C’est le secret du mĂ©koubal « Yanuka » pour faire face Ă  cette pĂ©riode tres difficile en Israel

Rav Shlomo Yehuda Bari connu sous le nom de « Yanuka » a fait une vidĂ©o pour aider les personnes qui vivent des Ă©preuves tres difficiles, et a donnĂ© un secret kabbalistique qui peut changer les mauvais dĂ©crets dans le ciel, contre l’ange de la mort et le Satan.

Rabbi Shlomo Yehuda Shlita, contre les peurs et les angoisses en temps de guerre :

« Il est trĂšs important que chacun soit calme et apaisĂ© dans son esprit. Ne vous inquiĂ©tez de rien. Ceux qui ont des difficultĂ©s dans l’ñme, ou n’importe qui d’autre, vous devriez emporter du « bessamim » avec vous, il est trĂšs important de bĂ©nir le parfum. Dans cette bĂ©nĂ©diction il y a un tres grand secret. »

« Beaucoup savent qu’il y a eu beaucoup, beaucoup de gens Ă  qui j’ai conseillĂ© et combien je les instruis toujours, certains qui ont besoin d’une question particuliĂšre ou qui ont traversĂ© une grande Ă©preuve dans l’ñme, et veulent acceder et sentir le ciel. Il y a de grands Ă©preuves en ce moment, il s’agit lĂ  de choses trĂšs terribles.

« Mais aujourd’hui, alors que tout le monde est en grande difficultĂ© et que tout le monde est dans cette situation, tout le monde doit sentir le ciel. Vous devez vous assurer de faire les differentes bĂ©nĂ©dictions liĂ©es au parfum (AtsĂ© Bessamim, MinĂ© Bassamim, et AsbĂ© Bessamim: ŚąŚŠŚ™ Ś‘Ś©ŚžŚ™Ś, ŚžŚ™Ś Ś™ Ś‘Ś©ŚžŚ™Ś, ŚąŚ©Ś‘Ś™ Ś‘Ś©ŚžŚ™Ś. « 

« Il faut comprendre que lorsque nous sentons les parfums et disons le verset, Â ŚšŚ™Ś— ڠڙڗڕڗ ڐکڔ ŚœŚ”â€™, il y a de grands secrets et des corrections d’ñme importantes et merveilleuses, et cela Ă©puise Ă©galement le pouvoir de l’ange de la mort et du satan. Les parfums sont l’odeur du parfum de Dieu, c’est d’une saintetĂ© puissante et il y a des choses Ă  ce sujet qui ne peuvent pas ĂȘtre clarifiĂ©es et dĂ©veloppĂ©es maintenant, mais vous devez savoir que pour pour ceux qui peuvent le faire, c’est une chose trĂšs facile Ă  faire. »

Il demande aux gens de faire la mitsva de BĂ©samim lors de la Havdala, que l’on fait apres le Shabath avec une grande attention, et avec la bĂ©nĂ©diction, car si cette action parait sans un grand interet, elle est d’une grande force dans le ciel et sans pouvoir entrer dans les dĂ©tails, elle peut changer de graves dĂ©crets du ciel dans tout les domaines et encore plus dans cette pĂ©riode tres difficile en Israel, ou la guerre fait rage dans le pays apres le massacre du 7 octobre.

Pour rappel, les femmes, comme les hommes, sont tenues d’accomplir la mitsva de Havdala. Certes, il s’agit d’une mitsva dĂ©pendante du temps, et en gĂ©nĂ©ral les femmes sont dispensĂ©es des commandements de faire des mitsvot « positives » soumis au temps ; mais de mĂȘme qu’elles sont tenues au Qidouch, de mĂȘme ont-elles l’obligation de faire la Havdala (oĂč il y a la mitsva de besamim), dans la mesure oĂč cette mitsva est liĂ©e Ă  celle du Qidouch.

Nos sages prescrivent de rĂ©citer, Ă  l’issue de Chabbat, une bĂ©nĂ©diction sur des parfums et de respirer ceux-ci car, une fois le Chabbat terminĂ©, la dimension supplĂ©mentaire de l’ñme (nĂ©chama yetera) se retire, et l’ñme s’en attriste ; pour l’aider Ă  se restaurer, on respire des plantes odorifĂ©rantes, et l’ñme, disent nos maĂźtres, en tire du plaisir.

Nos sages ont prĂ©vu, pour chaque catĂ©gorie de plante Ă  parfum, une bĂ©nĂ©diction particuliĂšre. Si la source de l’odeur est un arbuste, on dira Baroukh
 borĂ© ‘atsĂ© bessamim (« Sois loué  qui crĂ©es les arbustes odorifĂ©rants »). Si la source est une herbe: BorĂ© ‘isbĂ© bessamim («   qui crĂ©es les herbes odorifĂ©rantes »). Si c’est un fruit : Hanoten rĂ©a’h tov bapĂ©rot (« qui donnes une bonne odeur aux fruits »). Pour une odeur d’origine minĂ©rale ou animale : BorĂ© minĂ© bessamim (« qui crĂ©es diffĂ©rentes sortes d’odeur »).

NĂ©anmoins, s’agissant de la Havdala, les AshkĂ©nazes ont coutume de dire, quel que soit le type de parfum, BorĂ© minĂ© bessamim ; cela, parce que certaines personnes ne connaissent pas bien les diffĂ©rents types de parfum et les bĂ©nĂ©dictions qui s’y rapportent ; or si l’on se trompait, disant BorĂ© ‘isbĂ© bessamim pour un arbuste, ou BorĂ© ‘atsĂ© bessamim pour une herbe, on ne serait pas quitte de la bĂ©nĂ©diction. On a donc l’usage de dire BorĂ© minĂ© bessamim, car cette bĂ©nĂ©diction est, a posteriori, efficace pour toutes les sortes de parfum.


RĂ©daction francophone Infos Israel News pour l’actualitĂ© israĂ©lienne
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