Ashdod, juillet 2025. Une tension sécuritaire inhabituelle s’est abattue sur l’une des plus grandes villes d’Israël : le maire d’Ashdod, le Dr Yehiel Lasri, a été placé sous le niveau d’alerte sécuritaire le plus élevé – niveau 6 – réservé aux menaces graves contre des personnalités publiques.
Ce niveau d’aubaine n’est habituellement activé que pour les plus hauts responsables du pays. L’information a été confirmée par la chaîne publique israélienne Kan 11, mais les détails précis restent **sous le coup d’un ****strict ordre de censure imposé par les services de sécurité. Les spéculations, elles, vont bon train…
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Que sait-on ? Peu… mais c’est grave
Selon les rares bribes d’information disponibles, la sécurité autour du maire a été intensifiée dès mercredi soir, à la suite d’une évaluation du Shabak (service de sécurité intérieure). Il s’agit d’une menace concrète et crédible, d’après des sources internes, bien qu’aucune confirmation officielle ne filtre.
Niveau 6 d’alerte signifie : escorte armée, sécurisation du domicile, du trajet quotidien, et limitation de l’exposition publique.
Le Dr Lasri, médecin de profession, élu de longue date, figure emblématique de la gestion municipale à Ashdod, n’est pas connu pour un profil clivant. Ce renforcement soudain de sa sécurité pose donc de nombreuses questions, à la fois politiques, criminelles… voire idéologiques.
Une ville sous tension ? Le climat d’Israël en toile de fond
Ashdod, grande ville côtière du sud, a été touchée à plusieurs reprises depuis le 7 octobre par des attaques à la roquette, et certains quartiers restent vulnérables. Mais le lien entre cette protection renforcée et le conflit contre le Hamas n’est pas confirmé.
Faut-il y voir une menace interne ? Des tensions communautaires ? Une tentative d’attentat personnel ? La question reste ouverte.
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La guerre contre Israël ne se joue plus seulement à Gaza
Alors que l’État d’Israël affronte un harcèlement militaire au sud, une déstabilisation judiciaire et politique à l’intérieur, et une haine virulente sur le plan international, cet épisode montre que les symboles locaux du pouvoir sont aussi visés.
Maire, député, ministre… être élu en Israël, en 2025, c’est risquer sa vie.
Et cela, non pas dans une dictature ou un état en guerre civile, mais dans la seule démocratie du Moyen-Orient, qui lutte pour sa survie sur tous les fronts à la fois.
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