Une décision récente d’un tribunal rabbinique israélien a déclaré que l’existence d’un compte Tinder n’est pas une cause suffisante pour empêcher une femme divorcée de recevoir une compensation en raison de son accord de mariage.
Dans le dossier déposé auprès des rabbins, l’épouse a demandé le divorce il y a deux ans et a demandé à recevoir son indemnisation, qui est traditionnellement réglé avant le mariage et s’engage sur un document présenté lors du mariage, connu sous le nom de Ketuba, a rapporté le site The Calcalist.
L’épouse a affirmé qu’elle avait quitté la maison après avoir découvert que son mari avait une liaison avec une autre femme. Elle a dit que bien que son mari ait nié l’affaire, il continuait de la tromper et exigeait la pleine compensation stipulée dans leur contrat de mariage : un montant d’environ 50 000 $.
Son mari a nié l’affaire devant le tribunal, reconnaissant qu’il connaissait la femme mais qu’ils n’étaient que des amis. En outre, il a accusé la femme d’infidélité, présentant comme preuve le témoignage d’un ami qui a dit avoir vu la femme sur l’application de rencontres populaire Tinder.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :