement civile et le retour à la normal. Les circonstances de l’incident sont étudiées.
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C’est au niveau de la rue Moshe Dayan, à Jérusalem, qu’une substance non identifiée s’est renversée sur la route, et les résidents ont indiqué qu’ils souffraient de nausées et de vomissements.
Les équipes spécialisées en matières dangereuses ont été appelées sur place tandis que toute la rue a été fermée et les systèmes de climatisation éteints. Les routes ont été bloquées et la circulation des bus et des trains a été interrompue.
Cette émanation toxique de produits chimiques fait suite à un déversement ce matin d’un conteneur non identifié, sur le boulevard Moshe Dayan, près de la zone du centre commercial Rachmilevich.
L’odeur s’est apparemment répandue dans toute la rue et les citoyens ont indiqué qu’ils pleuraient. Les pompiers tentent de noyer la substance déversée sur la route avec de l’eau à haute pression.
Une surveillance accrue des produits toxiques a commencé et les habitants sont invités à fermer leurs maisons et à rester en quarantaine. Les équipes du MDA sont arrivées pour traiter les premières personnes, victimes de forts vomissements.
Cela ressemble à une zone de guerre, selon un des résidents. « Nous ne savons pas ce qui est arrivé » ont déclaré les habitants du quartier. « Les routes sont fermées de même que l’un des centres de Pisgat Zeev, et le trafic de bus a été interrompu. Il y a une incertitude dans le quartier et nous sommes là à attendre les consignes de la police ».
« La police nous a demandé par hauts parleurs de monter dans les véhicules, de fermer les fenêtres et de quitter les lieux. Ce sont des choses effrayantes qui se produisent à quelques centaines de mètres du centre commercial ».
