Jusqu’à présent cette année, quatre bébés ont été déposés devant les mosquées et les centres d’aide sociale à Gaza, et les médias arabes sont muets à ce sujet.
Il a aussi mis en cause un feuilleton turc nommé « Forbidden Love « , qui serait responsable d’une augmentation de relations incestueuses, constatées dans cet article qui date de l’année 2012.
» Les Palestiniens sont en extase devant les feuilletons turcs. Ils ne fournissent pas seulement des divertissements en soirée, mais leur influence façonne l’image et le style des jeunes téléspectateurs. Teeshirts, robes, collants, styles de vêtements, sacs à main, ceintures et bijoux portés dans le feuilleton turc, sont très convoités chez les jeunes femmes palestiniennes … Les jeunes hommes conçoivent leurs coupes de cheveux en voulant ressembler à leurs héros. Ils portent des vestes élégantes, chemises, pantalons dont les styles fluctuent avec les variations saisonnières de la mode turque. La diversité des caractères diffusés et les rebondissements de l’intrigue sans fin, attirent un grand nombre de « fans » palestiniens de tous âges, grands-parents, maris, épouses, jeunes hommes et jeunes femmes, adolescents, enfants et même les tout-petits. Tous se rassemblent chaque soir pour voir un reflet-miroir de leur «vie» sur l’écran en l’idéalisant.
Et voici comment « Forbidden Love » est décrit selon les palestiniens de Gaza :
Al Ishq el Mamnu ‘ [de Forbidden Love] est un drame social contemporain de l’amour et de l’inceste. C’est l’histoire d’une grande famille élargie partageant la même maison décousue, bourdonnant avec des désirs incestueux. Samar, l’héroïne, tombe amoureuse de son neveu beaucoup, plus jeune que son mari, d’où le titre «Forbidden Love».