Une parlementaire israélienne a montré combien le conflit palestinien est inventé et ridicule après avoir suggéré que la «Palestine» est un terme emprunté que les « Palestiniens » ne peuvent pas prononcer.
« La lettre P n’existe pas en arabe, de sorte que le terme emprunté de Palestine vaut un débat », déclare Anat Berko du parti Likoud du Premier ministre Benjamin Netanyahu lors d’un débat parlementaire, ce mercredi.
En arabe, le mot d’origine « Palestine » est écrit avec un F et non un P et se prononce « Falesteen ». Ajoutant : « Il n’y a pas de son « P » (en arabe), » a-t-elle répété à plusieurs reprises.
Les « Palestiniens » et les Arabes ne parlent pas couramment l’anglais et utilisent souvent la lettre B comme un substitut à P lorsqu’ils parlent cette langue (comme le Français).
En fin de compte, Berko a parlé du manque évident d’authenticité de l’ensemble du récit palestinien, fait de toutes pièces par des politiciens arabes dans le but fut d’ériger une barrière avant le retour des juifs en Eretz Israël.
Ce qui est étonnant au sujet des Arabes d’Israël en utilisant le nom de « Palestine » et que les « Palestiniens » vient en fait du nom « plishtim », c’est une reprise de l’expression des romains sur la pays après qu’ils aient occupé la Judée. La racine de ce mot en hébreu est « P ».
Les Plishtim (envahisseurs) n’étaient pas Sémites mais venaient des tribus helléniques qui ont navigué sur la mer Égée à Canaan et se sont installés le long de la côte entre Gaza et Ashdod.
Les Arabes d’Israël ont par la suite choisi le nom de «Envahisseurs» ou « Plishtim » pour décrire « leur droit inventé » à la « terre volée » par les Romains et les Juifs…