Les jours, les mois, les années passent et les attentats se succèdent. Des hommes, des femmes, des enfants poignardés au couteau, à la hache, dans la rue, au supermarché, à la synagogue, au restaurant ou chez eux.
Les événements tragiques se suivent et se répètent. On a déjà oublié les visages des victimes d’hier, trop vite remplacés par ceux d’aujourd’hui.
Qui sera le prochain sur la liste ?….
L’ennemi arabe agresse sauvagement et bestialement les juifs dans leur pays, dans le seul but de nous voir disparaître d’ici.
Pour cela, le laisser-passer, ils l’ont, le permis de travail et de vivre ici, ils l’ont aussi. Ils ne leur reste plus qu’à choisir au supermarché du coin, la taille de la lame pour passer à l’acte.
Et bien sûr, ne pas oublier « l’essentiel »: leurs prochaines victimes.
Pour cela, ils n’ont pas de mal, les juifs dans les rues ne manquent pas. Notre premier ministre, lui, n’oubliera pas de présenter ses condoléances aux familles brisées, d’un discours poignant à faire verser la larme déjà trop versée par la lame arabe.
Un discours formulé et répété déjà plusieurs fois aux nombreuses familles endeuillées. Il n’oubliera pas de l’accompagner d’une petite tape sur le dos des parents et enfants, restant seuls pour leur vie, sans oublier de leur faire un dernier « hibouk » (serrer dans ses bras).
L’ennemi arabe, lui, continuera à roder et à guetter ses prochaines victimes israéliennes, tel des vautours au dessus de leur proies, avec la téouda (certificat) de l’État d’Israël dans la poche. Tellement simple, de planter des juifs ! Le permis de vivre, et de travailler parmi nous, leur donne le permis d’assassiner « du juif » partout.
Comme à leurs habitudes, ils n’auront qu’à choisir le moment, le lieux et les victimes innocentes aux dos tournés, pour les planter d’un coup de couteau à la gorge, pour les faire s’effondrer à jamais… et faire tomber d’un même coup, leur familles brisées pour la vie.
Mais quand l’ennemi arabe sera-t-il enfin reconnu et traité par l’État d’Israël comme l’ennemi qui se manifeste quotidiennement ? Mais quand ce mal islamiste sera-t-il enfin déraciné à la racine et non plus entretenu ?
Plutôt que multiplier les condoléances dans notre camp, pourquoi ne pas faire en sorte de les multiplier dans le leur ?
Non, on préfère au nom de la « démocratie » leur laisser le droit de garder le permis de nous tuer, dans une poche et le couteau dans l’autre.
A quand Dieu sera-t-il pour nous le « Guoel Israel » (Libérateur d’Israel) et qu’enfin nous méritions de voir nos ennemis se briser une fois pour toute sur LUI, « Tsour Israel Veguoalo » (Le Rocher d’Israël et son libérateur).
Par Moshe Kahloun עברית ישראל-משה כחלון. HEBREU ISRAEL