Attentat de Jérusalem : voici les visages de la barbarie

Ils sont deux, deux silhouettes désormais figées dans l’horreur. Les terroristes qui ont ouvert le feu aujourd’hui à Jérusalem, assassinant des innocents sans défense, portent sur leurs visages la marque de la haine. Deux « monstres », comme les ont décrits les témoins, surgis de villages de Judée-Samarie pour transformer un arrêt de bus en scène de guerre.

Ces hommes, il ne faut pas se tromper, ne sont pas différents de ceux qui tirent des roquettes depuis Gaza, ni de ceux qui posent des engins piégés dans les ruelles de Rafah. C’est la même idéologie de mort, la même haine viscérale d’Israël et des Juifs. Leur seul but : tuer le maximum de civils, frapper au cœur de la société israélienne et terroriser la population.

Et pourtant, à peine quelques heures après l’attentat, certains débattent déjà des « droits » de ces terroristes, de leurs conditions de détention, ou de la quantité de nourriture qu’ils reçoivent en prison. Une absurdité qui heurte de plein fouet les familles des victimes. Comment peut-on s’émouvoir du confort de criminels de sang, alors qu’ils viennent de massacrer des innocents dans les rues de la capitale d’Israël ?

Ces deux assassins ne méritaient pas de vivre une seconde de plus après leur crime. Leur neutralisation par les forces de sécurité était non seulement légitime mais indispensable. Car face au mal, il ne peut y avoir ni complaisance ni ambiguïté : on ne dialogue pas avec la barbarie, on la détruit.


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