L’assassinat de Charlie Kirk, figure conservatrice américaine et soutien acharné d’Israël, n’est plus seulement une affaire intérieure aux États-Unis. Depuis Londres, une immense mobilisation populaire a transformé ce meurtre politique en symbole mondial. Alors que les grands médias parlent d’« ultras d’extrême droite », des sources militantes évoquent un chiffre spectaculaire : plus d’un million de personnes, certains allant jusqu’à trois millions, auraient envahi les rues de la capitale britannique.
🇵🇱 SEJA COMO A POLÔNIA!
Agora mesmo marcha em Londres, onde veremos a versão inglesa desta INCRÍVEL demonstração de Patriotismo!
Será tão pacífico, tão belo e tão poderoso!
E o Brasil continuará em berço esplêndido?
pic.twitter.com/SzGYY9WaTU— Democracia Viva🗯️ (@DemocraciaBR_Ja) September 13, 2025
Un million ou trois millions ? La bataille des chiffres
Les images diffusées sur les réseaux sociaux par des comptes conservateurs, comme Democracia Viva au Brésil, montrent des foules compactes, drapeaux britanniques en main, scandant des slogans en hommage à Kirk.
Le récit est déjà polarisé :
- Les grands médias européens, de la BBC au Guardian, parlent de « milliers de manifestants nationalistes » et d’une « récupération de l’extrême droite ».
- Les militants pro-Kirk, eux, insistent : ce ne sont pas des « ultras », mais des « citoyens ordinaires, travailleurs, décents, de toutes les générations » descendus dans la rue pour dire stop à la gauche radicale et à ses violences【Fox News†source】.
La vérité est peut-être entre les deux, mais l’essentiel est ailleurs : Charlie Kirk est devenu un symbole international.
Quand une mort américaine devient une bannière européenne
Kirk, fondateur de Turning Point USA, était une figure clivante : adoré par les conservateurs, honni par les progressistes. Sa mort brutale — confirmée comme un assassinat politique par le FBI, avec l’implication de Tyler Robinson et le rôle clé de son partenaire transgenre coopérant avec les enquêteurs【Fox News†source】 — a déjà transformé son nom en cri de ralliement.
À Londres, les pancartes parlaient d’elles-mêmes :
- « Justice for Charlie »
- « Free Speech is not a Crime »
- « Stop Left Terror »
Ironie de l’histoire : l’homme que certains médias français refusaient de nommer est désormais scandé dans les rues européennes comme un martyr de la liberté.
🙏 J’ai besoin de votre aide ! Depuis tout à l’heure, je cherche des dégradations, des feux de poubelles ou de véhicules, des projectiles, des pillages de magasins, des drapeaux palestiniens ou des tags dans la manifestation à Londres, mais je n’en trouve pas. pic.twitter.com/CLuBbx3wQz
— Guillaume Bigot (@Guillaume_Bigot) September 13, 2025
La gauche française prise au piège
En France, le débat vire au grotesque. Certains élus de La France insoumise se sont contentés de dénoncer « toute forme de violence », sans jamais prononcer le nom de Kirk. D’autres éditorialistes relativisent son assassinat en expliquant que « son discours haineux » l’aurait rendu « responsable de son sort ».
Mais voilà : pendant que les plateaux parisiens débattent pour savoir s’il faut pleurer ou non Charlie Kirk, Londres offre une démonstration brute. Des foules immenses, sans complexe, rendent hommage à un homme présenté comme un martyr politique.
Et l’image est puissante : un conservateur américain, assassiné chez lui, mais ressuscité comme bannière dans les rues européennes.
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Agora mesmo marcha em Londres, onde veremos a versão inglesa desta INCRÍVEL demonstração de Patriotismo!
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Israël en arrière-plan
Kirk n’était pas seulement un polémiste anti-woke. Il était aussi un allié convaincu d’Israël, dénonçant sans relâche l’antisémitisme et la complaisance vis-à-vis du Hamas. Que son nom devienne aujourd’hui une bannière dans des marches de masse en Europe n’est pas anodin.
Au moment où l’ONU vote des résolutions hostiles à Jérusalem et où Paris pousse à la reconnaissance d’un « État palestinien » fantomatique, la rue européenne dit autre chose : il existe un peuple prêt à défendre la liberté d’expression, l’ordre et la civilisation face aux dérives idéologiques.
Une fracture médiatique assumée
Comme toujours, deux récits s’affrontent :
- Celui des médias mainstream, qui décrivent une foule « dangereuse », associée à l’extrême droite.
- Celui des réseaux militants, qui décrivent une « révolution populaire pacifique », portée par des familles, des jeunes, des retraités, tous unis par un rejet de la gauche radicale.
Mais qu’on le veuille ou non, un fait s’impose : la gauche se retrouve accusée d’avoir franchi une ligne rouge — celle du meurtre politique.
Conclusion : le début d’un mouvement ?
« Le monde s’est réveillé », clament les organisateurs. Et il est vrai que la marche de Londres, qu’elle ait rassemblé un ou trois millions de personnes, marque un tournant. L’affaire Kirk n’est plus un drame américain isolé. Elle est devenue une cause internationale, un drapeau, une alarme.
Ironie ultime : en croyant faire taire une voix conservatrice, son assassin lui a donné une postérité planétaire. Kirk est mort, mais il défile désormais à Londres.
Sources
- Brooke Singman (Fox News), 13 septembre 2025 – exclusivité FBI sur Tyler Robinson.
- BBC / The Guardian, 13 septembre 2025 – couverture de la marche de Londres.
- Democracia Viva (Brésil), 13 septembre 2025 – vidéos militantes sur X.
Rédaction francophone Infos Israel News pour l’actualité israélienne
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