Les corps de six otages israéliens retrouvés le mois dernier rappellent brutalement la cruauté du Hamas. Chacun avait été exécuté d’une balle dans la tête. Mais le Hamas ne se limite pas à la violence envers les otages ; il utilise également la brutalité pour maintenir son contrôle sur la population de Gaza.
In a shocking photo, political activist Amin Abed is shown with fractures in his hands and feet, wounds across various parts of his body, and a skull fracture, following a brutal assault by Hamas militias. pic.twitter.com/0UApWCnFZn
Article aimé par nos lecteurs— Ihab Hassan (@IhabHassane) July 8, 2024
En juillet, Amin Abed, un activiste palestinien critique du Hamas, a été violemment attaqué par des agents de sécurité du groupe, qui l’ont frappé à coups de marteaux et de barres métalliques après l’avoir enlevé. Depuis son lit d’hôpital, Abed a déclaré : « Ils ont failli me tuer, ces meurtriers et criminels. »
Hamas militants brutally kidnapped Palestinian political activist Amin Abed, viciously assaulting him with batons and striking him on the head with sharp tools. He is now in critical condition in the hospital, fighting for his life.
Our hearts go out to Amin as he battles to… pic.twitter.com/m2c9BuXzrs
— Ihab Hassan (@IhabHassane) July 8, 2024
En septembre, le Syndicat des journalistes palestiniens a dénoncé la politique d’intimidation à l’égard des journalistes à Gaza après que des hommes armés ont pris d’assaut le domicile d’Ehab Fasfous, un journaliste et activiste connu pour ses critiques du Hamas. Le service de sécurité général du Hamas, une police secrète, surveille régulièrement la population et s’en prend à ceux qui critiquent le régime.
"أيها العملاء الجبناء كفى".. والد الناشط أمين عابد يصرخ ضد قادة #حماس وسط الدمار في شمال #غزة بعد اختطاف نجله وتكسير أطرافه الأربعة لكتابته منشورات على فيسبوك#العربية pic.twitter.com/qm36jsBydD
— العربية (@AlArabiya) July 8, 2024
Mercredi, Abed a quitté Gaza avec d’autres personnes blessées, autorisées par Israël à se rendre aux Émirats arabes unis pour des soins médicaux. « Je me sens en sécurité pour la première fois depuis 17 ans », a-t-il déclaré depuis son lit d’hôpital à Abou Dhabi. « Personne ne veut me tuer, m’arrêter ou me surveiller. »