Ashraf Karga, un Palestinien de 38 ans habitant à Halhul, est accusé du meurtre par sodomie d’une jeune fille de 13 ans.

Selon les faits de l’acte d’accusation, déposé par l’avocate Renana Levy, Karga vivait dans une maison qu’il avait rénovée près de la résidence de la fillette à Ashdod. Le défendeur a pris contact avec la mineure et commis diverses infractions à plusieurs reprises. Il a également effectué un acte de sodomie.

Karga n’a pas de casier judiciaire. Le parquet chercha à l’arrêter jusqu’à la fin des poursuites judiciaires à son encontre. Le tribunal a ordonné la publication de l’acte d’accusation comme étant interdite.

Il y a deux semaines, la détention du suspect a été autorisée à être libérée. Après ses actes, lorsque le suspect s’est rendu compte que ses actes avaient été exposés, il s’est enfui dans les territoires. La police, avec l’aide de la police et de diverses forces de sécurité, a retrouvé l’homme et il a été arrêté hier pour interrogatoire. « Suite à un rapport transmis à la police, des enquêtes ont été lancées immédiatement et ont révélé que le suspect était sous l’autorité de l’Autorité palestinienne. Diverses activités ont été menées pour le localiser, notamment une assistance aux responsables de la sécurité et la poursuite de son enquête ».

L’avocat Shani Farjun, qui représente le Palestinien au nom du Bureau du défenseur public, a déclaré : « C’est un accusé qui nie catégoriquement les accusations portées contre lui. Dès qu’il s’est rendu compte qu’il était tenu d’enquêter sur cette affaire, il s’est régulièrement rendu dans les différents commissariats de Judée-Samarie et n’a pas tenté d’échapper aux autorités judiciaires, comme on pouvait s’y attendre de la part d’une personne impliquée dans les faits. Depuis l’acte d’accusation déposé aujourd’hui, je n’ai pas encore examiné les documents de l’enquête, mais d’après le peu de choses auxquelles nous avons été exposés au cours de la procédure de détention, on peut déjà dire qu’il sera très difficile de faire confiance à la version de la plaignante. «