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Il est connu que le Tribunal en Israël adopte très souvent inspiré des opinions gauchistes….une rumeur qui se fait de plus en plus réelle. Ce fut hier, une journée dramatique pour les victimes du viol, lors d’audiences au tribunal de Tel-Aviv lorsque le juge a dit: «Il y a des femmes qui aiment le viol » selon la radio de l’armée.

 Cette jeune fille n’avait que 13 ans,lorsqu’elle a été violée, il y a six ans par quatre palestiniens au camp de réfugiés de Shu’afat. Lorsqu’elle a quitté sa maison et à proximité du poste de contrôle à l’intérieur de Hizma, les quatre hommes l’ont violée. Ils ont été condamnés et emprisonnés.

Selon la Radio de l’armée , avant-hier (lundi) cette affaire a été examiné par le tribunal de district de Tel Aviv.

Le juge du tribunal qui a été saisi d’une affaire sensible ou la famille a demandé que l’attaque soit classée comme une attaque terroriste , la réponse du juge Nissim Yeshaya fut : « Il y a des filles qui aiment le viol  » . Mais les personnes dans la salle ont entendu ces propos. C’est alors qu’un silence de plomb s’est installé pendant quelques minutes, et la Juge n’a pas compris pourquoi plus personnes ne parlaient ? 

Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile  :

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En Israël, victime du terrorisme est une personne blessée à la suite d’un acte terroriste commis pour des raisons nationalistes, en Israël ou à l’étranger. Les victimes d’attaques terroristes sont admissibles à une indemnisation, conformément à l’indemnisation des victimes des hostilités (Act of 1970)

Lors de l’audience, l’avocat de la jeune femme, Roni Aloni-Sadovnik, une avocate féministe bien connue, a tenté de convaincre le jury, présidé par l’ancien  juge de Tel Aviv Nissim Yeshaya, qu’il y a des cas de viol dont les circonstances justifient la reconnaissance d’ un acte de terrorisme commis pour des raisons nationalistes.

La victime qui a entendu les paroles du juge a été bouleversée par de telles propos. Le jugea tenté de minimiser sa phrase. « Je n’ai aucun doute, que cette phrase est mal tombée, je n’avait pas l’intention de blesser ou rabaisser les victimes de viol. Je m’excuse. »

L’Administration de la Cour examinera le cas afin de clarifier les propos du juge ces  prochains jours.

Peut être que Ronnie Sdovnik n’aurait pas eu de tels propos si les violeurs étaient israéliens ?