Un moment particulièrement émouvant a eu lieu au domicile de la famille Mark à Ashdod, « Je voulais mourir, mais Dieu en a décidé autrement et m’a sauvée plusieurs fois »

Des souvenirs ineffaçables

Née en janvier 1925 en Roumanie, Tzipora porte encore sur son bras le numéro tatoué dans un camp de travail, un témoignage silencieux des horreurs qu’elle a endurées. Avec le temps, les chiffres se sont estompés, mais pas les souvenirs, qui l’accompagnent chaque jour.

Lors de cette célébration émouvante, Tzipora a fondu en larmes et confié :
« On ne m’a jamais fêté mon anniversaire de cette façon, même pas quand j’étais enfant. Merci pour cette joie… Je ne veux qu’un peu de pain, c’est tout. »

Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile  :

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Une survie impensable… et une solitude pesante

Tzipora a perdu toute sa famille dans la Shoah et a échappé plusieurs fois à une mort certaine. Dans un témoignage bouleversant, elle a raconté les sévices qu’elle a subis dans les camps :

« Mengele me maltraitait et me giflait au visage. On me frappait avec un bâton de deux mètres de long, ce qui m’a brisé le dos. »

Dans ces moments d’horreur, elle n’espérait que la mort. Pourtant, selon ses mots :
« Dieu en a décidé autrement et m’a sauvée encore et encore. »

« Donner est un privilège » : Un appel à soutenir les survivants de la Shoah

Le directeur de Chasdei Naomi, Moshé Cohen, a souligné l’importance de cet événement :
« L’histoire de Tzipora rappelle combien il est crucial d’apporter du soutien et de la chaleur humaine aux survivants de la Shoah qui sont encore parmi nous. Chacun peut aider, que ce soit par une visite, un don ou un simple geste solidaire. Donner est un privilège. »

💙 Pour faire un don ou soutenir les survivants de la Shoah et les personnes âgées, rendez-vous sur : www.naomi.org.il