À Melbourne, une scène à peine croyable s’est déroulée dans un salon de coiffure local. Un jeune Israélien, venu pour une simple coupe de cheveux, a été brutalement humilié par la propriétaire du salon, une coiffeuse, après qu’elle ait détecté son accent. Elle lui a demandé d’où il venait, et à sa réponse – « Israël » – elle l’a immédiatement chassé, l’injuriant au passage de « tueur de bébés ».
L’épisode illustre parfaitement comment la haine d’Israël, nourrie de mensonges et de propagande, se traduit aujourd’hui dans des gestes du quotidien, jusqu’à exclure un client d’un commerce pour la seule raison de sa nationalité.
Le journaliste juif australien Avi Yemini n’a pas laissé passer. Prévenu de l’affaire, il s’est rendu directement dans le salon pour confronter la coiffeuse. Caméra en main, il lui a lancé : « Est-ce que tu demandes toujours aux gens avec un accent étranger d’où ils viennent ? Tu sais que c’est illégal d’expulser quelqu’un en raison de son origine ? » Mais au lieu de s’excuser, la coiffeuse a doublé son comportement discriminatoire. Elle a appelé la police en hurlant qu’Avi Yemini était… raciste !
Elle a même tenté de justifier son geste en expliquant qu’elle refusait de servir des Israéliens parce qu’ils auraient servi dans « l’armée d’attaque » d’Israël, osant répéter les calomnies habituelles de la propagande anti-israélienne.
Rapidement, l’affaire a circulé dans la communauté juive et israélienne locale. Des habitants de Melbourne, choqués, ont organisé une manifestation devant le salon de coiffure, pancartes à la main, proclamant : « Nous ne tolérerons pas la persécution des Israéliens ». Ce rassemblement a démontré que les Juifs et Israéliens de diaspora ne sont plus prêts à baisser la tête face à des agressions de ce type.
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Cette scène n’est pas sans rappeler un sombre passé. Hier, on affichait « Interdit aux Juifs » sur les vitrines en Europe. Aujourd’hui, à Melbourne, une coiffeuse croit pouvoir refuser l’entrée à un client simplement parce qu’il est israélien. Ce n’est plus de la politique, c’est de la discrimination pure et simple.
Pendant que l’Europe et l’Australie se veulent des modèles de tolérance et de diversité, la haine d’Israël s’y répand sous couvert de militantisme. Comme souvent, l’Israélien devient la cible facile : on peut le stigmatiser, l’insulter, et même l’expulser d’un commerce sans que cela ne choque immédiatement tout le monde. Mais cette fois-ci, la riposte a été claire.
L’humour noir pourrait résumer ainsi l’affaire : dans ce salon de Melbourne, le brushing est « inclusif », sauf pour les accents israéliens. Il semblerait qu’au menu, la coiffeuse propose coupe, couleur, brushing… et racisme gratuit.
Ce genre d’incident, dénoncé régulièrement dans la presse israélienne (voir Infos-Israel.News), démontre l’importance de réagir immédiatement. Les Juifs d’Australie, comme ceux d’Europe, comprennent désormais que la haine d’Israël n’est pas un débat politique, mais bien un dérapage antisémite qui les vise directement dans leur vie quotidienne.
Grâce à Avi Yemini et à la mobilisation de la communauté, la coiffeuse de Melbourne a découvert à ses dépens qu’on ne pouvait plus expulser un client israélien en pensant que cela passerait inaperçu. Ce geste discriminatoire a en réalité déclenché l’effet inverse : l’union et la visibilité d’une communauté déterminée à défendre sa dignité.
Une coupe de cheveux refusée, mais une leçon infligée : désormais, chaque insulte contre un Israélien aura une réponse, forte et publique.
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