Selon le site Al-Arabiya , la liste des fatwas pour cette annĂ©e 2011 nâa Ă©tĂ© que plus que gĂ©nĂ©reuse concernant la bĂȘtise humaine!
Voici pour tous les lecteurs de Alyaexpress-News, la liste des fatwas que les Femmes doivent subir dans les pays respectant (ou pas) la charia :
Top 1 : Selon un prĂȘcheur islamiste qui vit en Europe, les femmes nâont pas lâautorisation de manger des fruits et lĂ©gumes comme les concombres, les bananes et les carottes. Toucher ou mieux les consommer, car ils peuvent entrainer chez les femmes des pensĂ©es et des fantasmes coupables.
Top 2: Au Maroc, câest une Association marocaine qui a criĂ© son indignation quand il a Ă©tĂ© Ă©mis une fatwa permettant aux hommes musulmans dâavoir des rapports sexuels avec leurs Ă©pouses dĂ©cĂ©dĂ©es juste sous le prĂ©texte que rien dans lâislam interdit le sexe avec des cadavres.
Top 3 : En Somalie, lâultra-conservateur al-Shabaab al-Mujahedin a Ă©mis une fatwa pendant le mois sacrĂ© du Ramadan interdisant la consommation de sambousak, une pĂątisserie triangulaires farcis Ă la viande, fromage ou des lĂ©gumes. Le snack populaire, est interdit pour son symbole reprĂ©sentant la TrinitĂ© dans le Christianisme et ne doivent pas Ă ĂȘtre consommĂ© par les musulmans.
Top 4 : En Ăgypte, Cheikh Amr Sotouhi, chef du ComitĂ© prĂ©dication islamique Ă Al-Azhar, a Ă©mis une fatwa en Novembre interdisant aux pĂšres de marier leurs filles Ă des membres de lâancien Parti national dĂ©mocratique au pouvoir en raison de leur «corruption». Une fatwa similaire a Ă©tĂ© Ă©mis par le Cheikh Emad Effat, lors de rĂ©cents affrontements entre les manifestants et lâarmĂ©e Ă©gyptienne.
Top 5 : Une nouvelle fatwa EFFAT qui interdits aux musulmans de voter pour les membres du mĂȘme parti dissous et il a citĂ© la mĂȘme raison: La corruption , Mohamed Abdel Hadi, vice-prĂ©sident du salafiste al-Nour Parti dans le gouvernorat de Dakahliya allĂ© jusquâĂ dire que les rĂ©sultats de la commission parlementaire, dans laquelle le parti a remportĂ© une victoire inattendue, ont Ă©tĂ© mentionnĂ©s dans le Coran.
Top 6 : Interdiction aux femmes de conduire une voiture en Arabie saoudite
Top 7: Interdiction en Ăgypte de porter des talons hauts sauf Ă la maison et pour les femmes portant le voile doit couvrir leur yeux sâils sont trop sĂ©duisants.
OUF ! bonne année les nanas !
Interesting…
[…] toilettes pour les femmes. Câest le dĂ©mocrate Peter Welch qui a Ă©tĂ© Ă©tonnĂ© de constater cette sĂ©grĂ©gation des sexes en Arabie saoudite pendant une visite au royaume, la semaine derniĂšre, lorsque lui et ses […]
Cela ne date pas dâaujourdâhui! Jugez-en:
A propos des imams stupides – El Jahidh
1. Abou al-âAynĂąâ rapporte lâanecdote suivante : « Al-MadanĂź Ă©tait placĂ© au premier rang derriĂšre lâimam, lorsque ce dernier sâinterrompit et donna sa place Ă al-MadanĂź afin quâil conduise la priĂšre. Mais al-MadanĂź demeura debout si longtemps que les fidĂšles, Ă©puisĂ©s, le rappelĂšrent Ă lâordre par la formule rituelle « Louange Ă Dieu ». Pourtant, rien nây fit. Ils le dĂ©mirent donc de son poste pour dĂ©signer un nouvel imam, lâaccablant de reproche Ă lâissue de la priĂšre. Il leur fit cette rĂ©ponse : « Je pensais que le prĂ©cĂ©dent mâavait dit : garde ma place le temps que je revienne ».
2. Mohammad ben Khalaf rapporte quant Ă lui lâhistoire suivante : « Un homme passa devant un imam qui dirigeait la priĂšre et rĂ©citait de cette maniĂšre le verset coranique : « Alif LĂąme MĂźme, les Turcs ont Ă©tĂ© victorieux ». A la fin de la priĂšre, je lui dis : Ă untel, le texte est :« Les Byzantins ont Ă©tĂ© victorieux » et il me fit cette rĂ©ponse : « De toutes façon ce sont des ennemis, peu nous importe lesquels Dieu a dĂ©signĂ©s ».
3. DâaprĂšs Mandal ben Ali al-AĂąmache sortit un jour de chez lui Ă lâaube. Passant devant la mosquĂ©e des Banou Assad alors que le muezzin avait annoncĂ© le dĂ©but de la priĂšre, il entra pour accomplir son devoir. Or, lâimam choisit de rĂ©citer lors du premier cycle de priĂšre la Sourate de la GĂ©nisse, et pour le second celle de la Famille de âImrĂąn. En partant, al-AĂąmache lui dit : « Ne crains-tu donc Dieu? Ne connais-tu pas le propos du ProphĂšte – Sur lui la priĂšre et la salut – « Que celui qui guide les croyants dans la priĂšre la rende lĂ©gĂšre au croyants, car il a derriĂšre lui des gens ĂągĂ©s, malades ou qui ont quelque pressante obligation » ? Lâautre lui rĂ©pondit : Dieu – quâIl soit exaltĂ© – dit en son livre « La priĂšre est pĂ©nible, sinon pour les hommes soumis Ă Dieu ». Al-AĂąmache rĂ©pliqua alors : « Eh bien! je te fais savoir de la part des hommes soumis Ă Dieu que tu nâes quâun sot ».
4. Al-MadĂąâinĂź rapporte quant Ă lui quâun imam rĂ©citait le texte de la sourate liminaire du Coran en prononçant le mot dhĂąllĂźne, « les Ă©garĂ©s », zallĂźne, soit « ceux qui demeurent ». Un homme placĂ© derriĂšre lui lui donna alors un coup de pied, si bien que lâimam sâĂ©cria « ĂŽ mon dos », mais prononçant cette fois le mot dhahr, « dos », dahr ! Lâhomme lui dit alors : « espĂšce de …,prend donc le « d » de ton dos et rends-le aux Ă©garĂ©s, tu iras beaucoup mieux ! » Notons que lâimam qui lui avait rĂ©pondu Ă©tait un de ces imbĂ©ciles Ă longue barbe.
5. AbĂ» al-âAnbas me dit un jour : un imbĂ©cile Ă longue barbe qui Ă©tait de nos voisins avait Ă©lu domicile dans la mosquĂ©e du quartier, lâoccupant, et y faisant office de muezzin et dâimam. Or, il ne choisissait que les sourates les plus longues au cours de la priĂšre rituelle, et il advint quâun soir, il fut si long que les prieurs se rĂ©voltĂšrent bruyamment et lui dirent : quitte notre mosquĂ©e, afin que nous choisissions un autre imam Ă ta place. Ta priĂšre est bien trop longue alors que tu as derriĂšre toi des gens malades ou qui ont quelque pressante obligation. Mais il sâengagea Ă ne plus jamais faire ainsi durer le rituel, et ils le laissĂšrent en poste. Le lendemain, il appela Ă la priĂšre, se posta devant les fidĂšles, dit :« Allah Akbar », rĂ©cita la sourate liminaire, puis il se mit Ă rĂ©flĂ©chir longuement avant de leur crier : et que diriez-vous de la sourate âAbassa ? Personne ne lui rĂ©pondit, sinon un vieil homme Ă la barbe plus longue et au cerveau plus diminuĂ© encore, qui sâexclama : « Dieu nous lâa rendu intelligent ! RĂ©cite-la donc ! »
Et ces joyeusetĂ©s sont dĂ»es Ă Al-JahÌ©idh (en arabe ۧÙۏۧŰŰž), de son vrai nom âAbu ÊżUthmĂąn ÊżAmrĂ» ibn Baáž„r MahbĂ»n al-KinĂąnĂź al-LĂźthĂź al-BaáčŁrĂź (ŰŁŰšÙ ŰčŰ«Ù Ű§Ù ŰčÙ Ű±Ù ŰšÙ ŰšŰ۱ Ù ŰŰšÙÙ Ű§ÙÙÙۧÙÙ Ű§ÙÙÙŰ«Ù Ű§Ùۚ۔۱Ù) Ă©crivain arabe, nĂ© Ă Basra (aujourd’hui Bassorah) vers 776, mort en 868 ou 869. VĂ©ritable crĂ©ateur de la prose arabe, il dĂ©fend une culture arabe en combinant la tradition avec des donnĂ©es de la pensĂ©e grecque et laisse plus de deux cents ouvrages dont une cinquantaine ont Ă©tĂ© traduits en français.