Pendant que les terroristes du Hamas multiplient les vidéos de propagande pour dénoncer une soi-disant “famine à Gaza”, les images glaçantes que nous recevons ces derniers jours racontent une toute autre vérité : celle d’une famine bien réelle, mais orchestrée délibérément… contre nos propres otages.
Dans les vidéos de terreur psychologique publiées par le Hamas et le Jihad islamique, ce ne sont pas des enfants gazaouis affamés que l’on voit, mais nos enfants. Nos frères, nos sœurs, nos soldats. Nos otages. Des hommes et des femmes israéliens, capturés le 7 octobre alors qu’ils étaient encore en pyjama ou dans des tentes de fête, qui apparaissent aujourd’hui à l’écran transformés en squelettes vivants. Non pas à cause d’un manque de ressources, mais parce qu’ils sont volontairement affamés depuis le premier jour de leur captivité.
Regardez les images d’Evyatar, jeune homme sain, devenu une silhouette d’os et de peau, forcé de creuser sa propre tombe dans un film sadique tourné par ses bourreaux. Comparez son corps effondré au bras potelé du terroriste qui lui tend une boîte de conserve pour la caméra. Qui est affamé ici ? Qui meurt à petit feu ? Les terroristes du Hamas ? Ou bien Evyatar, et avec lui des dizaines d’autres otages, abandonnés à l’ombre, sous terre, dans une agonie silencieuse depuis 666 jours ?
Regardez ici la couverture liée à la famine réelle à Gaza – celle des otages israéliens :
Ce n’est pas une hypothèse ou une exagération médiatique. Ce sont les survivants eux-mêmes qui en parlent. Écoutez les témoignages des ex-otages comme Eli Sharabi. Regardez les photos d’Adan Yeroushalmi z’’l, une jeune femme de 24 ans réduite à 36 kilos, jusqu’à la mort. C’est ça, la vraie famine de Gaza : celle qui a lieu dans les tunnels, orchestrée par les maîtres de terreur.
Et pendant ce temps, ici, en Israël, certains ont osé relayer la propagande du Hamas. Ils ont partagé les images manipulées, crié avec eux au “blocus inhumain”, pleuré des larmes de crocodile pour des terroristes repus, tout en oubliant les cris étouffés de nos captifs.
Non, les terroristes ne meurent pas de faim. Ils mangent à leur faim, ils filment, ils mettent en scène, et ils infligent la faim aux autres – nos enfants. La scène est grotesque : un Evyatar décharné, affamé jusqu’au sang, utilisé comme accessoire de propagande pour prétendre que “le peuple gazaoui meurt de faim”. Et l’Occident, le Croissant-Rouge, les ONG, le président Macron même, tombent dans le piège. Pire encore, certains ici, dans nos propres rangs, ont marché dans cette mascarade honteuse.
Regardez ce qu’ils ont fait à Evyatar !
Ils le maltraitent, ils le réduisent à l’état de squelette, ils le forcent à creuser sa propre tombe !
C’est une nouvelle Shoah – une Shoah en couleurs !
Chaque journal qui se respecte dans le monde devrait mettre Evyatar en une demain matin. Pas pour montrer la fausse famine des terroristes, mais la vraie famine que subissent les otages israéliens, ceux qui sont affamés dans le noir depuis 666 jours.
Retrouvez aussi d’autres preuves de la maltraitance des otages sur Infos-Israel.News :
Alors que les caméras du monde entier sont braquées sur les convois humanitaires, sur les “crises sanitaires” mises en scène par le Hamas, personne ne semble vouloir entendre les cris déchirants des vrais affamés. Personne ne montre les visages amaigris, les regards vides, les corps brisés des otages. Pourquoi ? Par confort moral ? Par peur d’ouvrir les yeux ? Par lâcheté politique ?
Ce silence, ici comme à l’étranger, est aussi complice que le crime. Il permet au Hamas de continuer. Il participe à la propagande. Il tue.
Et pendant que nos ennemis se gavent et nous mentent, nos otages se meurent. Il est temps que ce mensonge cesse.
Rappel des faits sur la captivité et les preuves de torture des otages sur Alyaexpress-News
Regardez aussi les archives vidéo sur RakbeIsrael.buzz
.