Ces dernières semaines, trente cas d’un variant dit « Lambda » et deux cas d’un variant dit « Mio » (sans rapport avec Omicron) ont été recensés en Israël, des variants qui ont été découverts en Amérique du Sud il y a plusieurs mois. Les variantes provoquent une maladie plus bénigne, mais sont relativement résistantes aux vaccins.
Ces variantes ont été découvertes dans des dizaines de pays à travers le monde et sont arrivées en Israël fin novembre.
Parce qu’ils n’ont pas montré un taux d’infection significatif et à la lumière du fait qu’il n’y a aucune preuve de la gravité d’une autre maladie causée par l’infection, et surtout à la lumière de la conquête mondiale de la variante Omicron, ils ne posent pas de véritable préoccupation pour l’Organisation mondiale de la santé.
Le Corona Information Center a déclaré dans une réponse :
En effet, quelques cas isolés ont été identifiés dans le pays dans le passé avec le variante Lamda et variante Mio, mais comme il s’agit de variantes VOI (variante d’intérêt), elles n’ont aucune signification inquiétante.
De plus nous le révélions dans l’édition, il semblerait que la théorie de la vaccination massive devienne infondée. Une étude internationale de l’Université de Yael indique que ceux qui ont déjà attrapé Omicron ne sont pas protégés contre les nouvelles variantes produites du Corona. Mais selon l’étude, il faut souligner que la quantité d’anticorps développés après Omicron est nettement inférieure à la quantité développée dans les vaccins ou les variantes précédentes des variantes Corona.