Dès [intlink id= »11832″ type= »post »]que nous avons appris la mort de Candice[/intlink], nous savions, que [intlink id= »11928″ type= »post »]cette affaire sera difficile à résoudre[/intlink]. Nous apprenons que son enterrement a été reporté, car le Procureur estime que les conditions[intlink id= »12004″ type= »post »] de la chute de Candice Cohen Ahnine sont suspectes [/intlink]et ne donne pas l’autorisation d’inhumer, selon son meilleur ami et célèbre journaliste Jean-Claude Elfassi. Pour rappel, la Police avait conclu par un accident…..
Une affaire qui reste très confinée au sein des services de police qui « communiquent » en off et donnent des informations assez vagues et peu précises.
Selon le ParisMatch : l’«accident» se serait produit «consécutivement à une dispute». Il fait état de «disputes récurrentes entre la victime et son actuel mari», et va jusqu’à évoquer un «différend lié à des « dettes d’argent » ou à des problèmes de fidélité», citant des voisins.
Est ce une enquête bâclée ? Pour Elfassi, de nombreuses questions restent posées :
1- Pourquoi après la chute de Candice, le meurtrier qui se trouvait dans l’appartement n’a pas été placé en garde-à-vue ?
2- Pourquoi le meurtrier de Candice n’a pas été examiné par un médecin des UMJ, alors qu’il avait des traces de griffures au niveau du coup, ce que la famille et moi avions remarqué quand nous l’avons vu à l’hôpital ? Candice portait elle-même trois griffures au niveau du visage.
3- Pourquoi aucune prise de sang n’a été effectuée sur le meurtrier de Candice dont le passé d’alcoolique a été révélé par les services de police à la famille ?
4- Pourquoi l’appartement de Candice n’a t il pas été perquisitionné ?
5- Pourquoi ne pas avoir auditionné tous les témoins ?
6- Pourquoi avoir refusé de prendre les plaintes et témoignages des proches ?
7- Pourquoi avoir refusé de prendre les éléments, que j’ai apportés aux enquêteurs dès le lendemain du meurtre, c’est à dire une serviette avec du sang et deux trousses remplies de XANAX et de TEMESTA ce qui représente plus d’une centaine de plaques d’anxiolytique ?
8- Pourquoi la teneur de ma conversation avec le gardien de la paix a été répétée au meurtrier, qui a demandé à la famille à récupérer ses anxiolytiques
9- Pourquoi la police fait une propagande auprès de la presse pour faire passer un crime pour un accident ?
10- Pourquoi la version du meurtrier (fausse) selon laquelle Candice était fragile psychologiquement et suivait un traitement médicamenteux lourd est distillée dans la presse ?
11- Pourquoi cette enquête criminelle a été laissée à des gardiens de la paix sous qualifiés pour ce genre d’affaire ? http://www.onisep.fr/Ressources/Univers-Metier/Metiers/gardien-ne-de-la-paix/
12- Pourquoi la police judiciaire ou la brigade criminelle n’ont-elles pas été saisies?
13- Pourquoi le meurtrier de Candice a-t-il effacé toutes les données de l’ordinateur de Candice et notamment tout le dossier de sa fille AYA ?
Jean-Claude Elfassi lance un appel aux journalistes :
Pour répondre à la propagande officielle nauséabonde, je tiens à préciser que Candice ne prenait pas d’anxiolytique, n’était pas fragile psychologiquement sinon je l’aurais accueillie chez moi, Candice était une battante, c’était une personne optimiste et avait une féroce envie de vivre. Pour couper court à la rumeur que tente de propager son meurtrier avec la complicité des services de police, je me suis procuré la totalité de son dossier médical ainsi que les dernières analyses de sang de Candice, qui datent de fin juillet 2012. Je tiens ce dossier à disposition de la presse qui veut vraiment connaître la vérité. Candice n’a jamais eu de prescription d’anxiolytiques. J’invite les journalistes à se rendre à l’adresse de Candice et de constater que le témoin de l’immeuble du premier étage en face n’a pas la possibilité de voir ce qui se passait dans la chambre de Candice et donc est incapable de dire si le meurtrier était à proximité de Candice lors de sa chute. Un autre témoin côté cour déclare en revanche que quelques secondes avant la chute de Candice, elle était poursuivie, » Son meurtrier courrait après« . J’invite les journalistes à ne pas prendre pour vérité absolue les déclarations des services de police et de vérifier les informations par eux-mêmes. Une plainte pour violation du secret professionnel sera déposée aujourd’hui par la famille.