À un moment donné, les dirigeants de l’Union européenne devront s’habituer à l’idée qu’Israël est là pour rester. Jusqu’à présent, l’idée est difficile, principalement parce que les vieilles habitudes ont la vie dure.

Au milieu de la vague de dénonciations contre Israël, même pour penser à aller de l’avant avec la souveraineté pour certaines parties de la Judée et de la Samarie, le plus révélateur est cette remarque de Josep Borrell, le haut-commissaire des Affaires étrangères de l’UE, comme suit : «Nous exhortons vivement Israël à s’abstenir de toute décision unilatérale qui entraînerait l’annexion de tout territoire palestinien occupé et serait, en tant que telle, contraire au droit international. »

En ce qui concerne le droit international, le haut-commissaire se trompe fortement, comme nous le lisons ici dans le « Gatestone Institute ».

Depuis des temps immémoriaux, ou précisément la Révélation au Sinaï, que le sage Judah Halevi a appelé le moment déterminant de toute l’histoire du monde sur la terre, tout cela, appartient aux Juifs, vérifiée à maintes reprises lors de la déclaration de Balfour, la Ligue des Nations, ou la Conférence de San Remo, retour au Kuzari et finalement à la Bible hébraïque.

Cela est écrit sur des parchemins. Cela est écrit dans la pierre. Cela est inscrit dans l’ADN de chaque personne, homme, femme et enfant juif.

Qu’est-ce qui inquiète donc ces commissaires européens, hauts et bas, notamment de France, et maintenant même du Vatican ?

Ils ne le diront pas à haute voix, mais pour l’UE, Israël est tout un «territoire palestinien occupé», parce que les Juifs sont enfin chez eux et maîtres de leur propre destin.


Oui, la France, toujours célèbre pour le Roundup de Paris, qui a même étonné la Gestapo à quel point les gendarmes se sont précipités à la tâche.

Soudain, les Français ont même été plus efficaces que les Allemands… et aujourd’hui, d’ailleurs, l’Allemagne a également exprimé sa «préoccupation» quant à la possibilité qu’Israël se dirige vers une annexion partielle.

Laissez ensuite le soin à nos démocrates de prendre parti. Le mauvais. Du Sénat, 19 d’entre eux «avertissent» Israël qu’il vaut mieux y réfléchir à deux fois lorsqu’il s’agit de souveraineté.

Y a-t-il déjà eu un moment où les Juifs n’ont pas été «avertis» ?

Encore une fois (le roi David) — « les nations sont en ébullition. »

Passant à cette plaisanterie de «territoire palestinien occupé», il vous dit tout ce que vous devez savoir sur ce qu’ils ont tous pensé au cours de ces 72 dernières années… et il ne s’agit pas seulement de «Cisjordanie» mais plutôt de tout le pays. Pour eux, tout cela appartient aux Arabes, ou à n’importe qui… n’importe qui sauf les Juifs.

Pourquoi ? Parce que dans leur esprit, les Juifs font partie de l’expérience européenne, une expérience que les Israéliens préfèrent oublier… mais dont les Européens ne peuvent pas se passer.

Pour l’Israélien typique, l’Europe est une galaxie il y a longtemps et loin.

Ils ne le diront pas à haute voix, mais pour l’UE, tout cela est «un territoire palestinien occupé», parce que les Juifs sont enfin chez eux et maîtres de leur propre destin.

C’est ce qui les rend fous (sauf pour l’Autriche et la Hongrie, apparemment).

C’est pourquoi ils tournent à plein régime chaque fois que les Israéliens construisent une colonie dans un endroit qui a été «réservé» aux Arabes palestiniens.

Comme il est étrange qu’un pays particulier soit invité à réserver des kilomètres de son propre territoire afin qu’un autre peuple puisse entrer et prendre le relais.

Très étrange, mais pas en ce qui concerne Israël… et les Européens sont choqués de trouver les Israéliens si… si «intransigeants» à ce sujet. Ces Juifs refusent de se conformer.

Il révèle comment ils traitent leurs plaintes contre Israël, en le faisant en termes de «punition», concernant un enfant qui se comporte mal.

Il se trouve qu’Israël est devenu une puissance mondiale à part entière.

Quelqu’un doit leur en parler.

Le romancier américain à succès new-yorkais Jack Engelhard écrit régulièrement pour Arutz Sheva.

Il a écrit le best – seller mondial du livre au film «Indecent Proposition» et l’ épopée faisant autorité dans la salle de presse , «The Bathsheba Deadline», suivi de ses classiques de la maturité, «The Girls of Cincinnati», et, the Holocaust-to -Montréal mémoire ,        « Escape from Mont Moriah, » pour que les contemporains l’ont salué « le dernier Hemingway, un écrivain hors pair, et la conscience de nous tous. » Site Web : www.jackengelhard.com