Les Palestiniens pensaient qu’ils étaient très malins lorsqu’ils ont mutilé les cadavres des bébés Bibas, croyant apparemment que tout ce qu’ils avaient à faire pour dissimuler les preuves de leur crime était d’infliger suffisamment de blessures horribles post-mortem pour rendre plausible qu’une frappe aérienne israélienne les ait tués. Cependant, à l’insu des djihadistes qui ont fait cela, la technologie médicale moderne permet d’identifier la cause réelle du décès même après que les Palestiniens ont tenté de dissimuler leur crime. Dans des cas comme celui-ci, où la tentative de dissimulation est si maladroite et si lourde, ce qui s’est réellement passé est si évident que les équipes médico-légales israéliennes ont pu soumettre leurs conclusions à la communauté internationale pour une vérification indépendante dans les 24 heures.
Voici quelques signes révélateurs :
1. Examen des tissus du cou : la strangulation laisse généralement des traces distinctes, même si le corps est ensuite mutilé. Les hémorragies dans les tissus mous du cou, comme les muscles de la sangle ou le larynx, peuvent persister même après le début de la décomposition. Les scanners peuvent produire une reconstruction haute résolution de tranches de tissu de 1 mm, exposant de fines fractures et des irrégularités des tissus mous associées à la strangulation. Celles-ci peuvent même être présentes si des ecchymoses externes sont masquées par des coupures ou des brûlures infligées après le décès. Une fracture de l’os hyoïde ou du cartilage thyroïdien est un autre signal d’alarme, fréquent en cas de strangulation manuelle ou par ligature, mais pas quelque chose qu’une explosion provoquerait généralement.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :
2. Hémorragies pétéchiales : de minuscules ruptures de vaisseaux sanguins dans les yeux, le visage ou le cou sont un signe classique de strangulation en raison d’une pression accrue dans les vaisseaux sanguins. Ces cas ne se produiraient pas naturellement lors d’une explosion, à moins que l’explosion n’imite d’une manière ou d’une autre ce mécanisme exact, ce qui est rare et nécessiterait un examen spécifique. Il est tellement improbable que cela arrive exactement de la même manière à deux enfants en même temps qu’on peut l’exclure comme impossible.
3. Preuves pulmonaires et des voies respiratoires : la strangulation entraîne souvent une faible quantité d’air dans les poumons ou des signes d’asphyxie, comme une accumulation de liquide. Une explosion, en particulier une explosion suffisamment forte pour mutiler, peut provoquer un souffle pulmonaire (dommages par surpression), mais le schéma serait différent : pensez à des tissus pulmonaires déchiquetés par rapport aux signes plus subtils de privation d’oxygène.
4. Analyse des blessures : la mutilation pour simuler une explosion impliquerait des coupures, des brûlures ou des blessures par fragmentation. Les experts médico-légaux peuvent distinguer les blessures antemortem (avant la mort) des blessures postmortem (après la mort). Les signes de strangulation, comme les hémorragies cervicales, se produisent alors que le cœur bat encore. Les blessures par mutilation infligées après la mort ne saignent pas ou n’ont pas d’inflammation, ce qui expose la chronologie. Les blessures par explosion ont également des caractéristiques uniques : traces d’éclats, schémas d’ondes de choc ou brûlures dues à la chaleur. Si ces éléments sont absents ou semblent mis en scène (par exemple, pas de suie dans les voies respiratoires), c’est révélateur.
En passant, toute cette situation – le meurtre de deux bébés, la mutilation de leurs cadavres pour dissimuler les preuves du crime, puis le fait d’imputer leur mort à des facteurs externes – amène le modus operandi des Palestiniens à sa conclusion naturelle et macabre. On ne peut que penser à une meilleure métaphore de ce qu’est le peuple palestinien et de la façon dont il agit sur la scène internationale que ce qu’il a fait avec les bébés Bibas.
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