Les élèves de l’école Haya Moushka lors de l’apprentissage de la création du Pain Azyme

Notre correspondante Esther Benhaim à Marseille, nous a fait savoir que l’école juive Haya Moushka a été ce matin vandalisée.

Les enfants sont arrivés avec leurs parents pour débuter leur journée scolaire, et ont dû malheureusement faire demi-tour devant un tel spectacle de désolation.
Suite à cette attaque, d’autres parents d’élèves comme le témoigne, Lydie Fhal, donc la fille de 9 ans y est scolarisée, ont été prévenus directement par la Direction, qui leur a demandé de ne pas se rendre dans l’établissement, car la police était sur les lieux.
La mère de famille s’est tout de même déplacée pour voir ce qui s’y passait, et a constaté que trois ans après des dégâts importants dans cet établissement, c’est une nouvelle fois la destinée tragique de cette petite école juive à tendance Loubavitch  :
« Toutes les fenêtres de l’ancien bâtiment ont été cassées, ainsi que toutes les  toilettes de l’école complètement détruites, les classes des enfants entre 3 et 5 ans entièrement retournées, et devant le secrétariat, des flaques d’urine pour mieux dénigrer le travail de cette magnifique équipe pédagogique reconnue pour son professionnalisme » a témoigné Lydie.
Selon Lydie Fhal, une enseignante sur les lieux était en pleurs face au désastre :
« Je ne peux pas comprendre comme on peut agir ainsi, et abîmer ce que les enfants ont faits de leur propres mains, pourquoi autant de méchanceté gratuite ?  » 
Les enfants de l’école Haya Mouchka ne savent pas encore quand ils pourront reprendre l’école, c’est tragique à notre époque d’attaquer des école primaires.
Malgré les faibles moyens de cette école privée, installée dans ce quartier religieux, celle-ci propose des tarifs abordables aux parents d’élèves. Bien que l’école ait embauché un gardien, celui-ci n’était pas présent, et n’a donc pu éviter cette tragédie, car l’attaque s’est déroulée hier soir.

Selon notre correspondante, qui confirme que cette attaque s’est faite hier soir, vers 19h00, le bus qui accompagne habituellement les enfants n’a pas été vandalisé.

Il n y a aucune inscription antisémite, et la police recherche actuellement les causes de ce vandalisme de masse. La police a bloqué l’accès aux parents d’élèves afin de récolter des empreintes.
Pour découvrir les photos de l’école, cliquez ICI.

Téléphone pour contacter l’école : 06 34 40 15 56 (Marseille)

 

68 Commentaires

  1. CETTTE « ATAQUE » N’EST QU’UNE APPLICATION DE L’ORDRE D’EXPULSION PROVENANT DU TRIBUNAL QU’A RECU LE DIRECTEUR DE CETTE ECOLE LE VOLEUR LEON MADAR APRES AVOIR OCCUPE LES LIEUX PENDANT PLUS DE 10 ANS SANS PAYER DE LOYER ET APRES AVOIR ETE AVERTI AUPRES DES TRIBUNAUX CIVILES ET RELIGIEUX.
    CE DERNIER A FORCE LES SERRURES MISES EN PLACE PAR L’HUISSIER DU TRIBUNAL ET SE RECLAME DESORMAIS « PROPRIETAIRE DES LIEUX » ALORS QU’IL NE POSSEDE PAS LE MOINDRE DOCUMENT PROUVANT CELA DAILLEUS LE CADASTRE POURRAIT SIMPLEMENT RENSEIGNER TOUTES LES PERSONNES QUI VEULENT SAVOIR QUI SONT LES LES PROPRIETAIRES

  2. CETTTE « ATTAQUE » N’EST QU’UNE APPLICATION DE L’ORDRE D’EXPULSION PROVENANT DU TRIBUNAL QU’A RECU LE DIRECTEUR DE CETTE ECOLE LE VOLEUR LEON MADAR APRES AVOIR OCCUPE LES LIEUX PENDANT PLUS DE 10 ANS SANS PAYER DE LOYER ET APRES AVOIR ETE AVERTI AUPRES DES TRIBUNAUX CIVILES ET RELIGIEUX.
    CE DERNIER A FORCE LES SERRURES MISES EN PLACE PAR L’HUISSIER DU TRIBUNAL ET SE RECLAME DESORMAIS « PROPRIETAIRE DES LIEUX » ALORS QU’IL NE POSSEDE PAS LE MOINDRE DOCUMENT PROUVANT CELA DAILLEUS LE CADASTRE POURRAIT SIMPLEMENT RENSEIGNER TOUTES LES PERSONNES QUI VEULENT SAVOIR QUI SONT LES LES PROPRIETAIRES

  3. VOUS AVEZ MAL COMPRIS. LES HUISSIERS ONT CHANGES LES SERRURES APRES AVOIR DONNE L’ORDRE A MR MADAR DE QUITTER LES LIEUX ET CE DERNIER A FORCE LES SERRURES POUR RENTRER A NOUVEAU.

  4. LA RENTREE S’EST FAITE APRES QUE MADAR EST FORCE LES SERRURES!!!!!

    LE PROPRIETAIRE HABITANT EN ISRAEL NE PEUT PAS AGIR INSTANTANEMENT ET ENCORE MOINS SE DOUTER A QUEL POINT PEUT ON ETRE VOYOU!!

  5. Cette rentrée s’est faite « sans encombre » vu que le Directeur, un voleur et escroc patenté qui se fiche de toutes considérations et décisions de justice, et qui d’ailleurs n’a jamais payé de loyer depuis + de 10 ans, a forcé les scellés mis en place par l’huissier qui a supervisé l’expulsion (qui a eu lieu près de 3 ans après la décision de justice ordonnant son expulsion!!! – et ce suite à une série de manigances pour se maintenir envers et contre tout dans une propriété dont il vole le propriétaire depuis + de 10 ans).

  6. C est très grave et inadmissible ce qui c est passe. Cela ne donne aucun droit a ces voyous malgres vos propos.
    J espère de tout coeur qui le paieront

  7. Le problème de fond est que la Police et la Préfecture à Marseille au lieu de se contenter d’appliquer les décisions de justice, interfèrent pour retarder et prendre parti dans un conflit sur lequel ils n’ont pas la moindre compétence et prérogative pour agir. Lorsque le propriétaire est allé porter plainte la semaine dernière au commissariat suite à la nouvelle effraction des scellés par Madar, figurez-vous que le policier chargé d’enregistrer la déposition s’est vu demander par son supérieur de ne pas enregistrer la plainte!!!!! Aussi invraisemblable et scandaleux que cela puisse paraitre, nous sommes face à un Directeur voyou ayant ses appuis au sein du Consistoire de Marseille qui honteusement a pris parti pour un escroc notoire!!!
    La loi n’est pas du tout du côté du directeur qui use de la force et de tous les subterfuges possibles pour se maintenir dans ces locaux ALORS QU’UNE DÉCISION DE JUSTICE ORDONNANT SON EXPULSION A ÉTÉ RENDUE IL Y A + DE 3 ANS MAINTENANT.

    Le Propriétaire qui a engagé des procédures à l’encontre de ce voyou depuis plusieurs années déjà et a obtenu GAIN DE CAUSE sans appel et une décision ordonnant l’expulsion de Madar a été rendue depuis + de 3 ans !! mais comme cet escroc patenté a les bras longs, il a réussi à se maintenir envers et contre tout…

    C’est triste d’en arriver là, mais il est encore plus regrettable qu’un voyou qui se maintient de force dans un local, se fasse passer comme une victime alors qu’il doit des centaines de milliers d’euros de loyer à son propriétaire!!!!

  8. La véritable victime est le propriétaire qui attend de percevoir des années de loyer, qui a été interdit bancaire car le « locataire » outre le fait de ne pas payer de loyer, ne paye pas les taxes foncières ce qui a eu pour conséquence pour le propriétaire de voir son compte bancaire bloqué et SA propriété hypothéquée!!!!
    Impossible pour le propriétaire de vendre son bien (dénaturé par le « locataire » qui a entre autre détruit tous les arbres (classés par les espaces verts) et construit ILLÉGALEMENT sur ce terrain car il est occupé par une école…
    Ce voyou de Madar tristement connu pour sa gestion douteuse de toutes ses sociétés pour lesquels il a des ennuis avec le fisc, l’urssaaf et encore d’autres organismes…, a pu faire comme si de rien n’était très probablement grâce à des appuis auprès de responsables communautaires de Marseille qui le soutiennent financièrement et « politiquement »….. D’ailleurs leur attitude est loin d’être à leur honneur, et viendra le temps, croyez-moi où ils devront rendre des comptes pour leur activisme déplacé

  9. Tout simplement car Madar a demandé un mois de délai pour vider ses affaires et que l’autre option qui avait été proposée au propriétaire était de déménager les affaires de Madar et les entreposer AUX FRAIS DU PROPRIÉTAIRE!!!! si vous aviez 10 ans de loyers impayés et des frais de justice importants et vivant assez justement, vous n’auriez certainement pas vous aussi des fonds en trop pour vous payer le luxe de payer pour ces frais.
    Madar avait fomenté son plan depuis bien longtemps visiblement, car il devait quitter les lieux, le 30 juin (fin de l’année scolaire écoulée) et il a demandé un mois supplémentaire pour sortir « de plein gré » et non par la force. Le 31 juillet, il a été mis à la porte et des scellés placées. Madar a demandé à l’huissier un mois de délai pour évacuer ses affaires, ce qui a été accepté par l’huissier (ET CE CONTRE L’AVIS DU PROPRIÉTAIRE). il y a 10 jours, l’huissier nous a fait croire qu’il ne restait plus que des Algécos et une cuisinière reliée au gaz, à déménager et que 3-4 jours plus tard, les clés seraient remises au propriétaire. entre temps, Madar a forcé les scellés et a redémarrer tranquillement une nouvelle année. Le propriétaire habitant en Israël ne peut pas réagir instantanément surtout face à un voyou qui n’hésite devant RIEN pour continuer à occuper illégalement ces locaux.

  10. Je vais finir par croire que vous faite « exprès »….
    Le titre de voyou est à décerner à un escroc qui vole son propriétaire, qui va jusqu’à produire des FAUX devant la justice!!! Ce même escroc à la très triste réputation dans la Communauté et même en dehors (malheureusement) est un filou qui a utilisé tous les subterfuges juridiques inimaginables simplement pour faire trainer cette affaire sur plusieurs années. J’ai déja signalé que notre affaire n’est malheureusement pas juridique mais est devenue une affaire « politique » car il s’agit d’une école juive et que vu l’intervention de certaines personnalités juives bien placées auprès des instances politiques, cela a pris des proportions insoupçonnées en terme de temps et procédures qui alors que des sentences sont rendues, ELLES NE SONT PAS EXECUTEES PAR LA POLICE. Pour votre information, la Préfecture a été condamnée par la justice ET ELLE A DÉJÀ PAYÉE tous les loyers dus au propriétaire (pour la période allant depuis le jour de la sentence donnant raison au propriétaire), faute d’avoir exécuter la sentence du Tribunal ordonnant l’expulsion de Madar. Ceci est incroyable et démontre si besoin était une partie du scandale, à savoir que l’Etat se retrouve à payer avec l’argent du contribuable des loyers parce que la Préfecture n’est pas fichue de faire appliquer la loi….

  11. Je vais finir par croire que vous faite « exprès »….
    Le titre de voyou est à décerner à un escroc qui vole son propriétaire, qui va jusqu’à produire des FAUX devant la justice!!! Ce même escroc à la très triste réputation dans la Communauté et même en dehors (malheureusement) est un filou qui a utilisé tous les subterfuges juridiques inimaginables simplement pour faire trainer cette affaire sur plusieurs années. J’ai déja signalé que notre affaire n’est malheureusement pas juridique mais est devenue une affaire « politique » car il s’agit d’une école juive et que vu l’intervention de certaines personnalités juives bien placées auprès des instances politiques, cela a pris des proportions insoupçonnées en terme de temps et procédures qui alors que des sentences sont rendues, ELLES NE SONT PAS EXECUTEES PAR LA POLICE. Pour votre information, la Préfecture a été condamnée par la justice ET ELLE A DÉJÀ PAYÉE tous les loyers dus au propriétaire (pour la période allant depuis le jour de la sentence donnant raison au propriétaire), faute d’avoir exécuter la sentence du Tribunal ordonnant l’expulsion de Madar. Ceci est incroyable et démontre si besoin était une partie du scandale, à savoir que l’Etat se retrouve à payer avec l’argent du contribuable des loyers parce que la Préfecture n’est pas fichue de faire appliquer la loi…

  12. Facile de parler et donner des conseils (surtout qd on n’affiche même pas son nom), j’aurais bien aimé vous voir face à un escroc de cette nature… (je ne vous le souhaite surtout pas et d’ailleurs pas même à mon pire ennemi)

  13. Ceci est un des nombreux subterfuges de Madar qui a laissé sciemment croire aux parents que la nouvelle année scolaire aurait lieu dans son local à la rue Liandier (pour ne pas être pris en défaut par l’huissier qui a interrogé certains parents d’élèves) et surtout pour pouvoir « endormir » tout le monde et le propriétaire en particulier qui n’avait aucune raison d’intervenir alors que tout semblait se terminer « enfin » comme l’attend depuis si longtemps le propriétaire.

  14. Ce qui très grave et surtout inadmissible de votre part c’est ce changement de rôles où on veut faire passer ce voleur-escroc comme une pauvre victime.
    Ce que j’espère avant tout c’est que cette ordure finisse par payer enfin pour ses agissements et que tous ceux qui l’auront soutenu financièrement/moralement/politiquement payent à leur tour pour leur attitude…

  15. Sachez que RAV madar à un jugement du plus grands tribunal rabbinique mondialement connue celui de RAV Kats 10 generation de rabbanim et c’est ce qui a fait pencher l’avis du tribunal de la république française preuve à l’appui j’ai vue les papiers de mes propres yeux et je suis prêt à l’envoyer à qui le veut alors maintenant dite moî qui est le voyou celui qui empêche à nos pauvre enfants de vouloir étudier dans une école juive ou celui qui préfère tirer profit de l’argent des donts de la communauté !!???

  16. Chmouel et Moshe : Vous m’avez l’air bien informés !!! J’aimerais vraiment que vous m’expliquiez cela de vive voix ! Laissez moi vos coordonnées et je serai ravi de vous rencontrer.

  17. Si la justice vous intéresse j’en ai moi aussi des papiers a vous montrer qui ferons grincer les dents a pas mal de gens.
    A part ca le choulhan arouh (hochen michpat siman 17 paragraphe 5) exige a la personne qui juge entre deux partis d’écouter les arguments des deux personnes avant de donner son avis !! mais vous l’avez bien signalé, votre but est bien de prendre position pour Mr MADAR bien entendu sous prétexte d’être soutenu par des mécréants travestis en Rabbin (10 générations) n’ayant le moindre diplôme lui accordant le pouvoir de juger qui que soit.

  18. Quoi de plus beau et de plus moral que de faire du social et de s’occuper de petits enfants juifs, comment peut on imaginer un seul instant que cette homme est un manipulateur, voila exactement le piège dans lequel il essaie a tout prix de faire tomber l’opinion publique et ca marche!!! enfin du moins pour ceux ne veulent pas voir la vérité ou du moins qui ne la cherche même pas (avis a tous ceux qui le soutiennent financièrement ou autre…)

    car comment expliquer que le propriétaire de ce terrain qu’il a acheté il y a plus de 20 ans et a qui personne n’a jamais contesté la propriété se retrouve a devoir justifier de son bien sans pourtant l’avoir « jamais vendu » et après avoir simplement voulu rendre service en louant a madar pour le besoin d’une école contre un loyer très intéressant, chose que lui même reconnais car pour éviter l’expulsion il a lui même présenté devant la justice dans un premier temps un bail en bonne et due forme et qu’il n’a payer que les quelques premiers mois et ensuite a coupé tout contact avec le propriétaire et a fait la sourde oreille malgré les problèmes financiers pour couvrir les frais du crédit encore en cours (crédit bizarrement au nom du propriétaire!!) et des impôts fonciers et l’obliger a entamer une procédure aussi couteuse en énergies qu’en argent.

    Alors de grâce par quel miracle cet escroc vil, vénal et abject se serai retrouvé propriétaire ou en droit de se servir de ces locaux sans y avoir déboursé un francs, comment serait il possible de penser que quelqu’un de sain d’esprit soit capable de lui faire CADEAU d’une propriété a ce prix alors même qu’il ne respect pas le contrat qui a été fait.

    Combien faut-il être sans scrupule et sans reconnaissance envers une personne qui non seulement vous a rendu service et qui plus est ce même madar a profiter de ses cours pendant plusieurs années, car pour ce qui ne le savent pas, le propriétaire n’est autre qu’un Rav à la réputation plus qu’honorable.

    Mais si vous voulais continuer a croire en l’honnêteté de cette trouble personne alors intéressez vous à ses affaires qui bizarrement ne sont jamais a son nom et aux multiples dépôts de bilans ou encore à sa façon de se faire justice en détruisant le cabinet d’un dentiste connu de la communauté suite à un conflit etc…

    Je crois qu’il n’est vraiment pas utile d’en rajouter car celui qui veut voir la vérité a déjà suffisamment d’éléments qui sont faciles à vérifier et celui qui veut rester aveugle le restera même en face de la plus grande des vérités.

    Alors avant de vous indigner pour des dégâts causés a une école comme si les choses se résumaient à ça, indignez vous plutôt du comportement de ce malotrus qui par son comportement oblige les gens a devoir faire des choses qu’ils détestent tant car s’il y avait un quelconque moyen d’arriver a récupérer un bien spolié sans causer du tort a autrui et a plus forte raison a une école c’est qui aurai été fait avec la plus grande évidence.

    Réfléchissez bien !!!!

  19. Ce commentaire a été supprimé, car il porte atteinte a la vie privée d’autrui, en cas de seconde tentative, l’utilisateur sera bloqué. Merci de votre compréhension.

  20. Un propriétaire « sain d’esprit », je ne crois pas que ce soit le terme approprié pour mr Sebbah (je me permets de le nommer puisque le nom de Mr Madar est maintes fois répété, il serait bon que les gens sachent qui se trouve en face), qui malgré l’appel de 4 beth-din différents (en France et en Israel), a continué ses démarches de procédures civiles, fondées sur des mensonges, malgré les décisions rabiniques des plus grands, motivé certainement par l’argent et le pouvoir (et certainement aussi une dose de folie – donc pas « sain d’esprit »).

    Un homme qui représente pour ses « fidèles » un maître, un Rav, auprès de qui on prend conseil, qui donne des cours de Torah à un large public, peut-il refuser (étant sain d’esprit) une décision d’un tribunal de grande instance rabbinique (Beth Din qu’il a lui-même choisi) ? Désicion confirmée par écrit cet été par le tribunal de grande instance de Paris ? ! Un homme de Torah peut-il prendre le risque (sans une bonne dose de folie) , veille de Kipour, de detruire un « makom kdoucha » ou des enfants étudient la Torah ?! Sans parler du H’iloul Hachem évident, parlons aussi du « Bitoul Torah » que vous provoquez, vous touchez à la volonté et au plaisir d’Hachem … De toutes façons, vous verrez avec Lui directement ! « Yesh Din veYesh Dayan », HM protège Ses enfants.

    Mr Madar, qui oeuvre depuis des années pour l’éducation juive à portée de tous, ayant repris votre école complètement vétuste à l’époque, et mettant tous les moyens afin d’assurer aux enfants une étude dans l’Amour (vous connaissez?) et le respect (ça non plus, même pas celui des Dayanim, et sans doute pas le respect de vous-même), dans une ambiance chaleureuse où la Ch’ina est perceptible ! Par contre, ce que nous voyons, c’est un pseudo « Rav » qui poussent (qui paye?) des jeunes juifs à fauter et à détruire la vie des autres plutôt que de construire la leur !

    Pas de leçon de morale SVP, un seul souhait : Qu’HM vous aide à vous sortir de l’abîme dans lequel vous être entré et avez entraîné les autres, et que votre Techouva soit sincère, afin que vous soyez un jour pardonné.

  21. « Avis aux intéressés  » est une menace !

    A bon?!! Je ne savais pas

    Je pensais faire un appel à l’information aux personnes concernées.

    Bein désolé pour cette méprise

  22. Réponse phrase par phrase:

    « Un Directeur qui s’incruste dans une ecole qui n’est pas la sienne selon vos propos, peut il organiser une rentrée scolaire sans que la police n’intervienne? »
    A notre grand regret oui dans notre République bananière, notre Police outrepasse ses prérogatives qui sont de faire appliquer les décisions de justice et se permet de s’ériger en juge pour intervenir et protéger le squatteur de Directeur.

    « De plus si il n‘a pas payé pendant 10 ans son propriétaire, pourquoi celui ci a attendue autant de temps?  »

    Le propriétaire n’a pas attendu comme vous le croyez…. mais a entamé une procédure judiciaire (qui a duré plusieurs années suite aux nombreuses manigances de l’occupant) et a obtenu gain de cause sur TOUTE la ligne. Depuis près de 3 ans maintenant, que la décision de justice a été donnée, l’occupant se fiche de toutes considérations. Pour information, a Préfecture a même été condamnée à indemniser le propriétaire pour tous les loyers non perçus depuis la décision de justice ordonnant l’expulsion de Madar.

    « La loi était-elle du coté du Directeur vraisemblablement, vu que cette école est ouverte depuis tant d’années ? »

    Vous n’avez jamais entendu parlé de squatteurs qui occupent des locaux pendant plusieurs années??!!!

    « Alors qui sont les véritables responsables de cette destruction la veille de Yom Kippour ? »
    Ça n’est pas la bonne question à poser…… Voici les questions qui devraient vous préoccuper:
    – Comment laisse-t-on un voyou notoire rester à la Direction d’une école juive?
    – Comment laisse-t-on un directeur faire fonctionner une crèche et une école qui n’est pas aux normes élémentaires de sécurité ni d’hygiène????!!!
    – Comment ce voyou après avoir fabriqué plusieurs faux produits devant la justice, ose forcer les sellés et réoccuper illégalement une propriété pour laquelle il doit plus de 10 ans de loyer??

  23. […] au vandalisme qu’a subi l’école juive primaire Haya Moushka de Marseille, on connait les coupables. Pour la petite école, il pourrait s’agir de règlement de compte […]

  24. Bonjour, je ne peu pas laisser dire que rav Madar est quelqu un de malhonnête ou un voleur ! Je suis une maman seule mes 5 enfants sont scolarisé à haya mouchka depuis 5ans et j adore cette école ! Le rav n ai pas du tout interrese par l argent , cette école n ai pas a but lucratif! Toute l énergie de lui et sa famille sont pour l école , ils se consacrent entièrement à leur école ! Malgré les reproche de la partie adversaire , personne n aurait du faire ça , l école a été dévasté , on ne peu pas s en prendre à des enfants innocent . Je soutien mon rav et mon Ecole a 10000%

  25. En réponse à « parent eleve » :

    Sachant que le bien a été acheté en nom propre et pas au nom d’une quelconque institution il y a de ça plus de 20 ans et que madar n’a jamais été concerné à l’époque par l’achat de cette maison il faudrait avoir été dans les chaussures du propriétaire pour savoir comment il a été financé ou bien prophète ce que j’imagine n’est pas votre cas, alors comment se permettre d’affirmer de telles choses!!

    Concernant le beth din il serai bien compliqué d’exposer tout le dossier mais en gros il repose sur de faux documents présentés par ce malfaiteur et qui sont en partie reconnus et pour le reste en cours de procédure, le futur parlera.

    A part ça quand bien même il considère vraiment que le bien est à lui ça voudrais dire qu’il lui aurai été fait cadeau!!! alors pourquoi ne pas payer les impôts fonciers, même ca c’est trop???? l’état Français aussi lui doit de l’argent????

    donc ni loyer ni crédit ni impôts!!!!!

    Ca c’est logique.

    Quand a mlle hanna lasry je m’incline devant vous et vous souhaite de tout cœur de bien profiter du maitre gourou madar.

  26. En réponse a Albert.

    A aucun moment j ai écrit que le terrain ou les murs lui appartenait ! Moi ce que je constate en tant que parent d élève c est que mon rav fait tous pour l Ecole ! Ils n ont peu être pas les moyens financier d une grande Ecole mais ils y à plus d amour , de respect , de compréhension que dans n importe quel autre école ! Nous respectons les lieux et en prenons soin! L attaque qui a eu lieu et impardonnable malgré toute vos explication rien n excuse l état des locaux que les jeunes ont laisse ! Alors un voleur rav Madar je doute mais vous défendez une personne qui veut récupère son terrain seulement pour le vendre et faire du profit ! C est peu être son droit mais pas de cette façon!

  27. S’apitoyer sur le sort des enfants est une démarche classique et qui a fait ses preuves pour sensibiliser l’opinion…

    Cependant, si le sort de ces enfants émeut VRAIMENT quelqu’un, je lui suggère alors de les héberger chez lui à son compte!!!

    En attendant, c’est sur le dos de ce propriétaire que ces enfants ont été hébergé « gracieusement » pendant 11 ans.

    Il serait bien mal venu à quiconque ayant un minimum d’honnêteté intellectuelle d’inverser les rôles et chercher à faire porter le chapeau au propriétaire qui est LA SEULE ET VRAIE victime dans toute cette affaire. Je voudrais voir comment ces mêmes personnes « donneuses de leçon de morale » auraient réagi si c’est à elles qu’on devait des centaines de milliers d’euros de loyer, si c’était leur compte bancaire qui était bloqué et leur propriété hypothéquée parce que leur « locataire » ne paye pas la Taxe Foncière…

    Si le Directeur s’était conformé aux décisions de justice et avait informé les parents qu’ils étaient expulsés le 30 juin, ils auraient eu tout le temps pour se retourner et trouver une alternative. Il ne l’a pas fait justement pour se servir du buzz provoqué par cette affaire et apitoyer l’opinion publique pour leur soutirer d’abord des subventions mais surtout un soutien politique et continuer à se maintenir envers et contre tout dans ces locaux.

  28. En réponse à Infantes:

    « Nous respectons les lieux et en prenons soin! »
    Le respect élémentaire du lieux commence d’abord en payant son loyer à son propriétaire et ne pas le voler sous prétexte que l’on veut servir une cause communautaire.
    En suite, le respect veut que lorsqu’on a volé son propriétaire pendant de très nombreuses années, on lui laisse au moins récupérer son bien.

    « L’attaque qui a eu lieu et impardonnable malgré toute vos explication rien n’excuse l état des locaux que les jeunes ont laisse ! »
    Vous avez raison, rien ne sert d’argumenter avec une personne persuadée de connaitre la vérité. En attendant s’il y a quelqu’un qui devrait s’indigner de l’état de l’école, c’est le propriétaire, pas l’occupant sans droit…

    « Alors un voleur rav Madar je doute mais vous défendez une personne qui veut récupère son terrain seulement pour le vendre et faire du profit ! C est peu être son droit mais pas de cette façon! »

    La triste notoriété du Directeur dans la gestion de ses affaires n’est malheureusement pas un secret. Quand au propriétaire, c’est son droit le plus élémentaire de récupérer SON bien. Cela ne regarde PERSONNE de savoir pourquoi et dans quel but le propriétaire veut retrouver la jouissance de son terrain.

    Quant à la « façon » de récupérer son bien si après plusieurs années de procédure et une condamnation de l’occupant par la Justice le sommant de quitter les lieux, même la Préfecture fait la sourde oreille pour faire appliquer cette sentence (au point d’avoir été condamnée à indemniser le Propriétaire pour cela), et alors que le Directeur installe des malabars dans la propriété après avoir forcé les scellés mis en place par l’huissier après son expulsion, je vous serai infiniment reconnaissant de lui préconiser votre formule magique qui lui permettrait de récupérer son bien….

  29. En réponse a infantes :

    Incroyable mais vrai comment on peut être tolérant avec l’argent des autres, mais dites moi comment vous faites pour trouver de l’empathie pour un voleur sous prétexte qu’avec ce vol il s’occupe des pauvres c’est quand même fou de ne pas être capable de discernement et soutenir de tels actes. Si la torah nous dit que le chohad aveugle les sages il faut sûrement comprendre que par le fait que les gens ne payent pas la scolarité ils perdent tout discernement et ne se rendent même pas compte qu’ils sont complices de vols et quand on sait que ce truand n’a pas était déranger de remercier son bienfaiteur qui a était son rav plusieurs années durant et qui lui a loué ce local à un prix très intéressant en le laissant avec des dettes de crédits et d’impôts fonciers et passer interdit bancaire et l’obliger à dépenser des sommes folles en procès malgré sa famille nombreuse a nourrir on ne peut être que dégouté de sa perversité

    Quel horreur en plus de se faire passer pour la victime!!!!!

  30. Albert, Moshé, ou Chmouel, je ne sais plus…
    Quoiqu’il en soit, sachez que je n’ai ni Gourou, ni idole, mais juste de très bonnes raisons de m’indigner lorsque je me retrouve face à un H’iloul Hachemen aussi énorme ! Que ce soit le comportement d’un Ben Israel d’apparence « simple » ou celle d’une personne « apparemment » religieuse, représentant les valeurs de la Torah. Quand Mr Sebbah s’est présenté devant le Beth Din, il s’est engagé (comme tout juif se présentant devant un Beth Din), à accepter la décision qui sera prise par celui-ci – quelqu’elle soit ! Alors comment se fait-il que vous ne citiez dans vos messages que les tribunaux laïques et leurs décisions premières ???; Personne ici n’est juge ou prophète, mais si personne de compétent(ni le Beth Din, ni le TGI qui a validé la décision du Beth Din cet été), n’accepte de vous donner raison, à la vue et à l’analyse de tous les éléments, alors vous devez accepté la décision, et cesser de vous ruiner dans les tribunaux, vous occuper de prendre soin de votre famille, et ne pas vous entêter à réclamer un bien qui ne vous est pas dû – selon tous les avis prononcés.

    Vous avez beau décrire Rav Madar comme un élément négatif du paysage, ce qui compte c’est le résultat que l’on voit. Des enfants de tous les bords ont trouvé refuge dans cette école, grâce à l’accueil chaleureux qui est réservé à chacun, quelque soit son apparence, mais aussi grâce aux tarifs exceptionnels qu’on leur propose (ils seraient certainement dans une école laïque sans cela). Rav Madar et sa famille, consacrent le plus clair de leur temps à l’école et aux enfants.

    Je pense en effet que vous êtes une victime; victime de votre propre orgueil qui est à la base de tous les soucis entre les hommes sur terre.

    Par ailleurs, essayez d’écrire « Mr Madar » au lieu de « Madar » tout court, c’est plus courtois (bien que j’ai cru comprendre que la courtoisie n’était pas votre « fort »…) je suis sure que vous y arriverez. Ou mieux encore : Essayez de ne plus écrire du tout. L’article était là pour faire le récit d’événements graves survenus dans une école de la communauté, en montrant quelques photos des dégats, et en précisant bien que l’enquête était toujours en cours.

    Vous avez décidé (Chmouel ou Moshé, bref, le même « noyau ») de commenter en lettres majuscules « CETTTE « ATAQUE » N’EST QU’UNE APPLICATION DE L’ORDRE D’EXPULSION PROVENANT DU TRIBUNAL » … Dès lors que l’obscurité arrive, on se doit de la combattre par la lumière. On ne peut pas vous laisser dire des propos si graves sans réagir. En conclusion, selon vous, puisque les huissiers et la loi ne font pas leur boulot, alors, on se doit de réagir comme au Far West (ou un peu comme à Marseille, finalement!), on règle nos comptes comme bon nous semble par nos propres moyens et selon notre propre avis sur l’affaire…

    Un peu de retenue ne ferait de mal à personne en cette veille de Kipour. Tsom Kal à tous !

  31. stop! stop! stop!!!!arrétez tout ce déversement de propos vils, de paroles outrageantes!!! nous sommes tous des frères et soeurs juifs!!!!
    laissez la justice faire son chemin! nous sommes dans un pays de droit!! et meme si selon les dires de certains, le consistoire de marseille et ses proches seraient protégés, la vérité éclatera!!!! et alors, chacun sera jugé selon ses actes!!!!le matin , en se réveillant, avant meme de prier, chacun se trouve face à sa conscience quel que soit son degré de religiosité, il aura monter à la thora, il aura beau faire des dons et des dons….. D… le verra dans sa vérité!!!!
    prions ensemble en cette veille de yom kippour!! demandons la paix, la sérénité, la santé !!!! chana tova, hatima tova le koulam, et hai israel hai!!!!

  32. Moche et Albert et chmouel vous avez l’air très excitait je sais pas quelle herbe vous fumait mais c’est de la bonne !!!!

  33. J’aurais 4 questions a posé au Rav sebbah et a ses envoyés :
    1. Comment est-ce possible qu’une école même quand Rav sebbah la gérer soit au nom d’une sci personnel ?
    2. Comment se fait-il que Rav sebbah a assigné Rav Madar que 6 ans après l’occupation des lieux pour non paiement de loyer ?
    3. Sachant que le Beth Din de Rav Kats de Paris a jugé que la bâtisse revenez a l école Haya Mouchka et que le TGI ( tribunal de grande instance de Paris ) a validé cet arbitrage rabbinique comment un Rav comme Rav sebbah ne s’exécute pas a cette décision ?
    4. Quelle est la religion de Rav Sebbah qui lui permet de détruire physiquement des classes et du matériel dans lequel des enfants prient et étudient la torah ?
    En attendant des réponses qu ‘ ה eclaircice l’esprit de nos rabbins et qu’il protège nos enfants d’Israël

  34. Patrice,

    je vais vous répondre dans la mesure où vous écrivez avec respect et que vos questions sont précises (contrairement à d’autres) même si elles sont clairement orientées.

    Je précise que je ne suis pas « envoyé » par Rav Sebbah mais simplement très proche au point d’avoir connu les choses directement et je ne parle donc que de ce que j’ai vécu contrairement à ceux qui racontent des faits inexacts qui leur ont été rapportés et donc très imprécis ou carrément faux.

    En cette veille de Kippour, je vais me limiter dans mon langage même si ce n’est pas toujours évident.

    A la question 1 : la gestion de l’école dirigée par Rav Sebbah , l’était par une association à but non lucratif, gérée par un comité y compris pour toutes les entrées et sorties, et qui a toujours payé tout ce qui lui incombait y compris l’Urssaf et les taxes en tout genre…, même si, la « responsabilité » morale et financière a toujours été sur les seules épaules de Rav Sebbah et tout était géré de façon équilibré.

    Concernant les locaux dans lesquels l’école a été hébergée , l’historique est comme suit:

    Rav Sebbah a signé l’achat de cette propriété au début des années 90 en son nom propre et au nom de son épouse (puisque c’est un bien « privé ») donc financé par un apport personnel car à l’origine il était question de l’habité lui même et sa famille, donc sans avoir eu besoin de l’accord du comité de l’école ni de la communauté car à ce moment la, l’école n’était pas du tout concernée par cette acquisition et d’ailleurs vu les moyens à l’époque de cette petite école naissante qui avait ouvert dans les locaux du bet hamidrach personne du comité n’aurai jamais accepter de prendre cette responsabilité.

    En attendant de l’aménager pour lui même Rav sebbah a installé l’école en tant que solution provisoire et l’association de l’ecole s’est retrouvée « LOCATAIRE » des lieux pour un loyer de 7 à 8000 francs, ce qui permettra à Rav Sebbah de payer son crédit. Ce prix était bien entendu très avantageux pour l’ecole, car le but quoi qu’en pensent certains n’était certainement pas de faire de l’argent mais tout simplement de faire exister une ecole en ayant un investissement complet de sa personne pour, ce qui a toujours été sa façon de faire dans la gestion de toute la communauté . Assez rapidement les locaux sont devenus trop petits et il a fallu envisager d’agrandir et d’une solution provisoire la situation s’est installé dans la durée.

    Bien évidemment, les intentions du cœur de chacun sont scrutés par le ciel et je pense pouvoir être jaloux de la part qui est la sienne dans tout son investissement et sa droiture en matière de gestion de toutes ses œuvres communautaires durant plus de 20 ans en France, et quand je lis le manque de respect de la part d’individus qui en savent aussi peu et aussi mal, je ne peux que souffrir du plus profond de mon intérieur, et c’est d’ailleurs la raison qui motive ma démarche car en soi, ces gens là ne méritent même pas une seconde de mon temps.

    Il en découle donc que Rav Sebbah a été et reste le seul propriétaire incontesté des lieux au point qu’aucun membre du comité de l’école ni de la communauté n’a jamais réclamé à aucun moment la propriété des lieux ce qui a eu entre autre comme conséquence qu’après la fermeture de l’ecole du Rav Sebbah suite à son départ en Israël en 1999, les frais du crédit restant et les impôts fonciers lui sont naturellement retombés dessus sans que personne ne se sente concerné. En Français et dans n’importe quelle autre langue, ça s’appelle un PROPRIETAIRE qui peut disposer de son bien comme bon lui semble!!!

    C’est donc ce qui a motivé le Rav de trouver dans l’urgence quelqu’un qui occuperait les lieux pour pouvoir assumer ses obligations , c’est donc en 2001/2002 que Rav Sebbah a loué à madar avec un contrat les locaux qui étaient déjà aménagés en ecole(c’était une aubaine pour lui) à un prix qui encore une fois était censé simplement couvrir ses frai. Très vite (après quelques mois seulement) et avec la plus grande désinvolture, madar s’est arrêté de payer contrairement d’ailleurs à ce qui a été prétendu devant le Bet Din en présentant des souches de chèques mais sans aucune autre trace réelle car il a bien sûr refusé de transmette les écritures bancaires qui auraient pu confirmer qu’il a bien payé son loyer comme convenu dans ledit contrat, puisque en réalité il ne la jamais fait (à l’exception des 4,5 premiers mois).

    Je ne sais d’ailleurs pas d’où vous tirez cette fausse information comme quoi le Rav Sebbah n’a pas réclamé les loyers car il y à des courriers et des relances qui on été faite moins d’un an après qu’il ai occupé les lieux, et si vous parlez des démarches judiciaires. qui ont tardé ça s’explique dans la suite.

    Accrochez vous bien! c’est à partir de ce moment la donc meme pas un an apres qu’il a mis le secrétaire encore en fonction de Rav Sebbah DEHORS de l’ecole, a changé les serrures et a réquisitionné les locaux, les meubles ainsi que les documents appartenant à Rav Sebbah ou à l’association, a cessé de répondre à toute les sollicitations, ce qui était d’autant plus complexes vu que Rav Sebbah et sa famille étaient en pleine installation en Israël et comme tout le monde sait cela demande patience, temps et énergie et donc avec cette histoire en plus les choses devenaient vraiment très compliquées.

    La destinée du bien était à ce moment la en « réflexion » par Rav Sebbah qui était l’unique décisionnaire et le seul à pouvoir généreusement en faire profiter à la communauté même s’il n’en avait en aucun cas l’obligation. Il avait envisagé de le mettre à la disposition d’un collège de trois rabanim de la communautés qui décideraient ultérieurement de la manière de son « UTILISATION », il existe un document écrit manuellement par rav Sebbah sur ses « intentions ». Par contre, il n’y a absolument aucun autre ecrit ni aucun document donnant suite à cette idée pour la simple et bonne raison qu’elle n’a pas abouti et que depuis, le reste du temps jusqu’aujourd’hui a été mobilisé pour régler le « PROBLEME MADAR »!!!!

    Une procédure a donc été engagé a l’encontre de madar auprès des tribunaux pour expulsion, ce qui ne s’appelle en aucune manière une assignation en justice aupres des tribunaux goy au niveau de la halakha car la procédure d’expulsion est une loi qui est la pour protéger le locataire et qui est imposé au propriétaire.

    Malheureusement, je n’ai pas actuellement plus de temps pour répondre aux autres questions mais je suis tout a fait disposé après Kippour à répondre à n’importe quelle question car du coté de Rav Sebbah il n’y a absolument rien à cacher et le drame qui arrive après 10 ans de désinformation par des gens mal intentionnés doit prendre fin.

    Que justice soit faite dans ce monde qui est capable de tous les mensonges.

    A TOUTE LA COMMUNAUTE CHANA TOVA.

  35. « Madar » c’est son nom de famille, pas son prénom… Mr Madar … Essayez Albert, un petit effort de respect, je vous assure vous allez y parveinr !

  36. ‘Hanna LASRY bonsoir,

    Malgré votre parti pris évident et votre insolence envers un Rav victime de vol et d’un niveau d’ingratitude écœurant de la part de L. Madar, je vais tt de même réagir sur certains points « brièvement ».

    1. Le seul et unqiue motif pour lequel L. MADAR a assigné Rav SEBBAH devant un pseudo Beth
    Din à Marseille puis devant un Beth Din à Paris, était « selon ses dires, que Rav Sebbah aurait assigner L. Madar devant des tribunaux laïques, contrairement à ce que permet la halakha ». TOUT D’ABORD, cette accusation est un mensonge grotesque car Rav SEBBAH n’a jamais attaqué L Madar devant aucune juridiction religieuse ou civile avant que L. Madar embarque Rav SEBBAH dans cette tempête juridique. En réalité il s’agit tout simplement d’une procédure d’expulsion devant la juridiction civile à la demande de Rav SEBBAH qui est L’UNIQUE moyen légal aujourd’hui en France pour se séparer d’un locataire récalcitrant (procédure qui au passage a le mérite d’exister pour protéger le locataire de manière générale!!!). Le pseudo B.D. à Marseile a condamné Rav Sebbah alors qu’il ne l’a jamais ni auditionné ni même convoqué une seule fois !!!! L’assignation devant le B.D. de Paris faisant suite à la condamnation SCANDALEUSE de celui de Marseille (pour les raisons invoquées) comportait déja a la base des vices de formes grotesques. Je vous épargnerai le déroulement ahurissant de la comparution devant le Beth Din de Paris, pour ne m’intéresser uniquement sur la nature scandaleuse de leur « décision ». Alors que selon TOUS les documents existants, et ainsi qu’il est stipulé très clairement et sans la moindre ambiguïté possible, il subsistait un litige entre le PROPRIÉTAIRE Rav Sebbah et le LOCATAIRE L. Madar. Par un tour de magie incroyable et inexpliquable, le Beth Din a décidé de DÉPOSSÉDER le propriétaire de son bien au profit du locataire, SANS LE MOINDRE argument et sur la foi d’aucun document!!!! Pour information, L. MADAR a fabriqué des faux documents (reconnus comme tel devant la juridiction civile) et que le Beth Din a accepté pour argent comptant (malgré les preuves présentées devant eux). En bref le Beth Din a validé la version de L. Madar sur la foi de sa parole [et d’un pseudo témoin dont le seul lien avec Rav Sebbah est d’avoir organisé un gala au profit de l’école (frais de fonctionnement) de Rav SEBBAH (et ce plusieurs années après l’acquisition de la propriété par Rav SEBBAH) au terme duquel (gala), l’organisateur affirmera à Rav SEBBAH et à tout le comite de l’école que le Gala n’aura pas rapporté un centime!!! Curieusement cette personne ose mentir et prétendre qu’avec les fonds de ce même gala (qui n’avait rien rapporté, les recettes couvrant tout juste à ses dires, les frais de ce gala (traiteur, orchestre, pub, lots pour la tombola) il aurait financé l’achat de la propriété plusieurs années après son achat!!!!!.] alors que la partie adverse a toutes les preuves que ce raconte L. MADAR n’est qu’un tissu de mensonges grotesques.
    Par ailleurs, le chiffon de papier que vous présentez comme soi disant une « validation de la sentence du Beth Din par le TGI » est très probablement un nouveau faux (je parle de la signature et du tampon du TGI) qui fait l’objet d’une procédure) . De plus ce document n’est en aucuń cas une validation de la sentence du Beth Din comme vous le faites croire (et comme il a bien voulu le faire croire à la Police) mais dans le meilleur des cas, un accord de principe du Tribunal Civil pour examiner la possibilité de remettre en cause l’invalidation par le Tribunal Civil de la convention d’arbitrage qui « aurait été  » signée devant le Beth Din. EN AUCUN CAS LE TRIBUNAL CIVIL N’A ACCEPTÉ ET ENCORE MOINS VALIDÉ CETTE CONVENTION D’ARBITRAGE (QUI COMPORTE DE TELS VICES DE FORME QU’AUCUN JUGE DIGNE DE CE NOM NE POURRA JAMAIS LA VALIDER….

    Je me permets de vous suggérer de vérifier très scrupuleusement toutes vos sources car vous et d’autres dans votre cas allez être extrêmement surpris (et probablement déçus et confus) d’ici peu de temps, je peux vous l’assurer. …

    Dans le cas très probable où vous persistez dans votre opinion je vous adresse alors, un vœux très sincère en ce début d’année hébraïque: qh’Hachem fasse que vous soyez TRÈS PROCHAINEMENT amenée à être jugée avec la même partialité et incompetence par ce même Beth Din (duquel vous vous plaisez à vous revendiquer) composé de truands travestis en Rabbins.

  37. A Mme la donneuse de leçons sans RIEN connaître dans ce dossier si ce n’est que des fragments d’éléments biaisés rapportés par la partie adverse.

    J’aurais bien voulu voir votre langage châtié face à un vil ingrat, menteur et escroc qui vous devrait plus de 500.000 euros de loyer, se maintiendrait dans votre propriété plus de 10 ans, ne payant même pas la taxe foncière du bien qu’il vous vole et vous rendrait interdit bancaire entre autre, colporterait des ragots aussi grotesques que scandaleux contre vous, se fichant de toute décision de justice au point de forcer les scelles mis par l’huissier chargé de l’expulser, faisant protéger ce bien par des mafieux (des voyous au volant de BMW noires sans plaque d’immatriculation, c’est quoi à votre avis???!!!), et n’hésitant pas à produire de faux documents devant les tribunaux rabbiniques et civils (faux bail, fausse convention d’arbitrage, etc…).

    Si vous avez des conseils en matière d’honnêteté, de bienséance ou d’exemplarité, vous êtes priée de les adresser plutôt à l’escroc patenté que vous vous plaisez à défendre….

  38. Ma réponse à vos questions clairement dictées…. ne vient pas se substituer à celle d’Albert mais est plutôt complémentaire.

    A la question N° 1: Le bien foncier a été acheté par et a TOUJOURS appartenu exclusivement à Rav Sebbah. Ce dernier a hébergé dans SA propriété, une école dont il a été le fondateur, le directeur et seul responsable moral et financier incontesté par toutes les personnes qui l’ont côtoyées en 15 ans de dévouement pour la Communauté à Marseille.

    A la question N° 2: Rav Sebbah n’étant pas un procédurier, a tout d’abord employé toutes les méthodes amicales pour réclamer son dû à L. Madar à savoir entre autre l’envoi de courriers de réclamation après que L. Madar ait sciemment coupé tout contact avec Rav Sebbah. Mais de toutes façons, le « retard » éventuel dans la réclamation ne préjuge en RIEN de la légitimité pour L. Madar à se maintenir dans une propriété par le vol. Rav Sebbah étant le propriétaire légal et exclusif et accaparé pendant plusieurs années par son installation et acclimatation en Israël à la tête d’une famille avec 12 enfants, avec l’ouverture sur Bayit Vagan d’un beth hamidrash, d’un kollel et d’une yechiva ketana n’avait pas la disponibilité à l’époque pour s’investir pleinement dans le recouvrement de ses impayés (surtout lorsqu’on est face à un escroc de cette nature).

    A la question N°3: Le déroulement de toute la procédure auprès du Beth Din de rav Kats est entaché de trè GRAVES dysfonctionnements. Quant à leur « décision », bien malin serait celui qui saurait justifié par quel artifice magique, un locataire qui justifie sa présence dans cette propriété QUE par un faux bail qu’il a concocté, pourrait devenir du jour au lendemain propriétaire d’un bien entièrement financé par le Propriétaire, et qui naturellement est inscrit au Cadastre au nom du propriétaire.
    Les décisions d’un Beth Din qui s’arrogent tous les droits au point de se prendre pour D…. sur terre (au point de prétendre pouvoir décider de déposséder quelqu’un de son bien!!!) ne valent pas plus qu’un chiffon de papier….
    Par ailleurs, le TGI n’a JAMAIS validé cette décision!!! L. Madar a usé de tous les subterfuges imaginables pour tenter de faire contre poids à la décision du tribunal civil en y opposant une convention arbitrale complètement fantaisiste et qui n’a pas la moindre valeur sur le plan légal…. A ce jour, les tribunaux civils ont donné raison à rav Sebbah sur TOUTE la ligne au point que la Préfecture de Police a été condamnée par la Justice à payer (et a payé!!!!) à rav Sebbah les loyers qu’il aurait du percevoir depuis la décision de justice ordonnant l’expulsion de L. Madar, décisions, non exécutée par la Préfecture.

    A la question N° 4 (bien que formulee de facon très impolie)): La propriété comme TOUT le matériel (tables, chaises, matériel de cuisine etc) hormis les algécos et quelques fournitures appartiennent à Rav Sebbah. S’il y a quelqu’un qui doit s’insurger du sort de la propriété ou du matériel qui se trouve au 77 rue Pierre Doize, c’est bien Rav Sebbah, PERSONNE D’AUTRE!!!!!

    Qu’Hachem fasse que nous méritions d’avoir des Tribunaux Rabbiniques compétents et dignes de ce nom et que les mensonges soient dissipés aussi rapidement que possible…

  39. Voila,

    je crois bien qu’il y a déjà suffisamment d’éléments pour comprendre que de juger quelqu’un sans avoir eu son point de vu peut être très lourd de conséquence.

    Je constate le silence de la partie adverse qui bien entendu aurai tout le mal du monde à se justifier.

    Il est temps pour les responsables communautaires de Marseille de prendre leurs « responsabilités » et de pas continuer pour certains à prêter main forte et donc à cautionner ces actes et pour d’autres à ignorer le problème comme si ça ne les concernaient pas.

    Pour mémoire il s’agit d’un Rav qui a fait maintes et maintes choses pour développer la communauté pendant prés de 20 ans et je pense qu’il serait un juste retour des choses qu’au moins ils se sentent concernés par ce problème et lui donner le crédit de sa bonne foi jusqu’à preuve du contraire.

    A bon entendeur…

  40. b »h

    Moshé,

    Tout d’abord, mon prénom c’est H’anna, et je vous permets de vous adresser à moi en m’appelant par mon prénom, et non par des surnoms ironiques, (un peu lamentable comme méthode).

    Sachez qu’en effet je ne suis absolument pas experte en matière de jugement.

    Et vous non plus d’ailleurs…

    En matière de Halah’a, lorsqu’on a une question, on va voir un Rav « possek », c’est-à-dire, apte à trancher en la matière. Et cela s’applique à tous les domaines de la Vie, y compris celui des relations humaines. Notre sainte Torah, nous donne un chemin à suivre : En cas de litige entre 2 personnes, nous devons nous conseiller auprès d’un Rav et exposer les faits devant un Beth-Din, qui entendra les 2 parties, et délibèrera en fonction des riches connaissances de ceux qui le composent(3 Dayanim), de leur analyse commune, et à la précieuse lumière des enseignements de nos sages – que leur mérite nous protège.

    Alors Moshé, expliquez-moi donc comment un « homme de Torah », un « Rav », décide de s’adresser directement aux tribunaux civils, et ce pour expulser un autre juif (ou plutôt plusieurs autres juifs en l’occurrence !), au lieu de s’en remettre avant à un Dayan compétent ?

    Comment une telle personne, a-t-elle pu refuser et ignorer même, les appels des différents Rabbanim qui l’incitaient à venir exposer les faits devant un tribunal rabbinique ?

    Comment cette personne, après avoir enfin accepté de comparaître devant un Beth-Din (qu’elle a elle-même choisi), refuse de se plier à la décision du Beth-Din (alors qu’elle s’y était engagée juste avant)??? Comment peut-elle se permettre de bafouer la décision du TGI de Paris ayant validé la décision du Tribunal Rabbinique ???

    Ce blog sur internet est loin d’être une cour de tribunal, et tous vos griefs (utilisation de faux documents, etc.) devraient sans doute être exposés devant les personnes compétentes, et non pas devant tout un chacun.

    Ce que je sais par contre, c’est que lorsqu’on offense un lieu de Torah, quand on fait perdre leur temps à des enfants, en détruisant leur petit monde, leur lieu d’accueil qui rythme leur quotidien, en jetant brutalement les armoires remplies de leurs nouvelles affaires scolaires (y compris des affaires de kodesh !), on doit avoir conscience qu’on s’y prend aux Princes, fils du Roi, Le seul et L’unique, celui qui crée et renouvelle la création à chaque instant. En bref, cela s’appelle du H’iloul Hachem.

    B’’H et grâce à l’acharnement de Rav Madar, de sa famille et des personnes de bonne volonté, les enfants ont pu retourner en classe le jour suivant les investigations de la Police. Les réparations de VOS dégats, qui auraient bien pu être évités, si seulement vous acceptiez de réagir en harmonie avec ce que vous représentez, et de vous plierà la décision de l’autorité des Dayanim (et de la justice civile).

    Ceux et celles qui voudraient œuvrer pour cette « réparation d’urgence des dégats », n’hésitez pas à participer ! D. vous bénisse.

  41. Turlututu,

    Vous êtes comme bcp d’autres victimes (volontaires?) de la désinformation…
    Pour votre gouverne, L MADAR a été condamné a être expulsé une première fois par le Tribunal Administratif de Marseille, le 1 er juin 2006, une seconde fois par la Cour d’Appel d’aix en Provence, le 3 avril 2008 et le concours de la force publique a été sollicité par huissier le 16 juin 2009!!!! Voilà que nous sommes plus de 4 ans après cette 3eme échéance !!!!, et ce voyou redémarre une nouvelle année scolaire comme si de rien n’était…

  42. ´Hanna,

    Pour quelqu’un qui reconnaît ne pas être experte en matière de jugement, vous vous êtes tout de même permise pas mal d’accusations et pas des moindres…

    Pour votre gouverne, le propriétaire ne s’est PAS adressé aux tribunaux civils pour régler un différend qui aurait pu être tranché devant un Beth Din.
    Nous sommes en France, et que vous le vouliez ou non, c’est le droit civil qui régit toute transaction immobilière! AUCUN dayan n’a ni les compétences ni l’autorité pour juger de la validité d’un bail et encore moins le pouvoir de faire appliquer la moindre décision à ce sujet. Le propriétaire n’a fait que se conformer et suivre la réglementation qui s’impose, à savoir d’entamer une procédure d’expulsion (qui au passage a le « mérite » d’exister pour protéger le locataire). En vertu du principe « Dina demalkhouta Dina » c’est à dire, la juridiction de l’état fait force de loi (en Diaspora). Par ailleurs, le propriétaire a reçu la confirmation de l’autorisation de Rabbanim en Israël d’avoir recours aux instances civils et même tenez vous bien: pour attaquer le Beth Din qui 1) a prononcé sa sentence scandaleuse sans la moindre argumentation halakhique ni sur la foi d’aucun document quelconque pouvant corroborer leur décision 2) a rédigé une fausse convention d’arbitrage signée de leur main 3) refuse de transmettre au propriétaire la vraie version de la convention d’arbitrage qu’il a rédigée manuellement.
    Par ailleurs, cessez d’affirmer des contre-vérités telles que « le TGI a validé la décision du Beth Din »: ceci est un des nombreux MENSONGES caractéristiques de L. Madar. En effet il s’agit « au mieux » d’un document (dont notre huissier et avocat prétendent tous les deux qu’il s’agit probablement d’un nouveau faux… Et vous imaginez bien que le propriétaire ne va pas rester les bras croisés..) dans lequel le TGI aurait accepté le principe de réexaminer la validité de cette fameuse « convention d’arbitrage » qui a déjà été invalidée par le Tribunal à deux reprises!!!!

    De plus, si vous aussi faites semblant d’être émue par le monde de ces petits enfants, je vous suggère de les héberger chez vous, le propriétaire les ayant déjà hébergé chez LUI gratuitement (malgré lui) pendant 11 ans!!!!!! Cessez donc de vouloir culpabiliser quelqu’un qui pourrait vous en donner bien des leçons de sacrifice et d’altruisme communautaire en 35 ans de service pour la Communauté (a la différence de bien des rabbins qui font de leur fonction, un fonds de commerce ou une source de revenus) !!!!
    Montrez-nous de quel « dévouement » vous êtes capable pour ces enfants hormis vos jérémiades déplacées contre une personnalité éminente de la Communauté, victime de calomnies et d’un niveau d’ingratitude encore jamais vu dans l’histoire…

  43. Albert, Moshé,

    Des sanitaires installés par l’association retrouvés complètement détruits, la nourriture (achetée par l’école) vouée à la poubelle ( « baal tachrit » parceque vos « gros bras » ont pris soin de détruire les congelateurs et frigos qui les contenaient en les rendant inutilisables), les affaires personnelles des professeurs et des éléves jetées et détériorées, tout cela ne peut se justifier par votre déclatation « La propriété comme TOUT le matériel (tables, chaises, matériel de cuisine etc) hormis les algécos et quelques fournitures appartiennent à Rav Sebbah. S’il y a quelqu’un qui doit s’insurger du sort de la propriété ou du matériel qui se trouve au 77 rue Pierre Doize, c’est bien Rav Sebbah, PERSONNE D’AUTRE!!!!! »

    Encore une fois, exposez vos griefs devant les tribunaux rabbiniques de Paris, de Bne-brak et autres que vous dénigrez, et non devant tout un chacun.

    Et Merci pour vos Bénédictions ! « Celui qui bénit est bénit » !

  44. L’occupant sans droit a reçu le premier ordre d’expulsion en juin 2006!!! Il a enfin quitté les lieux le 31 juillet 2013 (SOIT 7 ANS PLUS TARD!!!!! non sans avoir déjà demandé un mois supplémentaire, le 30 juin 2013, date à laquelle la Préfecture avait ENFIN acceptée de prêter son concours pour faire appliquer la décision de justice) prétextant avoir besoin d’un mois pour déménager ses affaires. Tout ceci n’était que manigance et fourberie de sa part, car il n’avait jamais envisagé de quitter les lieux réellement!!!!

    Lorsque L. Madar a FORCE LES SCELLES de l’huissier et s’est introduit de nouveau dans la propriété, au regard de toutes les juridictions (juive comme civile) c’est un VOLEUR!!! Lorsqu’il trouve nécessaire d’installer dans la propriété des voyous au volant de voitures sans plaques d’immatriculation pour surveiller la propriété, c’est un vulgaire MAFIEUX qui ose en plus se faire appeler Rabbin Madar (quel outrage aux vrais rabbins…)
    Appelons un chat par son nom…. (Mes excuses au chat pour la comparaison….)

    Le seul responsable de ce qui est arrivé ou arrivera à tout ce qui se trouve dans la propriété c’est L. Madar!
    Que ceux qui ne savent pas comment gaspiller leur argent continuent à soutenir L. Madar, ça aura au moins l’avantage de l’encourager dans ses crasses…
    Et vous, ‘Hanna continuez à vous apitoyer sur un fourbe, voleur, escroc et mafieux, vous en sortirez encore plus grandie….

  45. Pour quelqu un qui croit avoir raison vous avez énormément de mal a vous faire entendre au près de la loi. Le vandalisme n est pas la solution a vos problèmes sinon a quoi sert les lois de notre république ? A vous lire vous ETES de parfaits citoyens mais j en doute ! alors laissez les enfants de cette école en paix! Le reste n est qu une affaire de justice

  46. Vous n’y êtes pas du tout, mon cher Michel,

    La loi est du côté du Propriétaire sans la moindre ambiguïté (et à la différence de la partie adverse, le Propriétaire a tous les documents authentiques qui corroborent sa version des faits (et non falsifiés comme ceux fabriqués et exhibés par L. Madar) et pour preuve:

    1. Le Tribunal en juin 2006 avait déjà ordonné l’expulsion de L. Madar.

    2. La cours d’appel d’Aix en Provence a confirmé cette décision en juillet 2008.

    3. En juin 2009, une troisième confirmation a eu lieu par le JEX

    4. La Préfecture de Police a été condamnée par le Tribunal à payer au Propriétaire tous les loyers non perçus depuis juin 2009, date à laquelle, son concours a été sollicité pour faire appliquer la décision de justice. Et la Préfecture a déjà réglée une bonne partie de ces loyers….

    Quant à votre question « A quoi servent les lois de notre République? » le Propriétaire vous rejoint tout à fait sur cette question (mais pour des raisons différentes) puisque:
    – 3 condamnations par la Justice, ne suffisent pas à L. Madar pour quitter les lieux qu’il squatte.
    – La Préfecture met 4 ans pour se décider à appliquer partiellement la sentence du Tribunal (elle fait sortir L. Madar mais ne assure ni qu’il déménage ses affaires ni ne fait rien pour l’empêcher d’y revenir….).
    – La Police alertée suite à l’effraction par L. Madar des scellés mis en place par l’huissier chargé de l’expulsion, fait la sourde oreille et comble de l’ironie, demande à l’officier de Police de ne pas enregistrer la plainte!!!!!
    – La Police est intervenu dans ce dossier et OUTREPASSE ses prérogatives en se posant comme arbitre entre les 2 parties (on se croirait dans une république bananière!!!!!!)au lieu de se contenter d’exécuter les décisions de justice. Où s’est donc soudainement envolée la séparation entre le Pouvoir Exécutif et le Pouvoir Législatif???!!!!

    Par ailleurs, Le Propriétaire n’a pas à recevoir de leçons de personnes comme vous qui se permettent de juger sans connaitre les tenants et les éléments de cette affaire (hormis ceux relevant de la propagande faite par la partie adverse).

    A vous aussi, qui faites mine de vous apitoyer sur le sort d’enfants, je vous rappelle que le Propriétaire les a déjà hébergés gratuitement (malgré lui) pendant 11 ans!!!! Et pour prouver votre « bonne foi », proposez donc à L. Madar d’héberger les enfants CHEZ VOUS plutôt que chez les autres…..

  47. Monsieur
    Est que la nourriture détruite vous appartenez? Les affaires scolaires des enfants sont ils votre propriété? Oui monsieur je suis scandalise et vous pouvez expliquer en long et large votre histoire cela reste une tragédie pour cette école. Comme vous l avez dit il faut les 2 sons de cloche.
    Le reste c est la justice qui s en occupera.

  48. La je crois que vous faites exprès …
    M. MADAR a été expulsé par les forces de l’ordre le 31 juillet 2103.
    Il a demandé un delais d’un mois pour demenager ses affaires.
    Juste avant le 1er septembre M. MADAR a forcé les scelles et réoccupe l’école par la force !!!!
    Ce voyou devait avoir tout déménager avant le 31 août 2013.
    TOUTES LES AFFAIRES APPARTENANT A MADAR AURAIENT DU DISPARAITRE DE CETTE PROPRIETE AU 31 AOUT.
    DE FAIT SES AFFAIRES COMME LUI SONT EN INFRACTION A CHAQUE SECONDE RT C’EST M MADAR QUI PORTE L’ENTIERE RESPONSABILITÉ QUANT AUX DEVENIR DES FOURNITURES QUI LUI APPARTIENNENT.
    SI VOUS VOULEZ AIDER M MADAR FAITES LE SORTIR AVEC SES AFFAIRES

  49. A tous les ignorants qui hurlent au scandale:
    D’après la loi, depuis le 31 août 2013, date à laquelle L. MADAR était censé avoir déménagé toutes ses affaires, appartiennent LÉGALEMENT au Propriétaire.
    Le propriétaire peut en disposer comme il l’entend.
    (A tous les sceptiques, renseignez vous auprès d’experts juridiques)

    Alors avis à tous ceux qui s’insurgent contre les dégâts.
    ARRÊTEZ DE PLEURNICHER POUR RIEN….

  50. A tous les ignorants qui hurlent au scandale:
    D’après la loi, depuis le 31 août 2013, date à laquelle L. MADAR était censé avoir déménagé toutes ses affaires, appartiennent LÉGALEMENT au Propriétaire.
    Le propriétaire peut en disposer comme il l’entend.
    (A tous les sceptiques, renseignez vous auprès d’experts juridiques)

    Alors avis à tous ceux qui s’insurgent contre les dégâts.
    ARRÊTEZ DE PLEURNICHER POUR RIEN….

  51. Moshé,
    La « loi », elle a bon dos ! On ne vous parle pas de « légalité » (qui elle-même est très controversée dans cette affaire précise) mais de « BON SENS » !!! De la nourriture gâchée ça s’appelle du « Baal Tachrit », des cahiers et livres comportant des écritures saintes et le nom de D. jetés à terre ça s’appelle du « H’iloul Hachem », mais je n’apprends rien à un « Rav » …

    C’est une erreur de croire qu’en hurlant plus fort vous aurez moins tort.

    Vous vous entêtez à ne montrer qu’une face de la pièce, alors que nombre savent déjà que les choses ne sont pas aussi simples que vous les présentez. Cessez de croire que tout le monde « fait mine » ou « fait semblant » de s’apitoyer. Ne pas réagir à de tels actes serait anormal.

    Les Juges et Dayanim sont là pour trancher.

  52. Monsieur se dit scandalisé par la destruction de la nourriture et des effets scolaires…

    L’hypocrisie atteint ici des sommets insoupçonnés!!

    A qui vous voulez faire croire que vous (comme n’importe qui d’autre) auriez eu le moindre égard envers des affaires laissées chez vous par une personne qui a squatté chez vous plus de 10 ans, vous doit des centaines de milliers d’euros de loyer, vous oblige à dépenser des milliers d’euros de frais de justice pour le contraindre à quitter votre domicile et auquel la justice a accordé un mois pour les emporter de chez vous et qui les laisse clairement dans l’intention de continuer à squatter chez vous???!!!

    Je ne connais PERSONNE qui aurait eu le 1/10 ème de la patience exceptionnelle du Propriétaire.

    Un peu plus d’honnêteté ne fera mal à personne….

  53. Si ses livres de Torah ont effectivement été jetés par terre c’est éminemment regrettable et ça n’est certainement pas la volonté de que ce soit.
    Pour tout le reste, il serait intéressant de pouvoir démontrer le niveau de votre délicatesse et de compassion envers les effets d’une personne vous ayant causée le 1/10è de ce que ce propriétaire a subi.
    Quant au « bon sens » il implique également :
    – de régler son loyer
    – de ne pas fabriquer de faux bail
    – de respecter les lois de la justice de notre pays d’accueil.
    – de ne pas faire preuve d’ingratitude envers son propriétaire qui a été de surcroît sa référence morale au point de le mobiliser plusieurs heures par semaines pendant de longs mois pour arbitrer des litiges financiers entre les frères MADAR.

    Il est certain que le propriétaire aurait souhaité une issue à ce différend dans le chalom. Malheureusement, il a face à lui un truand qui n’a aucun scrupules et n’hésite devant rien pour se maintenir de force dans une propriété qui n’est pas la sienne.

    Cette affaire va provoquer un séisme dans la communauté. Ce sera l’occasion pour démasquer au grand jour les fourberies de L. MADAR et briser plusieurs tabous sur l’attitude des pseudos dayanim qui exercent en France

  54. Vous avez tout faux mon cher monsieur,

    C’est l’occupant qui

    1. non content d’avoir spolié le propriétaire de plus de 500.000 euros de loyers non payés.

    2. ayant été expulsé avec le concours de la force publique (avec le commissaire Fontaine) et en présence d’un huissier (Maître Roll) le 1 août 2013 (mais qui s’est bien gardé de ne pas diffuser l’information- ce qui n’aurait pas manqué d’interpeller les personnes ayant un brin d’honnêteté intellectuelle).

    3. a forcé les serrures et les scellés mis en place par l’huissier, juste avant le 1er septembre dans l’objectif affiché de démarrer une nouvelle année scolaire dans ces locaux.

    4. s’est lancé dans une campagne de dénigrement mensongère et calomnieuse vis à vis du propriétaire et pour laquelle il devra rendre des comptes devant la justice.

    QUI NE RECULE DEVANT AUCUN MOYEN ET SE FICHE DE LA LOI COMME DE LA JUSTICE pour continuer à se maintenir dans une propriété qui n’a JAMAIS été et QUI NE SERA JAMAIS la sienne!!!

  55. Et j’oubliais…

    5. a fait protéger la propriété suite a son effraction des scelles et des serrures, par une équipe de malabars circulant dans des BMW noires SANS plaques minéralogiques!!!

    Cher Joyce, je vous suggère de BIEN réviser votre copie avant de déverser vos accusations honteuses sur la mauvaise personne…

  56. Continuez a croire et a vous enfoncer dans le mensonge, vous et vos semblables finirez par ne tomber que de plus haut lorsque la vérité éclatera au grand jour et que rien ni personne ne pourra plus l’étouffer.

    Alors, si dans le cas des plus improbables (car je ne peux plus vous soupçonner d’être dotée de la moindre parcelle d’honnêteté intellectuelle), vous voudriez vous excuser pour vos calomnies sur le propriétaire, je vous informe par avance (pour vous éviter une fausse-joie) que personnellement, je ne vous pardonnerai JAMAIS.

    Chabbat chalom!

  57. Joyce,

    Vous mériteriez d’être victime d’un vol de 500.000 euros et alors que vous serez en train de vous débattre pour essayer d’obtenir réparation, il se trouve un grand imbécile sur votre chemin pour vous accuser à votre tour d’être un « récidiviste motivé par l’argent et l’orgueil ».

  58. L’affaire  »Haya Mouchka » à Marseille

    – SUITE –

    DROIT DE RÉPONSE
    AUX GRAVES ACCUSATIONS PROFÉRÉES
    PAR M. MADAR DANS SA BROCHURE
     »LE CHOC- LA VÉRITÉ »
    DISTRIBUÉE AU GRAND PUBLIC

    Éliahou Sebbah

    L’affaire  »HAYA MOUCHKA » à Marseille
    LA SIMPLE VERITE
    Réponse aux allégations de la brochure « Le CHOC – La VERITE »
    éditée et distribuée par M. Madar au grand public.

    Quel est l’objectif déclaré de cette brochure?

    Dans sa brochure, M. Madar poursuit un double objectif :
    1) M. Madar veut convaincre l’opinion de sa vérité : il est la victime innocente d’une « équipe de malfaiteurs » : M. Sebbah et ses enfants (page 31, ligne 16).
    2) Il veut lancer un appel « au soutien et à la générosité du public » sous le « choc » de l’émotion suscitée par ses révélations (page 32 en gros caractères rouges).
    Pour ce qui est de l’appel lancé aux généreux donateurs. Ceux-ci seraient bien inspirés de s’assurer que leur argent va servir à une bonne action et pas à une spoliation et que leur contribution ne va pas être emportée par les bulldozers du programme immobilier imminent.

    Pour ce qui est de la vérité, M. Madar veut démontrer que M. Sebbah et ses enfants sont des mécréants (page 32, ligne 12) qui veulent reprendre de force ce qu’ils ont donné.
    La « vérité  » de M. Madar repose sur 3 points :
    1) Il est le bénéficiaire d’une donation (page 3, dernière ligne).
    2) La justice civile reconnaît son bon droit (page 31, ligne 23).
    3) La justice rabbinique a tranché d’une façon claire en sa faveur (page 31, ligne 22).

    Nous allons constater les lacunes de la vérité-choc, et lui opposer la simple vérité, qui illustre la Maxime des Sages: Celui qui insulte fait la projection de ses propres défauts sur celui qu’il insulteכל הפוסל במומו פוסל .

    Examinons tour à tour les 3 piliers de la vérité-choc de M. Madar.

    I L’ACCORD SUR LA DONATION

    En page 3, M. Madar convient que « M. Sebbah était alors (initialement) propriétaire du bâtiment (inscrit au cadastre au nom des époux Sebbah) qu’il avait acquis à l’aide (d’un apport de fonds personnel et) d’un crédit (contracté par les époux Sebbah) plus de 10 ans avant que M. Madar rentre dans le paysage ». Les mots entre parenthèses sont des omissions voulues par M. Madar car elles ne servent pas sa vérité.

    Toujours en page 3, M. Madar « évoque » un soi-disant accord qui fixerait les modalités de la donation.

    Toujours en page 3, M. Madar « dit » que la somme totale s’élève à 100.000 euros.

    En page 4, M. Madar « dit » que la totalité des sommes a été réglée, ce qui explique que le bien immobilier soit transféré à l’association Haya Mouchka.

    Voilà toute la démonstration de M. Madar, sur la vérité de la donation.

    Il « parle » d’un accord, mais ne montre pas le document qui en fixe les modalités.

    Il « parle » de dettes importantes mais ne fournit aucun document qui en atteste.

    Il « parle » de 100.000 euros remboursés mais ne fournit pas la moindre preuve de paiement.

    Il « parle » d’avoir remboursé des traites de crédit, mais ne produit pas la moindre preuve de paiement et surtout occulte le montant des échéances.

    Ainsi, pour démontrer sa vérité, M. Madar attend du lecteur qu’il le croit sur parole; lui, qui présente 23 pages de documents!! (sur les 32 pages de sa brochure) pour accréditer sa vérité, est incapable de montrer au lecteur les documents essentiels de toute cette affaire : l’accord sur la donation et les preuves de ses paiements.

    Le gestionnaire de Haya Mouchka n’a pas gardé la trace des paiements importants qu’il aurait effectués pour le compte de son association – 100.000 euros?

    Le bénéficiaire d’une donation ne sait pas produire l’accord qui en atteste?
    Et pourquoi donc M. Madar ne mentionne pas le montant des échéances du crédit?

    La vérité toute simple est que la donation n’existe que dans les rêves dorés de M. Madar:

    M. Madar n’a rien à montrer sur un accord qui n’a pas existé.

    M. Madar n’a rien à montrer sur l’existence de dettes énormes qui n’ont pas existées.

    M. Madar n’a rien à montrer sur les paiements qu’il n’a pas effectués.

    M. Madar se garde bien de préciser le montant des échéances (1350€ / mois), car cette vérité montrerait tout le ridicule de la thèse de la donation.
    Car comment M. Madar peut décemment prétendre à une donation contre des versements qui ne correspondent même pas au tiers de la valeur locative de la propriété occupée : 450 m2 construit et meublé sur 1666 m2 de terrain boisé.

    La vérité toute simple est qu’il existe bien un accord entre M. Madar et M. Sebbah consigné dans un document (doc. A, page 14) tiré des archives de l’école Haya Mouchka. Seulement, ce document ne sert pas la vérité de M. Madar.

    Car cet accord ne parle pas de donation ou plus exactement il est la preuve qu’il n’y a pas eu de donation.

    Au contraire, ce document fait état d’un bail établi entre M. Sebbah et M. Madar pour une période de 3 ans renouvelable par tacite reconduction.

    Par ailleurs, ce document expose en détails, la nature et le montant des dettes à rembourser qui atteignent très exactement 7534 euros. On est bien loin des 100.000 euros annoncés par M. Madar.

    De plus, M. Madar  »oublie » d’informer le public des fonds de roulement que M. Sebbah a laissé en place à son départ en Israël :
    – Un réseau de prélèvements automatiques : 1500 euros / mois.
    – Une collecte de fonds effectuée par M. Acher Ezagury : de 600 à 800 euros / mois (que M. Sebbah aurait très bien pu affecter au budget de sa Yechiva en Israël).
    Ces rentrées d’argent figurent dans la comptabilité de l’école Haya Mouchka (Doc. B, page 15).

    Ainsi, loin d’avoir remboursé 100.000 euros, M. Madar a reçu de M. Sebbah une école meublée sur un plateau d’argent et en prime, des fonds pour aider au fonctionnement de l’école. EN RETOUR, M. Madar n’a pas hésité à manœuvrer pour exproprier celui qui lui a donné l’hospitalité.

    Retour sur l’Historique de la propriété
    – De 1986 à 1999, les époux Sebbah ont été à l’initiative de différentes activités communautaires à Marseille, telles que Kehila Hayé Olam, Collel, Mekhina, école de garçons (Heder Haredi), école de filles (Bat Israël), jardin d’enfants, centres aérés, colonies de vacances et aides ménagères aux mères.

    – Le complexe communautaire s’est développé dans la maison d’habitation de la famille Sebbah, au Parc Fleuri, 121 Bd Paul Claudel, 13009 Marseille. Avec le temps, le volume des activités a dépassé la capacité d’accueil de la maison du Parc Fleuri.

    – C’est pourquoi en septembre 1992, les époux Sebbah font l’acquisition d’une seconde propriété, plus grande, au 77 rue Pierre Doize où ils prévoient de transférer leur habitation et les activités communautaires qu’ils animent.

    – L’urgence du moment était le besoin de locaux pour l’activité  »école » et c’est donc le Héder Harédi (école pour garçons) et Bat Israël (école pour filles) qui ont eu la primeur de l’utilisation de la nouvelle propriété, en attendant le transfert des autres activités.

    – Mais ce transfert sera reporté coup sur coup car la croissance galopante de l’école ne laisse pas de place pour les autres secteurs d’activités et ce jusqu’au départ des Sebbah en Israël, fin juin 1999.

    – Malheureusement, les institutions laissées sur place s’accommodent mal du départ des époux Sebbah et après 2 années de transition, les enfants seront reclassés dans d’autres établissements et les écoles Heder Haredi et Bat Israël fermeront leurs portes.
    – Et pour ne pas laisser la propriété désaffectée, les époux Sebbah accordent à M. Madar la jouissance des locaux sous le contrôle d’un administrateur. Un arrangement financier est conclu et accepté par les 2 parties. (doc. A page 14).

    Les modalités de cet accord sont rappelés en tète de tous les bilans mensuels de la comptabilité de Haya Mouchka (doc. A page 15).

    Cet accord provisoire règle les obligations des parties jusqu’à l’entrée en vigueur d’un bail en bonne et due forme.

    Mais les relations entre M. Sebbah et M. Madar (doc C, page 16) se gâtent car M. Madar ne tient pas ses engagements financiers (Doc. D, page 17).

    Dans un premier temps, il invoquera des difficultés de trésorerie, puis quand les sollicitations de M. Sebbah se feront pressantes, M. Madar dira qu’il ne doit rien à personne car il occupe un « bien communautaire ». Il change les serrures de la propriété et laisse les Sebbah et leur administrateur dehors.

    Dès lors et après avoir épuisé les voies  »amiables », M. Sebbah adresse à M. Madar un congé pour vente notifié en février 2005 par voie d’huissier conformément à la loi républicaine et déclaré conforme et régulier par le Tribunal d’Instance de Marseille en juin 2006.

    Il faut bien noter qu’il ne s’agit absolument pas d’une  »attaque » en justice contrairement aux allégations de M. Madar (reprises aveuglément par différents Tribunaux Rabbiniques). Il s’agit d’une démarche administrative obligatoire imposée au propriétaire par la loi française pour s’assurer que les droits du locataire ont été respectés.

    II LA SIMPLE VERITE SUR LA SITUATION JURIDIQUE AU CIVIL

    En juin 2006, le Tribunal d’Instance de Marseille constate la régularité du congé et déclare M. Madar occupant sans droit ni titre et commande à M. Madar de quitter les lieux. (Docs. E1-E2 – pages 18-19)

    M. Madar se pourvoit en appel,
    En avril 2008, la Cour d’Appel d’Aix en Provence confirme l’expulsion prononcée contre M. Madar. (Docs. F1-F3 – pages 20-22)
    En janvier 2013, le Juge d’Exécution donnera son accord pour l’expulsion de M. Madar. (Docs. H1, H2 – pages 24-25)
    Le 30 août 2013, Me Arnaud Roll, huissier de justice, procédera à l’expulsion de M. Madar avec le concours de la force publique, menée par Mme la Commissaire Fontaine. (Doc. G – page 23)

    Le 1er septembre 2013, M. Madar se rapplique, force les scellés posés par l’huissier, pénètre dans la propriété escorté de voyous et occupe depuis, les lieux en toute illégalité. Ainsi que Me Arnaud Roll, Huissier en charge de l’expulsion l’expose dans une correspondance à Mme Marie-Dominique Bourrelly, secrétaire du Préfet, le 2 septembre 2013 :

    « Le problème est que Monsieur Madar a forcé les serrures du local que j’ai légalement et judiciairement repris et qu’il ne peut, même si il était reconnu officiellement propriétaire, récupérer les lieux qu’en possession d’une nouvelle décision de justice prononçant l’expulsion de Monsieur Sebbah, mon client. »

    « ….je vous confirme que la décision d’exequatur obtenue par Monsieur Madar ne peut remettre en cause l’expulsion réalisée par mes soins. »

    « Monsieur Madar tente de se faire justice à lui-même et ce n’est pas acceptable. »

    « s’il souhaite récupérer les lieux, et si la justice lui donne raison par une nouvelle décision d’expulsion, il ne peut se soustraire aux obligations que lui impose la loi française. »

    (Doc. I – page 26)

    Ainsi, M. Madar continue d’occuper la propriété illégalement, se servant des enfants de l’école Haya Mouchka comme bouclier, et protégé par M. William Labi, Président du Consistoire Israelite de Marseille, mais surtout expert comptable des frères Madar. Curieuse morale que celle d’un Président de la Communauté Juive qui s’offusque qu’on veuille priver les petits enfants juifs d’une « éducation » dispensée dans des locaux volés. Car du haut de son poste stratégique, M. William Labi présente aux responsables politiques l’occupation (illégale) de l’école comme une priorité communautaire et M. Daniel Sperling interviendra pour museler la Préfecture qui sera d’ailleurs condamnée par 2 fois à indemniser les époux Sebbah pour n’avoir point prêté le concours de la force publique, à l’exécution de la loi ordonnée par la justice républicaine.
    Il est important d’observer que pendant toutes ces années de procédures, M. Madar ne revendiquera pas la propriété du bien. Il plaide uniquement pour la reconnaissance de ses droits comme locataire. Il ira même jusqu’à fabriquer un faux bail (dénoncé comme tel, à la Cour d’Appel) (Doc. J page 27) qu’il n’hésitera pas à produire devant les tribunaux civils et religieux (mais pas dans sa brochure « Choc et vérité »).

    III LA SIMPLE VERITE SUR LA DECISION DES INSTANCES RELIGIEUSES

    Après avoir été débouté par la justice civile, M. Madar s’adressera aux instances religieuses.

    Avant d’examiner la vérité exposée par M. Madar, concernant les tribunaux rabbiniques, il est indispensable de faire la mise au point suivante:

    Nombreux sont les coreligionnaires qui refusent catégoriquement d’imaginer qu’un rabbin puisse être malhonnête (qu’à D…. ne plaise!). Cette attitude est le rempart qui protège les agissements de l’individu véreux et lui permet de continuer tranquillement de gangréner la communauté de l’intérieur, dans la plus parfaite impunité, CAR,

    C’est une vérité de Lapalisse, que aucune couche, aucun organe de la société, n’est immunisé contre l’immoralité.

    Ainsi, toute personne raisonnable sait que la caste des rabbins, comme celle des curés, des prêtres ou des mollahs n’est pas exempte d’individus (certes minoritaires mais bien vivants), voleurs, escrocs, violeurs ou pédophiles.
    Ainsi le  »rabbin véreux » n’est pas un concept hypothétique ou surprenant. C’est un fait connu ; et celui qui alerte la société sur les agissements malhonnêtes de tel ou tel rabbin ne créé pas la tache qui souille le peuple juif ; il ne fait que la localiser.
    Alors, si les circonstances vous mettent en face de ce rabbin véreux et que sa malhonnêteté soit établie sans équivoque, il vous reste 2 attitudes possibles :
    Etouffer l’affaire pour éviter d’éclabousser la communauté, mais par la-même, le laisser pourrir la communauté de l’intérieur,
    Ou
    Œuvrer pour écarter le guide spirituel véreux, car la honte, n’est pas la découverte du rabbin véreux, c’est son maintien à la tête d’une communauté religieuse.
    Ma conception de la morale, et ma situation de victime d’une grave malversation financière, doublée d’une campagne d’affichage et médiatique diffamatoire, me dictent de ne point me faire violer en silence.

    Dans notre affaire, M. Madar parle au dos de sa brochure, de « 4 autorités rabbiniques de premier plan qui ont désavoué E. Sebbah ».
    De quelles autorités parle-t-il ??!!

    Les instances rabbiniques évoquées dans les documents 1, 2, 4 et 5 de la brochure ne se prononcent pas du tout sur le bon droit de M. Madar. Elles ne font qu’enregistrer sa plainte et rappellent qu’il n’est pas acceptable qu’un bon juif cherche justice autre part que devant un Tribunal Rabbinique. C’est très exactement ce qu’a fait E. Sebbah devant le T.R. de R. Kats comme en attestent la lettre d’annulation du Tribunal Rabbinique de R. Mazouz, de septembre 2008 (Doc. K – page 28) et la lettre d’annulation du T.R. de R. Karelits (Doc. L – page 29) du 2 Elloul 5768 / 2 septembre 2008 qui annulent toutes les lettres précitées.

    Le doc. 6 de la brochure reproduit une lettre émanant du Tribunal Rabbinique de R. Karelits. Cette lettre qui fixe les obligations respectives de M. Madar et de E. Sebbah elle aussi a fait l’objet d’une annulation signifiée en direct de Jérusalem, par R. Eliahou Posen au T.R. de R. Kats, en début d’audience le 20 avril 2009 car M. Madar n’a honoré aucune des conditions que le Beth-Din de R. Karelits lui a imposées (Dépôt de 4000 euros et se rendre au Beth-Din de R. Kats dans les 7 jours).

    Les documents 10,11 et 15 de la brochure reproduisent une soi-disant ordonnance d’exéquatur (validation de la sentence arbitrale du T.R. de R. Kats) ; chacun sait qu’une décision de justice est obligatoirement signifiée aux deux parties ; or, trois mois après, cette ordonnance d’exéquatur n’est toujours pas parvenue ni à M. Sebbah ni à ses avocats… Ce qui confirme les présomptions que Maître Caroline Sayag adresse au Préfet de Région : «l’existence d’une telle ordonnance est plus que douteuse, compte tenu de la nullité manifeste de la sentence».

    (Cela augure mal pour les suites de la procédure pénale entamée à l’encontre de M. Madar pour faux, usages de faux, tentative d’extorsion de bien et diffamation aggravée par une campagne d’affichage et médiatique).

    Ainsi, M. Madar abuse le lecteur en produisant 8 documents (1, 2, 4, 5, 6, 10, 11 et 15) hors sujet ou qui ont été annulés ou falsifiés.

    Restent les documents 7, 8 et 12 de la brochure, émanant du Tribunal Rabbinique de R. Kats dont nous allons apprécier ci-après s’il mérite l’appellation « Grande Autorité de notre peuple » annoncée par M. Madar.

    Les docs. 8 et 12 de la brochure, reproduisent la sentence du T.R. de R. Kats qui, vous le constaterez ne dévoile pas un mot des motifs qui ont conduit à leur décision, ce qui est en soi une infraction au Choul’hane ‘Aroukh (Code Juif sur les litiges financiers réf. סימן י »ד סעיף ד’, סמ »ע אות כ »ה) mais aussi une cause de nullité de la sentence, selon le Code Civil sur les sentences arbitrales. Et pourquoi donc, le T.R. de R Kats, s’obstine à ne pas motiver sa décision, y-a-t-il des motifs inavouables??!!

    Le doc. 7 de la brochure reproduit un שטר בוררות : document capital par lequel les juges rabbiniques tirent leur légitimité à arbitrer un litige,
    – seulement lorsqu’ils sont dûment mandatés par les 2 parties
    -uniquement pour l’objet du litige défini par les 2 parties.

    OR, leשטר בוררות reproduit au doc. 7 est un faux que le T.R. de R. Kats a fabriqué et signé à la place de M. Sebbah (Doc. M – page 30)

    Ainsi et c’est proprement incroyable !!
    – Le T.R. de R. Kats chargé de rendre la justice fait obstruction à la justice en cachant le vrai שטר בוררות qui limitait sa mission à juger sur la location du bien.
    – Plus encore, le T.R. de R. Kats fausse la justice en forgeant un faux שטר בוררות pour s’octroyer la mission de juger sur l’appartenance du bien.

    Et à la réflexion, nous nous trouvons plongés au cœur d’une malversation financière bien huilée.

    Jugez plutôt :

    C’est le T.R. de R. Kats à Paris qui est chargé d’arbitrer le litige, parce que M. Madar refuse de se faire juger par le T.R. de R. Karelits prétextant ne pas pouvoir « déplacer » les 15 témoins en sa faveur (cf. Protocole d’audience de R. Karelits en page 2 ligne 7, en date du 28 Adar 5769 / 24 janvier 2009) (Doc. N – page 31).

    En réalité, AUCUN des 15 témoins supposés ne comparaitra pendant l’audience du 20 avril 2009 auprès du T.R. de R. Kats.
    Mais en coulisse, R. Makhlouf Benitah, Président du Tribunal Rabbinique de R. Kats, laisse entendre qu’il détient des témoignages (reçus illégalement en dehors de l’audience ??!!) dont l’identité des auteurs n’est pas dévoilée (c’est pratique pour qu’ils ne soient pas confondus !).

    La simple vérité est que,
    le T.R. de R. Kats n’a pas besoin des témoins car il croit sur parole qui il veut et quand il veut!
    – Il ne croit pas les membres du Comité de Gestion (des Institutions administrées par les époux Sebbah) pourtant bien informés, lorsqu’ils affirment à l’unanimité qu’il n’y a jamais eu de gala organisé pour financer l’achat de la propriété du 77 rue Pierre Doize (Doc. O – page 32).
    Mais il croit M. Madar, sur parole, qui arrive plus de 10 ans après l’acquisition, lorsqu’il « dit » sans apporter la moindre preuve que les galas ont financé l’achat.
    – Il ne croit pas M. Sebbah lorsqu’il affirme que le soi-disant bail de location que M. Madar présente au T.R. est un FAUX.
    Mais il croit M. Madar, sur parole et ne trouve pas utile de vérifier l’authenticité du bail.
    – Il ne croit pas M. Sebbah lorsqu’il affirme que M. Madar n’a pas honoré ses obligations financières.
    Mais il croit M. Madar, sur parole et ne trouve pas utile d’exiger l’attestation bancaire, de la destination des chèques que M. Madar  »prétend » avoir libellés au nom des époux Sebbah.

    – Il ne croit pas M. Sebbah lorsqu’il présente un document d’époque, extrait de la comptabilité même de Haya Mouchka et qui détaille précisément les  »dettes » à rembourser ainsi que leurs montants (7534 euros). (Doc. A – page 14)
    Mais il croit M. Madar, sur parole, sans qu’il apporte la moindre preuve, NI de l’existence de ces dettes, NI du montant qu’il aurait remboursé.

    Le T.R. de R. Kats, n’a pas besoin non plus de שטר בוררות, car
    – si le שטר בוררות est embarrassant, il le fait disparaître.
    – s’il manque un שטר בוררות il le fabrique.

    Le T.R. de R. Kats n’a pas besoin non plus de motiver sa sentence (docs. 8 et
    12) c’est tellement plus pratique de rester dans le floue.
    Pourtant, en coulisse, R. Makhlouf Benitah laisse entendre qu’il a retenu la thèse de la donation, mais il se garde bien de l’écrire, car, accréditer sans témoin et sans document une donation estimée à plus d’un million d’euros, parce que M. Madar a jouit d’une propriété de 450 m2 construits et meublés, au prix (qu’il n’a pas payé!!) d’une location d’un 3 pièces, procède de la farce et de la malversation financière.

    En résumé, le T.R. de R. Kats
    1) Cache le vrai שטר בוררות.
    2) Fabrique un faux שטר בוררות.
    3) Occulte les motifs de sa sentence.
    4) Rabroue les témoins favorables aux époux Sebbah.
    5) Dessaisit les époux Sebbah de leur bien inscrit au Cadastre, sans le moindre témoignage,
    – NI sur l’importance des dettes laissées par les époux Sebbah,
    – NI sur le montant des sommes remboursées par M. Madar,
    – NI sur l’existence des « galas organisés » pour l’achat de la
    propriété,
    – NI sur la passation surprenante de la propriété à M. Madar.

    C’est pourquoi j’accuse publiquement le T.R. de R. Kats d’avoir recours à des pratiques malhonnêtes dans le cadre d’une action en justice !! où ils sont censés s’exprimer au nom du bon D…. et de sa Torah.

    Et je demande publiquement que le T.R. de R. Kats m’assigne en justice pour diffamation s’il trouve à redire sur mes accusations.

    Faute de quoi, je ne manquerai pas de réclamer par toute voie légale, l’annulation de leur sentence et les dommages et intérêts pour le préjudice moral et financier considérable occasionnés à mon épouse, à mes enfants et à moi-même.
    Pour terminer sur une note optimiste ; espérons que ma réponse aux calomnies diffusées à grande échelle par la brochure de M. Madar, permettra de faire la propreté au sein de la communauté.
    Car M. Madar a le TOUPET de s’alarmer dans sa brochure du Hilloul Hachem qu’il a lui-même fabriqué artificiellement en faisant croire à l’opinion «qu’un homme qui étudie 15 heures par jour, Roch Yechiva et Roch collel est un malfaiteur et un mécréant» (page 31-32).
    Or c’est la présence de M. Madar et de ses amis du T.R. de R. Kats, et leur maintien à la tête de communautés religieuses qui constituent le vrai Hilloul Hachem auquel il est impératif de mettre fin au plus tôt.

    Éliahou Sebbah

    P.S. 1 : Celui qui crée la fiction du « profiteur » qui veut ravir l’argent d’un bien communautaire pour couler une retraite dorée en Israël, serait bien inspiré d’essayer d’imaginer une autre hypothèse:
    le « profiteur » est simplement le propriétaire des lieux que M. Madar squatte effrontément depuis plus de 10 ans, qui aurai bien besoin de l’argent de son habitation pour la Yechiva et le Collel qu’il anime dans sa retraite en Israël.
    P.S. 2: Ne voyez pas dans cette brochure un appel de fonds.
    P.S. 3 : Vous pouvez adresser questions, commentaires ou remarques à l’adresse E-mail suivante : [email protected]

  59. Bonjour,
    J’ai appris par des amis proches qui avaient alors fait des dons à Mr Sebbah pour l’acquisation de locaux pour l’école et ils ne comprennent pas 2 points importants (ils souhaitent à tout prix rester anonyme):
    – Comment se fait -il qu’avec leurs dons et ceux des autres personnes de la communauté, le bien a été inscrit au nom personnel des Sebbah ???
    (cela signifierait qu’ils aient fait des dons pour un lieu privé – pour une personne privé / ce qaui n’etait absolument pas leur but!)
    – Si une transaction immobilière est imminente, ce bien serait donc vendu, Mr Sebbah compterait il rembourser toutes les personnes qui auraient fait des dons a l’epoque ????
    Concernant Mr Madar, pour cela au moins c’est bien clair, les dons et le lieu vont à l’association et non à leur nom propre.

  60. c’est tres facile de speculer des informations trompeuses en anonyme. ca n’engage personne est c’est gratuit, d’autant plus que l’on ne peut meme pas repondre a cette soi-disant accusation!
    il savent tres bien pourquoi ils restent ANONYME…

  61. Que ces anonymes aient le courage de se demasquer et PROUVER:
    1. les dates et montants de leurs dons.
    2. l’affectation de leurs dons.

    AUCUN don n’a jamais servi à financer l’acquisition de cette propriete.
    TOUS les dons recus ont servi a financer les frais de FONCTIONNEMENT de l’ecole.